5 séries - Les drabbles de Pandi - G

Je ne fais pas d'argent avec ces fanfics et les personnages restent la propriété de leurs créateurs.

Paring: Don/Danny, Charlie/Don, Danny/Martin, Jack/Ianto, Tony/Jethro
Classement: variable, en cours d’évolution
Résumé: Un mot, une mini fic, 5 paring…



Toussaint:

CSI NY

— Enfin, tu arrives. Danny, ça fait plus de deux heures que je tente de te rejoindre.

— Désolé, j’ai fermé mon portable et j’ai oublié de le rallumer.

— Pourquoi tu l’as éteint?

— Par respect pour les morts.

— Tu es en congé, tu ne pouvais pas attendre demain pour parler à Sid?

— J’étais au cimetière. C’est le jour des  Morts.

— Excuse-moi. Je n’avais pas réalisé. Je croyais que tu avais fait un autre pari stupide avec Sid. Comment c’était au cimetière?

— Calme, très calme.

— Et comment tu te sens?

— Tu crois que si Louie n’était pas mort, il aurait fini par me pardonner? enchaîna Danny en évitant de répondre à la question de Don.

— C’est sûr qu’il t’aurait pardonné. C’était avant tout un grand frère. Il a fait tout ça pour te protéger.

— Tu crois qu’il a eu des regrets?

— Pas un seul instant. Tu es là, tu aides à rendre justice. Il peut vraiment être fier de toi.

— Alors, pourquoi je suis toujours le seul membre de ma famille à me recueillir sur sa tombe?

— Car les autres n’ont pas compris tout l’amour qui se cachait derrière son geste.

— Merci Don.

— Et si on retournait au cimetière ensemble? Il nous reste un peu de temps avant le repas, offrit Don en ouvrant ses bras pour y accueillir un Danny maintenant souriant.


Numb3rs

Don s’avança dans le garage. Son frère ne l’entendit pas. Sa main courait sur le tableau, alors qu’un étrange dialecte mathématique franchissait ses lèvres. Comme en transe, il se balançait d’avant en arrière, avec la même régularité qu’un pendule. L’oeil expert de Don remarqua que, malgré la précision et la netteté des chiffres, la main tenant la craie tremblait. Le balancement cessa, mais il fut immédiatement remplacé par un tressautement de la jambe droite.

— Charlie

— …

— Tu vas bien?

— …

— Tu joues à quoi?

— …

— Ça va pas recommencer?

— …

— Je ne veux plus que tu t’enfermes et que tu te replies sur toi-même.

— …

— Charlie? Tu m’écoutes?

— …

— Tu entends ce que je te dis?

Don posa sur le sol les deux bières qu’il tenait. Il se positionna derrière son cadet et referma ses bras contre le torse de Charlie, collant ainsi son corps au sien. La main se crispa sur la craie et le marmonnement cessa.

— C’est fini Charlie. Elle est partie, elle ne souffre plus. J’ai besoin de toi. Je ne veux plus te perdre chaque année, ne serait-ce qu’une seule journée. Papa va revenir du cimetière, il ne doit pas te trouver dans cet état. Je t’aime Charlie. Parle-moi.

— Je t’aime aussi, ne me quitte pas, Don.


WAT

— Martin, pourquoi as-tu l’air si triste aujourd’hui? Même mes blagues ne réussissent pas à te décrocher un sourire.

— Je suis désolé.

— Parle-moi. Je n’aime pas voir tes yeux aussi éteints.

— Je m’en veux tellement. Je me sens coupable.

— Coupable de quoi?

— De ce que je ressens.

— Tu as changé d’idée pour nous deux?

— Non, pas du tout. C’est juste que je ressens des émotions que je ne devrais pas.

— Face à quoi?

— À la mort de ma tante. Sa mort m’a fait si mal. Et je m’en veux, car j’aurais préféré perdre mon père, termina-t-il dans un murmure. Je sais que je ne devrais pas dire ça. Même s’il ne m’aime pas vraiment, il reste mon père.

— Martin, avec l’enfance qu’il t’a fait passer… toutes ces années d’indifférence… c’est normal que tu ne te sois pas vraiment attaché à lui. J’ai peur que tu te sentes encore plus coupable lorsqu’il va mourir.

— Pourquoi?

— Si tu n’es pas triste… Enfin, tu vas encore culpabiliser. Mais une étape à la fois. Pour le moment, tu as besoin de réconfort et je suis là pour t’en donner.


Torchwood

— Jack, je peux te poser une question?

— Bien sûr. Tu veux peut-être m'en poser une autre?

— Très drôle!

— Vas-y, je t’écoute.

— Comment fais-tu? Tous ces morts… Enfin, je veux dire… C’est la Toussaint et je n’arrête pas de penser à Lisa, de la voir. Toi, tu gardes un moral à toute épreuve. C’est comme si aucun mort ne venait te hanter, alors qu’ils te visitent par milliers…

— J’ai appris à vivre avec. Sous mes airs d’éternel adolescent, j’ai acquis une grande sagesse. Je peux refaire ma vie, mais pas celle des autres. Certaines choses doivent être oubliées.

— Apprends-moi à oublier.

— OK. Ce soir, tu auras deux Jack dans ton lit, et, crois-moi, tu vas tout oublier.

— Je crois que tu me suffis.

— On doit être deux pour te faire oublier. J’ai beau être un bon coup, je ne peux pas tout faire tout seul. Avec mon homonyme : Jack Daniel’s, et la nuit que j’ai en tête, tu risques même d’en oublier ton prénom.

— OK.

— Et pense à prévenir les autres : tu ne seras pas en état de venir travailler demain.

— OK. Tu sais, même dans mes fantasmes les plus chauds, je n’ai jamais espéré avoir deux Jack avec moi.

— Et attends, tu n’as encore rien vu…


NCIS

— Tony! Réveille-toi! Tu fais encore un cauchemar.

— Désolé.

— Qu’est-ce qui te tracasse?

— Ça doit être à cause de tous ces squelettes que l’on a vu se balader dans les rues.

— Tony! Pas de ça avec moi.

— C’est idiot.

— Rien de ce qui trouble ton sommeil n’est idiot.

— C’est le jour des Morts.

— Et alors?

— Est-ce que tu crois qu’ils… Qu’ils vont revenir?

— Qui?

— Ma mère, ta femme, ta fille, Jeffrey, Kate, Ari, Paula, Jenny, Pax…

— Arrête! Tu te fais du mal inutilement.

— Je t’avais dit que c’était idiot.

— Non, répondit calmement Gibbs.

— Qui sera le prochain? Ziva, McGee, Ducky, Abby, Jimmy, toi… enchaîna Tony d’une voix très rapide et sans reprendre son souffle.

— Tony, tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement.

— Ils sont tous morts un peu à cause de nous. Je n’ai pas su protéger Kate, Paula et Jenny. Et j’ai tué Jeffrey de mes propres mains.

— Tony, tu n’as rien à te reprocher.

— Tu crois qu’ils vont revenir hanter nos nuits? Ils sont assez nombreux pour faire une ronde autour de nous.

— Jamais. Tu as mangé combien de portions de gâteau avant d’aller dormir?

— Aucune.

— Tu as regardé quel film?

— La nuit des morts-vivants.

— Et si je te faisais vivre un autre genre de petite mort?

— Je pense que ça m’aiderait à dormir.

c'est triste et en meme temps j'ai trouvé ca marrant. Surtout celle de torchwood avec Jack daniel's!!!!
Continue a nous écrire de belles fics comme ca

J'aime beaucoup le concept...
Tu manies à merveille le multi-série, multi-pairing et je n'ai qu'une hâte: avoir les autres...

On peut proposer des mots??? (euh... tu fais la même chose au-delà de l'horizon j'espère??? :mangaclind'oe )

:moij'envuexen

tu les a posté :mangacontant: , bien tu sais celle que je préfère et moi aussi je veux un Jack Daniel's :mangadémoniaqu .

Tu recommences quand tu veux :mangarire:

Merci.

Evidemment, les suggestion de mots sont les bienvenues. Je pense qu'il y en aura NC-17 puisque, j'aimerais bien savoir ce qu'ils crient lorsqu'ils font l'amour. N'hésitez à me faire des suggestions. Tout comme pour les aventures de Mme Bidle, vos idées sont même souhaitables.

:mangaben: Pandi

C'est vraiment une bonne idée de faire des drabbles sur différentes séries avec le même thème.

Et si qui ne gâche rien c'est que tu excelles dans ce domaine.

:moij'envuexen :moij'envuexen :moij'envuexen

Donc il y aura un parallèle au-delà de l'horizon... :mangarire: :mangarire:
Bon... un mot... calendrier...

Merci Djorie.

Cissy, j'en prends bonne note.

Comme je ne connais rien aux impôts américains, je me suis inspiré des canadiens. DE quoi vous donner de sérieux maux de tête.

Impôts:

CSI NY

Multiplier la ligne 37 par la ligne 38.

Danny passa lentement sa main sur son ventre en avalant une gorgée d’eau. Don le regarda faire en soupirant.

— Tu as encore de la difficulté à digérer ta déclaration de revenus?

— C’est rien, ça va passer.

— Pourquoi est-ce que tu t’entêtes à les faire? Ça te rend malade chaque année.

— C’est de famille. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours entendu mon père dire que l’on ne pouvait pas confier ça à un inconnu, répondit Danny en grimaçant une fois de plus.

— Tu leur dois combien cette année?

— Environ 1750 $

— Vient avec moi, on va aller laver ta dette.

— Comment?

— On va aller porter tes papiers chez mon comptable. On gagne presque le même salaire et on a à peu près les mêmes déductions. Tu ne devrais pas payer plus de 200 $.

— Tu penses?

— Oui, et ensuite on va prendre une douche. Tu vas voir que mes mains peuvent tout éponger.

— Je commence déjà à me sentir mieux…

Pour les déductions relatives au transport en commun, référez-vous à l’annexe 14.


Numb3rs

Ajouter la ligne 30 à la ligne 31.

— Charlie, pourquoi as-tu ce regard heureux et satisfait?

— Je ne vois pas de quoi tu parles.

— Tu as la même expression que lorsque tu viens de jouir. Tu ne te serais pas amusé sans moi?

— Je te jure que non, Don.

— Arrête de me mentir Charlie. Tu peux bien l’avouer que tu as joué en solitaire. Ça m’arrive à moi aussi. Tu n’as pas à avoir honte.

Charlie se mit à rougir.

— Avoue! Tu regardais quoi? Une vidéo sur internet? Une revue? Un DVD? Tu es si adorable lorsque tu rougis. Tu peux bien me l’avouer. Je me doute de ce que tu tenais dans ta main droite, mais qu’avais-tu dans la gauche?

— …

— Allez! Ne m’oblige pas à te supplier.

— …

— Et si je te chatouille?

— Nos déclarations de revenus.

— Quoi!

— Je viens de remplir nos déclarations de revenus, murmura Charlie timidement.

— Et moi qui croyais qu’il n’y avait que mon corps pour t’allumer ainsi!

Pour les déductions relatives à la rénovation, remplir l’annexe 8.


WAT

Si négatif, inscrire 0.

— Non. Je refuse, cria Martin.

— Ce n’est qu’un comptable.

— C’est celui de mon père.

— Ça change quoi?

— Je refuse de laisser l’homme qui fourre le gouvernement pour mon père jouer avec mes chiffres.

— Ton père fraude le gouvernement?

— Qu’est-ce que tu crois?

— On pourrait peut-être avoir un petit remboursement d’impôt et aller passer une semaine dans le sud?

— Danny Taylor!

— Je plaisantais. Mais, par contre, si l’on fait appel à un comptable honnête, à la place de passer le week-end dans les chiffres, on pourrait le passer au lit.

— Mmmmm. Avec toi, je vais finir par aimer la période des impôts…

Entrer le résultat de la ligne 642.


Torchwood

Référez-vous à la ligne 318 du guide.

— Ianto, lâche ta calculatrice.

— Minute, j’ai presque terminé.

— Je m’ennuie.

— Jack, enlève ta main, elle me déconcentre.

— Ianto, laisse-toi aller.

— Jack… S’il te plaît. T’as pas ta déclaration de revenus à faire?

— En théorie, je suis mort il y a de nombreuses années. Ou je ne suis pas encore né, ça dépend de quel côté l’on se place.

— Et alors?

- C’est un de mes bénéfices marginaux pour faire partie de l’organisation de Torchwood. Je n’ai pas de déclaration de revenus à faire.

— Des bénéfices marginaux! Comment ça se fait que moi je n’en ai pas?

— Et comment tu appelles ça ce que l’on fait à deux sur le bureau?

— Oh!

— Aimerais-tu profiter tout de suite de tes avantages?

— Quelle question! C’est sûr!

— Alors, garde bien ta calculatrice en main. Tu vas en avoir besoin pour compter le nombre de frissons qui vont bientôt parcourir ton corps.

— Elle n’a que neuf chiffres, tu crois que ça va être suffisant?

— Sûrement pas…

Si le montant de la 342 ne dépasse pas 640, inscrivez 275.


NCIS

Déduisez la ligne 41 de la ligne 42. (Ne peut pas être négatif)

Samedi soir

— Tony, il est plus de trois heures du mat’. Viens dormir.

— Pas avant d’avoir terminé!

— Ça fait plus de six heures que tu te casses la tête. Tu as le droit à une pause.

— Si McChiffre est capable de calculer ses impôts tout seul, moi aussi j’en suis capable.

— Laisse tomber. On va faire appel à un comptable.

— Non, s’entêta Tony.

Deux heures plus tard

— Tu te décides enfin à venir me rejoindre.

— J’ai terminé!

— Alors le bilan : combien on paie de plus en étant conjoint de fait?

— Merde! J’ai tout rempli comme si l’on était célibataire… Je vais aller corriger ça tout de suite.

— Hors de question que tu quittes ce lit. Je connais des prises de commando.

Entrer le montant de la ligne 54.

baaaaaaaaaaah quel cochon notre petit charlie!!! J'adore tony qui veut absolument réussir a remplir son papier tout seul parce que Mcgee y arrive
J'adore continue comme ca

Ben... y'a pas de déclaration simplifiée chez vous??? :mangaintero:

Parce que là, bonjour l'angoisse!!! :mangajeveuxpas

En tout cas, comme les précédents!!! :mangaj'aime: :mangaj'aime: :mangaj'aime: :mangaj'aime:

Et j'en veux d'autres moi!!!! :manganeutre:

Ooooh! J'adore ces p'tits drabbles! Tu as un style agréable, il y a une jolie touche d'humour, continue comme ça surtout! merci de les avoir posté, et au plaisir de te relire

Merci d'avoir lu, JSmélie. Il y en aura d'autres.

Ma chère Cissy, la compagnie où je travail imprime des formulaires d'impôt. Il y en a pour les 10 provinces, les 3 territoires, les particuliers, les compagnies, les travailleur autonomes, ceux qui ont une prime pour région éloignée, multiplié par deux car on fait en français et en anglais. En tout, il y a plus de 100 versions et je n'exagère même pas. Juste les imprimer nous donne des maux de tête, alors imagine les remplir. Je fais appel à un comptable, sinon, on me retrouverait pendu.

Merci Stephanie, Charlie prend son plaisir comme il peut... Et j'aime bien la rivalité entre Tony et Tim.

:mangamerci:

Pandi.

Mettre nos héros devant leurs feuilles d'impôts c'est une excellente idée, la douce folie de la déclaration, tu as su les mettre en scène tellement bien qu'on a l'impression de voir un bout d'épisode de la série.

Tony est à mourir de rire, c'est vrai que leur rivalité donne une certaine saveur à ce texte, et la chute avec Gibbs est :mmdr:

Pour Torchwood les avantages de Ianto laisse rêveuse :;j'adoreeee:

:moij'envuexen :moij'envuexen

très chouette ces petits drabbles, j'ai appréciée de les relire.

J'ai un mot, opportunité. comme on peut t'en suggéré. j'ai aussi dysfonctionnement irritabilité grossesse ? :mangaporte:

j'étais plier en deux en lisant cette série trop bon avant d'aller ce coucher

il suffit qu'on te donne un mot et tu arrives à nous sortir des drabbles sur commande parce que c'est marrant comme jeu, heureusement comme l'a dit Cissy, ici on a la déclaration simplifiée sinon je deviendrais devant ma feuille d'impots avec toutes ses bouches à nourrir

ça me fait penser, "Primes de risques" c'est un mot ça avec leurs métiers respectifs il y ont droit non

ma belle et continue à nous faire rêver.

je vais réfléchir à un mot ou des maux pour nos charmants petits gars

Merci beaucoup Djorie. Je suis contente que tu aimes. Avec le caractère de Tony, c'est toujours plus facile de le faire exagérer. Je pense que côté drabble, c'est la série qui me cause le moins de problème.

Merci Fanncis, j'ai noté tes mots et je vais commencer à y réfléchir, mais je dois trouver cinq idées, alors parfois c'est un peu plus long, mais une fois les idées trouvées, ça déboule assez rapidement.

Ma chère Aragone, ton commentaire me fait très plaisir. Mais ne donne pas trop de maux Ianto, tu sais que je travaille aussi sur sa série de malheurs...

:mangagéné:

Je ne suis pas vite ce soir. Je me demandais pourquoi le petit bonhomme rougissais... Merci Cali.

Écriture:

CSI NY

— Don, as-tu terminé ton rapport? Je meurs de faim!

— Pas encore, je cherche mes mots pour décrire ce qui s’est passé.

— T’aurais peut-être pas dû sécher tous tes cours de grammaire.

— Qui t’a dit que je les séchais?

— T’es pas capable d’aligner cinq mots pour faire une phrase.

— Tu veux bien me donner des cours privés?

— OK. Sujet, verbe, complément.

— C’est pour ça que je me sauvais, c’est si ennuyeux.

— La fin de la phrase pourrait se ponctuer d’une récompense salivaire, offerte par le prof.

— C’est la motivation qui me manquait à l’école…

— Tu n’as jamais fantasmé sur un prof?

— Je n’en ai jamais eu d’aussi sexy que toi. Il y avait bien mon prof de philo, mais il avait plus de 68 ans…

— Merci! Avec des commentaires comme ça, tu risques de commencer avec une retenue!


Numb3rs

— Charlie, oublie un peu les mathématiques.

— Mais Don…

— Pas de mais, tu dois améliorer ton orthographe.

— T’es pas marrant.

— Il doit bien avoir un truc ou deux que tu aimes dans la littérature?

— Sais pas.

— OK, j’ai peut-être commencé un peu trop raide. Charlie, qu’est-ce que tu aimes faire avec un crayon, à part le mâchouiller?

— Les chiffres, les nombres, les équations…

— Et les lettres dans tout ça?

— L’algèbre.

— Charlie, tu es décourageant.


WAT

— Martin, je suis à l’épicerie.

— Et pourquoi tu m’appelles?

— Tu ne devines pas?

— T’es incapable de trouver la rangée des céréales? Ça ne doit pas être drôle pour retrouver une personne disparue.

— Non, les rangées, ça va.

— Tu ne sais pas quelles marques de dentifrice choisir?

— Pourquoi ? Je dois en acheter?

— T’as pas lu la liste que je t’ai faite?

— Je suis incapable de lire tes pattes de mouche. Conclusion, je ne sais pas quoi acheter.

— Oups!

— Tu l’as dit. La prochaine fois, tu ne pourrais pas faire des caractères d’imprimerie, comme à la maternelle?

— Très drôle! Et si on commandait une pizza?


Torchwood

— Ianto, tu tiens un journal depuis que tu as quel âge?

— Depuis que je suis en âge de savoir écrire.

— Ça t’apporte quoi de tenir un journal?

— Ça m’aide à analyser mes sentiments, à comprendre ce que je vis.

— Est-ce que tu écris des choses très personnelles?

— C’est un peu le but de tenir un journal.

— J’aimerais bien lire le passage où tu décris ta première fois.

— Non!

— Ce que tu écrivais sur moi avant que l’on sorte ensemble.

— Non plus! Tu ne liras rien.

— T’as pensé à tenir un journal sur les positions dans lesquelles on le fait ou les endroits inusités où on le fait?

— Ce n’est pas un journal, c’est un photo-roman.

— Dans ce cas, je crois que je vais me mettre à la lecture…


NCIS

— Tony, t’as besoin de revoir ton doigté. Tu tapes comme un escargot.

— C’est pas ce que tu disais cette nuit. «Ralentis, ralentis, ou je vais venir trop vite!»

— …

— Quelque chose à rajouter sur mon doigté?

— Ta bouche aussi n’est pas mal! Tu devrais peut-être la garder fermée et te concentrer sur ton rapport.

— Si tu veux, patron. Et pour ma part, je sais aussi comment fermer l’ordi. Et toi?

— On avait dit: pas de coup bas au travail!

— Ah! Oui! Je sais aussi comment allumer un ordi, comment allumer la télé du salon et comment t’allumer. Tu veux toujours que je termine mon rapport ou il peut attendre à demain matin?

— Viens, dépêche-toi! T’entendre parler d’allumage a déjà réveillé un membre de notre couple.

:;génial;: J'adore ces petits drabbles... en quelques lignes tout est dit!!! :;j'adoreeee:
Tu as vraiment du talent!!! :;cupidon.;:

Pandi (j'ai quand même l'impression de me répéter en ce moment)

Comme d'habitude des drabbles font mouche à chaque fois, c'est une pure plaisir à lire, surtout celui sur Tony et Gibbs, je me demande s'ils ont réussi à patienter dans l'ascenseur et aussi le journal de Ianto qui doit se révéler une vraie mine d'or d'information pour les amatrices du couple (dont je fais partie)

:pourfairesimpl :pourfairesimpl :pourfairesimpl

Merci à vous toutes! Je suis contente que vous aimiez ces petits drabbles.
:mangamerci: