-Fandom : les bleus premiers pas dans la police
-Titre de l'oeuvre : Le miracle de Noël
-Pairing : Kevin et Yann
-Rating :G
-Les personnages de la série ne m’appartiennent pas. Je ne tire aucun bénéfice de leur mise en situation dans cette fiction.
Je suis sur Paris depuis deux mois. J’ai eu mon affectation ici, dans cette ville que je ne connais pas et qui différente de la mienne. Il y a quelques mois, j’étais sur ma plage à Biarritz entrain de surfer. Je suis lieutenant stagiaire à la DPJ. Il y a quatre autres bleus aussi. Je me suis entendu très bien dès le début. Je ne leur ai pas caché mon homosexualité. J’ai préféré leur dire la vérité même si j’ai eu quelques appréhensions vis-à-vis d’Alex. Mais après avoir longuement discuté avec lui, je n’ai pas eu de problème.
On est le vingt quatre décembre, j’ai appris que je travaille. Je ne peux pas descendre voir ma mère. Je vais me retrouver seul pour la première fois sans celle qui a toujours était la pour moi. Je l’ai eu au téléphone avant de partir au commissariat. J’ai senti au son de sa voix qu’elle est triste que je ne sois pas auprès d’elle. Une fois raccroché, je sens les larmes couler.
Je commence à dix neuf heure. Je suis près de l’entrée quand Alex arrive. On se salue et on y entre. Une fois à l’intérieur, on est interpelé immédiatement par le capitaine Duval. On part de suite sur un braquage qui a eu lieu dans une bijouterie à la fermeture. Une fois arrivée sur place, on peut s’apercevoir qu’il n’y a eu aucun blessé. La vendeuse est sous le choc. Je m’approche d’elle. Je lui parle doucement pendant ce temps, Alex et le capitaine Duval parle au deuxième vendeur et au propriétaire du magasin. Ils leurs expliquent comment le braquage a eu lieu. La vendeuse allant mieux. Elle me montre ou se trouve les enregistrements des caméras. Je les prends avec moi pour pouvoir les visionner au commissariat avec Alex. Il y a eu trois braqueurs mais seulement deux sont entrés à l’intérieur de la boutique. Le troisième était devant la porte pour surveiller. Duval a demandé aux trois personnes de les suivre pour prendre leur déposition. Une fois fait, je vois que la jeune femme n’est toujours pas très bien. Je vais voir mon supérieur pour lui dire que je la ramène. Il ne veut pas au début mais j’arrive à le faire changer d’avis.
Je vais pour sortir du commissariat avec la victime quand je croise cet homme pour la première fois. Nos regards se croisent. J’ai du mal à me défaire de son regard qui fait battre mon cœur rapidement. Je ne l’ai jamais vu. Il est suivi de deux autres personnes. L’un deux lui tape sur l’épaule et lui dit.
« Je te paie un café capitaine. »
Je le vois s’éloigner avec ses collègues. Je me retourne et je le vois faire la même chose. Une demi-heure plus tard, je suis de retour au commissariat. Pendant tout le trajet, mes pensées ont été pour ce capitaine. Je ne connais rien sur lui mais je sais que je suis déjà accro. Je retrouve Alex dans le bureau. Il est entrain de visionner les caméras. Je viens me mettre à côté de lui pour l’aider. Les trois hommes sont cagoulés. On a rien pour les identifiés jusqu’à ce que je vois à la fin de la vidéo les deux hommes sortir et entrer dans une voiture avec le troisième complice. Ils se sont garés devant l’entrée du magasin. De l’angle de la caméra, on peut voir la plaque d’immatriculation. Je mets pose et je le montre à Alex. Je note la plaque et Alex fait les recherches. On va voir Duval pour lui montrer. Il nous félicite pour ce qu’on vient de trouver.
Il est un peu plus de vingt trois heures. Je vais chercher un café pour Alex et moi. Pour le moment c’est calme au commissariat. On est dans le bureau et on discute de nos vies. Je vois qu’il me parle beaucoup de Laura. Je vois ses yeux briller quand il prononce son nom. A un moment, je suis dans mes pensées. Je repense à l’homme que j’ai croisé. J’ai déjà entendu parler d’un des capitaines de la BAC, le capitaine Berthier qui s’énerve beaucoup et qui est souvent froid mais l’homme que j’ai vu tout à l’heure est tout l’opposé quand nos regards se sont croisés.
Je suis dans la salle des archives. J’ai besoin de me retrouver un peu seul un moment. Je range quelques dossiers qui trainent. Il est minuit. J’appelle ma mère pour lui souhaiter un Joyeux Noël. On reste un moment à discuter. En raccrochant, les larmes me coulent. Je repense à ce qu’on a vécu tous les deux à cause de mon père. Si je peux appeler celui-ci mon père. Mon téléphone sonne. C’est Alex.
« Kevin tu es ? »
« Dans la salle des archives. Pourquoi ? »
« Duval te cherche. On doit partir en intervention. La BAC a besoin de nous. Il vient d’avoir une émeute entre deux bandes. »
Pendant le trajet, Duval est au téléphone avec le capitaine de la BAC. Je sens mon cœur s’accélérer en repensant à ses beaux yeux. Je me demande si c’est lui qui est sur les lieux. Une fois raccroché, il nous explique ce qu’il se passe et ce qu’il attend de nous. On vient d’arriver. Je vois un homme s’approcher de nous. Mes yeux croisent les siens. On se regarde. Je sens le regard de Duval et Alex. Yann nous fait vite un résumé. Chacun est à sa place. Alex est près de moi. Nous sommes à l’arrière pour surveiller que personnes ne s’échappent par ce passage.
« Il se passe quoi avec le capitaine ? »
« Rien. »
« A d’autre Kevin. Je connais ce regard que vous avez échangé. »
« Je te dis, il ne se passe rien. Je ne le connais pas. Et même, on est sur une intervention. Ce n’est pas l’endroit pour parler de ca. »
« Ne crois pas que je vais m’arrêter la avec mes questions. »
« Ca je le sais. »
Les coups de feu retendissent de plus en plus. Je suis inquiet pour mes collègues mais surtout pour le capitaine. Je vois un homme de l’autre côté entrain de fuir. Alex l’a vu aussi. On part à sa poursuite en prévenant Etienne. L’homme est armé et il n’hésite pas à nous tirer dessus. On doit faire attention. Avant de partir du commissariat, on a mis nos gilets par balle. On arrive dans une ruelle étroite et sombre. On ne le voit plus. Alex fait vite le tour. Je m’approche doucement mon arme à la main tout en regardant autour de moi. Je ne vois pas l’homme arriver à ma gauche vers moi. Il me frappe au visage avec son arme. Je sens mon sang couler sur mon visage. Je tombe au sol. Je n’ai plus mon arme. Elle est tombée en même temps que moi. J’essaie de la récupérer mais l’homme la pousse avec son pied. Je le vois planté son arme devant moi. Je repense à ses yeux une dernière fois quand j’entends Alex lui demander de lâcher son arme tout en s’approchant doucement. Il lâche son arme. Alex le menotte. Je me lève difficilement. On rejoint les autres. Duval arrive vers nous. Il nous félicite.
« Kevin tu vas avec les pompiers. »
« Ce n’est pas la peine chef. C’est juste l’arcade sourcilière. »
« Kevin. »
« Capitaine. Je me soignerai au commissariat. »
Je cherche le capitaine de la BAC mais je ne le vois pas. Je me fais tous les scénarios possibles dans ma tête. J’angoisse de ne pas le voir. Au bout de cinq minutes, je l’aperçois. Il aide un de ses coéquipiers à marcher. Je suis soulagé de voir qu’il n’a pas été blessé. Duval m’ordonne de rentrer au commissariat avec une équipe. Je veux rester mais il ne me donne pas le choix. Je viens de rentrer dans la voiture. Je vois le capitaine se diriger vers Duval et Alex. Il me regarde. Je les vois discuter.
« Ca va Yann ? »
« Oui. Vivement qu’on rentre au commissariat. C’est un bleu qui vient de partir ? »
« Oui. C’est le lieutenant Kevin Laporte. Il est la depuis peu avec quatre autre dont Alex aussi. Il l’a l’arcade ouverte. »
« Il aurait du partir avec les pompiers. »
« Il n’a pas voulu. »
Je suis à l’infirmerie. J’entends les collègues qui viennent de revenir. Je regarde dans le miroir. Je vois que je saigne toujours de l’arcade. Je suis torse nu, j’ai enlevé mon pull à cause du sang dessus. Alex est venu me voir pour savoir comment je vais. Je suis de dos à la porte quand j’entends quelqu’un entrée. Je me retourne. Je le vois devant moi. Il le sourit. Il s’approche de moi. Je n’arrive plus à soutenir son regard. Je baisse la tête. Il posa sa main sous mon menton. Nos regards se croisent de nouveau. Mon cœur s’accélère dès que je me trouve en sa présence. Il regarde ma plaie. Il me prend la compresse de mes mains pour le faire lui.
« Tu aurais du écouter le capitaine Duval et partir avec les pompiers Kevin. »
« Capitaine, je saigne presque plus. »
« Yann pas de capitaine. Tu devrais aller aux urgences. »
« J’ai pas besoin de point de suture. Je saigne presque plus. »
« Comment c’est tu ca ? »
« J’ai été CRS de plage avant d’être muter sur Paris. »
On ne parle plus. On se regarde. Il posa sa main sur ma joue, qui caresse descendant jusqu’à mon bras, caressant mon torse. Je frissonne. Il s’en aperçoit. Il sourit. Il me tend mon sweat propre. Il me regarde le mettre. Il s’approche de nouveau vers moi. Je ne peux pas bouger, faire aucun mouvement. Il passe sa main dans mon cou, remontant sur mon visage tout en le caressant. J’ose poser mes bras dans son dos. Il s’approche plus de moi. Il caresse mes joues, mes paupières, mon nez et mes lèvres. Je vois son visage se rapprocher du miens. Ses lèvres sont à quelques centimètres des miennes quand son téléphone se met à sonner. Il rage de devoir répondre. Le moment ou il est au téléphone, il continue à caresser à mes lèvres. J’embrasse ses doigts. A mon tour, je le sens frémir.
« Je suis désolé. Je dois y aller mes collègues ont besoin de moi. A plus tard Kevin. »
« A plus tard Yann. »
Il est sept heures du matin. J’ai fini mon service. Je n’ai pas arrêté entre les interrogatoires et les rapports à faire. Alex me salue et il rentre chez lui. Depuis que Yann est parti de l’infirmerie, je ne l’ai pas revu. Je vais pour aller à ma voiture. Elle n’y est plus. Je suis fatigué, j’ai les nerfs. Hier, en me garant, j’ai pas fait attention à l’endroit ou je me suis garer. Je suis arrivé à la bourre. Je me suis mis à la première place.
« Putain ma bagnole. Quel con, je suis. »
Une main se pose sur mon épaule. Je me retourne. C’est Yann. Je lui explique pour ma voiture. Sachant que ma voiture est à la fourrière, je ne peux pas la récupérer avant le vingt six car c’est fermé pour le jour de Noël.
« Tu veux que je te ramène ? »
« Ca ne te dérange pas ? »
« Bien sur que non, si je te le propose. »
« Merci Yann. »
Il caresse ma joue tout en souriant. Il me plait tellement. J’espère qu’il ressent les mêmes sentiments à mon égard. Je le suis. Une fois installer dans la voiture. Je pose ma tête sur le côté, je commence à lui dire mon adresse mais je ne peux finir ma phrase. Je viens de m’endormir. Yann me regarde. Je sens la voiture s’arrêter et le fait qu’il me porte. Je suis tellement fatigué, je n’ouvre même pas les yeux. Il m’a emmené chez lui. Il m’allonge dans son lit. Il m’a enlevé mes vêtements en me laissant mon boxer. Il me recouvre. Je sens son odeur. Il dépose ses lèvres sur les miennes. Je suis tout endormi mais je dis son nom. « Yann. »
Yann est sous la douche. Il entend le portable de Kevin sonner. Quand il sort, il voit que c’est sa mère. Il se fait un café avant d’aller s’allonger. Il est entrain de le boire quand le portable du lieutenant se remet à sonner. Il voit de nouveau c’est sa mère. Il prend sur lui et il décroche. Il entend au son de sa voix qu’elle panique en entendant pas la voix de son fils. Yann la rassure. Il s’excuse de lui avoir fait peur.
« Je peux parler à mon fils ? »
« Il dort mais si vous voulez, je vais le réveiller ? »
« Non, je voulais lui faire la surprise de venir le voir aujourd’hui. J’ai pu trouver un vol cette après midi pour pouvoir passer le reste de la journée de Noël avec lui. Je viens de penser que je ne vous ai pas demandé qui vous étiez par rapport à mon fils. »
« Je suis capitaine de la BAC ou Kevin travaille. On s’est croisé hier pour la première fois. Sa voiture est à la fourrière. J’ai voulu le ramener chez lui mais il s’est endormi dans ma voiture. »
« Une vrai marmotte mon fils. »
Ils se mettent à rire tous les deux. « Quand il est réveillé, je lui dis que vous avez appelé et qu’il vous rappelle. »
« Merci Yann. Vous voulez vous joindre à nous ce soir ? »
« Je sais pas. Je vous donne ma réponse plus tard mais je pense que se sera oui. »
Yann réalise au son de la voix la grande gentillesse que Brigitte a et pareil pour son fils. Il se déshabille, gardant son boxer et il va s’allonger dans son lit ou Kevin dort. Il commence à s’endormir quand il sent Kevin s’approcher de lui.
Yann vient de s’allonger lui aussi. A un moment, je me colle à lui dans son dos. Je passe mon bras que je pose sur son bas ventre. Sa main se pose sur la mienne. Nos doigts s’entrecroisent. Je sens Yann bougé. J’ouvre les yeux. Je me demande ou je suis. Je suis tout contre le beau capitaine qui fait battre mon cœur. Il se retourne vers moi. Il me sourit. Je fond à chaque fois. Il est tellement beau. Il pose sa main sur ma joue.
« Bonjour. »
« Bonjour. Qu’est ce que je fais la ? »
« Tu t’es endormi dans la voiture quand j’ai voulu te ramener. »
« Désolé et merci de m’avoir emmené jusqu’à chez toi. »
« C’est un plaisir Kevin. »
Je pose ma main à mon tour sur sa joue. Nos visages s’approchent. Je pose mon front contre le sien. Nos lèvres se rapprochent. Il les dépose sur les miennes. Je réponds à son baiser mêlant ma langue à la sienne.
« Je suis bien la. Dans tes bras. »
« C’est pareil pour moi Kevin. On se connait depuis hier mais dès que je t’ai vu, ,j’ai su que c’est toi que j’attendais. »
« Je ressens la même chose Yann. »
On s’embrasse de nouveau. Nos mains se promènent sur nos corps. Je sens son érection. Je suis dans le même état que lui. Je m’allonge sur lui. Il me caresse le dos. Je frissonne. Je lui capture ses lèvres. Il passe ses mains dans mon boxer tout en caressant mes fesses.
« Yann, je veux qu’on prenne notre temps. Je veux pas qu’on aille aussi vite. »
« Je comprends. Tu as raison mon Kevin. »
Je le vois se lever et s’habiller. Il vient déposer ses lèvres sur les miennes.
« Je vais à la boulangerie. Avant que j’oublie. Ta mère a appelé. »
« Ma mère ? »
« Oui, je me suis permis de répondre. Elle a appelé deux fois. Elle veut que tu la rappelle. »
Il me donne mon portable. Une fois seule, je l’appelle. Elle m’annonce qu’elle vient. Je suis si heureux. Ma mère sera la aujourd’hui pour le jour de Noël et je serai avec Yann. Celui-ci arrive juste quand je viens de raccrocher. Je vais pour le lever pour le rejoindre mais il me demande de rester dans la chambre. On déjeune tous les deux. On parle de notre enfance et de ma mère.
« Ma mère est déjà sous ton charme. »
« J’ai hâte de la rencontrer. »
« Tu manges avec nous ce soir ? »
« Tu es sur que tu veux que je vienne. »
Je m’approche de lui déposant un doux baiser sur ses lèvres et je lui dis. « Oui, j’en suis sur. On vient de rencontrer mais je suis déjà accro à toi mon Yann. »
On passe la matinée dans son appartement. On arrête pas de parler, de s’embrasser sans aller plus loin. On veut prendre notre temps, se découvrir. Il est l’heure pour partir à l’aéroport. Une fois arrivé, nos mains se touchent. J’aimerai lui prendre la main mais je sais pas si Yann est d’accord pour se montrer en public. Sans rien lui dire, il me prend ma main qu’il apporte à ses lèvres pour l’embrasser et il entrecroise ses doigts aux miens. Il m’enlace par derrière. J’ai mes mains sur les siennes. Je l’aperçois. Je lui montre à mon capitaine. Je me détache de Yann et je cours vers elle. Je la prends dans mes bras. On est en larme tous les deux.
« Tu m’as tellement manqué maman. »
« Tu m’as manqué aussi mon fils. Je suis si content d’être auprès de toi pour le jours de Noël. »
« Moi aussi maman. »
Yann nous regarde. Je prends la main de ma mère et je lui présente. Elle embrasse et le prend dans ses bras. On va à la voiture. Yann me prend la main sous le regard de ma mère. Je la connais, elle va me poser des questions. Ce qu’elle fait immédiatement un fois qu’on est dans la voiture. Avant d’arriver à mon appartement, on s’arrête chez le restaurateur et à la boulangerie pour prendre le repas et la bûche. Je leur fais visiter. J’ai seulement un deux pièces.
La soirée se passer merveilleusement bien. On parle, on rigole. Yann nous parle de ses parents qu’il ne voit plus depuis un bon moment depuis qu’ils ont appris son homosexualité. Je prends sa main sous le regard de ma mère. Brigitte est fatiguée par le trajet. Elle m’embrasse et elle fait de même avec Yann. Elle va dans ma chambre. Je lui ai laissé. Yann m’aide à débarrasser. Je fais la vaisselle, il se colle dans mon dos. Il dépose des doux baiser dans ma nuque.
« Je veux pas que tu partes. »
« Tu veux que je restes dormir ici ? »
« Oui. Si tu le veux ? »
« J’attendais que tu me le demande. »
Je me retourne et je me jette dans ses bras. Je capture ses lèvres mêlant sa langue à la mienne. J’ai une folle envie de lui et pour lui c’est pareil mais la présence de ma mère dans la pièce d’à côté me bloque. On s’allonge. Il me prend dans ses bras. Il m’embrasse, on se caresse. Je suis tellement bien en sa présence.
« Yann. Je sais qu’on vient de rencontrer. Je ne peux pas l’expliquer mais je ne me vois plus vivre sans toi à présent. Je te veux auprès de moi. »
« Kevin, je ressens la même chose.
On s’embrasse une dernière fois. On s’endort immédiatement dans les bras l’un de l’autre. Pour ce jour de Noël, je suis si heureux. Ma mère est venue sur la capitale pour être près de moi et j’ai rencontré l’homme de ma vie. Celui qui fait battre mon cœur.
Fin