[Poème] - 1er mars 16h30 - PG

On a beau savoir que rien n’est éternel
On a beau savoir que l’amour est cruel
On a beau savoir que les belles histoires
Finissent dans les larmes coulant dans le soir
S’il nous est donné l’occasion d’aimer
Chaque fois on plonge sans même y songer.

Si peu de place dans ma main
Et tant de place dans mon cœur,
C’était hier, je m’en souviens,
C’était pour quinze ans de bonheur.
Tu as partagé mes chagrins,
Toujours fidèle à mes côtés
Tu donnais sans attendre rien,
Juste la permission d’aimer.
Et les jours de cœur un peu gros
Je te serrais tout contre moi,
Le monde redevenait beau
Juste parce que tu étais là.
Tu animais la solitude,
Tu me parlais à ta façon,
Quinze ans de douce certitude :
Savoir qu’on est aimé, c’est bon.
Demain la maison sera vide :
Plus personne pour m’accueillir,
Plus de fête folle et avide
Qui toujours me faisait sourire…

Dans un après-midi pluvieux
Tu as repris ta liberté,
Tu m’as laissée fermer tes yeux,
Te dire adieu dans un baiser.
Tu aurais pu pour quelques jours
Vivre une vie sans avenir,
Mais mon dernier geste d’amour
C’est de t’avoir laissé partir.
L’amour ça finit dans un drame,
C’est trop souvent le lieu commun,
Mais aujourd’hui, malgré mes larmes
Je ne regrette vraiment rien.

Je ne réalise pas vraiment
Ce que signifie ton absence,
Ca va s’installer doucement,
Avec le vide, le vide immense.
Et là où tu es maintenant,
Je veux que ta vie soit plus belle,
Je veux te voir au firmament,
Petite étoile au bout du ciel.
Et lorsque mon cœur pleurera
Je n’aurai qu’à lever les yeux,
Et je sais que tu seras là,
Parce qu’il n’y a pas d’adieu.

01/03/2011 – à Cookie.

Tu as réussi à me faire pleurer, Cissy. :mangatriste:

Je te fais un gros câlin virtuel. Bisou.

Je suis désolée ma Cissy, je t'embrasse bien fort

Je suis de tout cœur avec toi ma belle,

Cette petite boule de poils pleine de douceur et de malice, ce petit aspirateur sur pattes, avait aussi un place à part dans mon cœur et venir te voir sans l'entendre ni le voir me faire la fête va me manquer énormément, je sais qu'en cet instant ma douleur aussi lourde soit elle est incomparable à la tienne en ses instant, que mes larmes sont moins nombreuses que les tiennes.

Quand j'ai perdu Karzan c'est comme si j'avais perdu mon meilleur ami, mon allier indéfectible, celui qui rester toujours à mes côtés quoi qu'il arrive, lui qui faisait la fête et s'amuser avec moi quand j'étais heureuse, à mes côtés pendant mes longs moment de solitudes, celui qui venait se blottir contre moi quand il sentait la tristesse ou la douleur m'envahir, j'aimais cacher mes larmes dans ça douce fourrure. Aujourd'hui encore mon coeur se serre quand je pense à ça disparition survenue trop tôt, mais je me dis qu'il est mieux là ou il est maintenant plutôt qu'a souffrir ici bas et je suis certaine que ses états d'esprits sont toujours en symbiose avec les miens, je pleures en écrivant ce petit mots, je suis sure que lui aussi est triste.

Certain seront révoltés car je pleure la disparition d'un chien ou plutôt de deux chiens : Karzan et Cookie, je leurs répondrai que je suis désoler mais que je pleure toujours quand une personne ou un animal qui m'a apporter du bonheur viens à me quitter, mes larmes sont peut-être différentes mais la sincérité qui se trouve derrière elles est la même.

Je t'aime ma belle, si tu as besoin tu sais ou me trouver.

Merci les filles...
Bisous Cali...

Cissy, tu as su très bien trouvé les mots pour exprimé ce que tu ressentait, c'est souvent un bon moyen pour arrivé à livrer ces sentiments, en tout cas c'est très beau

Merci Christie...