Les bleus premiers pas dans la police -A mon époux-Kevin et Yann-G

-Fandom : les bleus premiers pas dans la police
-Titre de l'oeuvre : A mon époux
-Pairing : Kevin et Yann
-Rating :G
-Les personnages de la série ne m’appartiennent pas. Je ne tire aucun bénéfice de leur mise en situation dans c


Lola et Léo étaient la maison de leur enfance, Lola a 55 ans et Léo a 59 ans. Ils prirent le coffre qui était sous le lit que Yann et Kevin leur avaient dit de prendre il y a quelques jours. A l'intérieur, il y avait des lettres et des photos. Lola prit la première lettre et regarda Léo et elle commença à la lire.

Mon cher amour,

Depuis le premier jour ou je t'ai vu, j'ais su qu'on était fait l'un pour l'autre que mon cœur était pour toi qu'il t'appartenait. J'ai commis beaucoup d'erreur depuis notre rencontre, je t'ai traité comme un moins que rien. Je venais te voir quand moi j'en avais envie et non quand toi tu voulais. Je me montrais froid envers toi et devant nos collègues je faisais celui qui ne te connaissait pas et je pouvais voir le mal que je te faisais et dans ses moments la je voulais te prendre dans mes bras mais mes peurs m'en empêcher.

Tu m'as présenté à ta mère, je ne voulais pas au début mais devant ton visage d'ange je n'ai pas pu refuser et quand j'ai vu ta mère j'ai compris d'ou te venait ta gentillesse et ton grand cœur. Je me suis senti si bien ce soir la, tous les trois ensembles. C'était la première fois pour moi et puis quelque temps après, il y a eu cette soirée quand nous sommes allés au restaurant ou tu n'as pas voulu me suivre et la j'ai compris la manière dont je pouvais te traiter et je le regrettais. Je rentrai chez moi, je ne faisais que penser à toi, je pensais à ce que j'allais te dire quand je me suis fait agresser. Ces deux hommes me sont tombés sur moi et je n'ai pu rien faire et je me suis retrouvé dans le coma. Tu as été la auprès de moi pendant tout ce temps, même si j'étais dans le coma, je sais pas comment l'expliquer mais je sentais ta présence, ton odeur, tes mains poser sur moi et tes paroles en me disant que je devais m'accrocher et tout ce que j'étais bon à faire en sortant du coma à été de te rejeter et j'ai vu dans tes yeux le mal que je venais de te faire et les larmes qui commençaient à apparaitre.

Tu es venu me voir, tu m'as dit ce que tu avais sur le cœur, tu m'as demandé de vivre avec toi et moi comme un con je n'ai pas ouvert la bouche pour te dire quelque chose et comme d'habitude ma peur avait pris le dessus et je suis parti en te laissant sur le trottoir sans me retourner mais quand je suis rentré chez moi, je me suis senti très mal car je sais que j'aurai du dire oui que je voulais vivre avec toi car tout simplement je t'aime et je l'ai su dès que je t'ai vu dans le bureau de Duval.

J'ai repris le travail, j'ai su que tu travaillais ce jour la, je suis venu te voir dans ton service et quand je suis arrivé, je t'ai vu avec Louis. J'ai senti mon cœur s'accélérer. Je t'ai laissé parlé et d'entendre ta voix me fit du bien même si dans tes mots, tu m'as fait comprendre combien tu avais souffert et ce qui m'a fait très peur c'est quand tu m'as annoncé que tu avais rendu les clefs du studio car je me suis dit que je venais de te perdre. Et il y a eu l'histoire avec ton père, on était dans les toilettes, je m'en rappelle quand si c'était hier et la je t'ai dit que je t'aimais pour la première fois. Je suis venu te voir dans ton bureau pour te donner des nouvelles de ton père, j'avais le besoin de plonger mon regard dans le tient et on a fait l'amour dans ton bureau, je me suis senti si bien, si heureux. J'ai eu une promotion pour partir à Amsterdam, je t'ai demandé de me suivre mais finalement je ne suis pas allé, je voyais que tu voulais rester ici auprès de tes amis et que tu allais être encore plus éloigné de ta mère. J'ai décidé de la refuser.
Nous avons emménagé ensemble pour mon plus grand bonheur, je n'ai pas toujours été facile et je le reconnais car je t'ai parlé mal et quand j'ai eu mon problème au bras, je me suis renfermé sur moi même et je t'ai rejeté à ma manière, ne voulant pas de ta compassion de ton regard mais j'ai compris bien plus tard encore une fois car en réalité c'était ton amour que tu me donnais. Et puis je me suis préparé à passer le concours de commissaire et tu as été la encore une fois pour moi. Un jour du ma fait la plus belle demande qu'on aurait pu me faire dans ma vie, tu m'as demandé de t'épouser. Moi Yann Berthier, on me demandait en mariage. J'ai répondu un OUI car je t'aimai plus que tout au monde. Nous nous sommes mariés à Madrid entouré de toutes les personnes que nous aimions.

Quelques moi plus tard après notre mariage, j'ai fait la plus grosse connerie de la terre en te trompant et ca je le regretterai toute ma vie et après il y a eu l'histoire avec le surfer et la notre amour en a pris un coup et il y a eu l'histoire avec le commissaire de la Bac. On s'est éloigné, on s'est séparé et tu es parti. Ce jour la, j'ai cru mourir, je n'avais jamais eu autant mal de toute ma vie. Je devais trouver un moyen pour que tu me reviennes car je ne pouvais pas vivre sans toi car je savais que tu étais toute ma vie. J'ai su par Brigitte que tu étais retourné sur Biarritz. Je devais faire quelque chose au plus vite.

J'ai téléphoné à ta mère pour la prévenir que j'allais t'envoyer la lettre que je suis entrain de t'écrire.

Kevin je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne. Je regrette sincèrement le mal que j'ai pu te faire et qu'on s'est fait. Tu es parti et je n'arrive plus à rien, tu es mon oxygène. Je veux qu'on se donne une seconde chance. Tu es tout pour moi Kevin, je t'aime tellement pardon Kevin. Je t'aime.

Ton Mari qui t'a toujours aimé et qui t'aimera jusqu'à son dernier souffle.

Yann

Lola et Léo étaient en pleure en lisant la première lettre. Lola tendit à Léo la deuxième.

"Tient lis la toi."

Léo commença à lire.


Mon cher Yann,

Je viens de lire la lettre que tu m'as envoyée, je ne sais plus ou j'en suis, suite à tout ca. Tout ce que tu viens d'écrire c'est vraiment ce que j'ai ressenti. J'ai eu très mal au début de notre relation quand tu venais quand tu voulais mais surtout quand tu partais après qu'on est fait l'amour. Je me sentais si bien dans tes bras et quand tu partais, tu me laissais; j'étais mal. Mais après tu revenais et tu plongeais ton regard vers émeraude dans les miens et avec ton sourire, et je craquais, je fondais devant toi. Le moment ou je t'ai présenté ma mère, j'étais si heureux et j'avais pu voir dans ton regard que toi aussi tu étais heureux. Il y a eu ton agression, je m'en suis voulu de t'avoir laissé, si j'avais écouté mon cœur au lieu de ma tête rien ne serait jamais passé et je m'en veux toujours. Je t'ai veillé jours et nuit à l'hôpital, je ne pouvais pas te laisser c'était impossible. Tout ce que je souhaitais c'était que tu ouvres tes yeux et c'est ce que tu as fait et quand j'ai croisé ton regard ton cœur s'est arrêté, j'ai eu si peur de te perdre à ce moment. Je n'aurai pas survécu si tu m'aurai laissé. Mais tu m'as laissé après, je me suis senti si mal, mon cœur avait mal. Et quand dans la rue, tu ne m'as pas répondu à ma question, je voulais tout plaquer, quitter la police quitter Paris et retourner chez moi mais Louis m'a parlé et à refusé ma démission.

Après tu es revenu me voir, tu as voulu me parler. Quand je t'ai vu, j'ai senti mon cœur s'accélérer mais je devais me montrer fort devant toi et de ne pas retomber dans la souffrance, je t'ai dit ce que je pensais et je t'ai dit que j'avais rendu les clefs du studio, j'ai vu que ca t'avait fait mal mais je devais penser aussi à moi. Et il y a eu le problème avec mon père ce qui nous a rapprochés et ou tu m’as dit pour la première fois que tu m’aimais, j’ai sentis mon cœur battre si rapidement, j’ai eu l’impression qu’il allait sortir de mon corps et il y a le passage dans mon bureau ou tu as collé ton corps contre le mien, ou j’ai senti ton souffle dans mon cou et tu m’as fait l’amour, je me suis si senti si bien de nouveau dans tes bras. Tu as eu ta promotion, tu m’as demandé de venir avec toi, je n’aurai jamais pensé, j’ai compris que tu tenais vraiment à moi et que tu voulais construire quelque chose avec moi mais tu as compris que je ne me sentais pas de partir loin de mes amis et encore plus loin de ma mère et tu l’as refusé pour moi.

On s’est installé ensemble et la j’ai vu qu’on était à présent un vrai couple. Je te découvrais un peu plus chaque jour en vivant avec toi. Je pouvais voir aussi tes faiblesses celle que tu ne voulais pas montrer. Il y a eu l’histoire avec mon père qui était revenu dans ma vie juste pour me prendre de l’argent et en plus notre argent qui était pour nos vacances et tu m’as dit quelque chose qui m’a marqué et qui m’a touché en plein cœur, « les tunes c’est pas grave, on s’en fou d’accord. Et puis, on est tous les deux c’est ce qui compte. » Il y a eu aussi ton problème de bras ou tu me l’as caché, je n’ai pas compris au début mais on en a parlé, j’ai compris tes peurs. Et Mercier m’a parlé du concours de commissaire pour toi, j’ai su que c’était pout toi, car tu étais fait pour ca. Il y a eu ma demande en mariage, j’avais eu si peur de ta réponse, de ta réaction car on en avait jamais parlé et je me suis jeté à l’eau et je t’ai demandé de m’épouser, je regardais dans tes beaux yeux verts en essayant de capter ce que tu ressentais et la tu m’as donné ta réponse et tu m’as dit Oui que tu voulais te marier avec moi. J’en ai eu les larmes aux yeux que tu as essuyés de tes pouces et tu as embrassé mes yeux et mes lèvres.

Et puis quelques mois après notre mariage, nos chemins ont pris une autre direction. Tu m’as trompé en boîte, rien que d’y penser je revois encore les photos qu’il avait posé sur facebook mais moi je ne fais pas mieux en te trompant et il y a eu aussi l’histoire avec ton commissaire ou je me suis fait frappé chez nous dans notre propre appartement et tout ceci nous a détruit.

J’ai préféré partir non pas parce que je ne t’aimais plus mais parce que je t’aime toujours autant mais que je ne sais plus ou j’en suis à présent. J’ai lu tout ce que tu as mis sur ta lettre et elle m’a touché énormément, elle m’a donné des frissons à certains passages et tout en lisant j’ai pu voir que tu étais sincère dans les mots que tu as écris. Tu veux une deuxième chance, tu penses qu’on va y arrivé cette fois sans se faire du mal comme depuis notre rencontre ? Mais même avec mes doutes, mes peurs, je sais que tout comme toi mon cœur d’appartient et que quoiqu’on fasse, on se retrouvera car on ne peut pas vivre l’un sans l’autre.

Mon cœur, je vais être franc, je t’aime, je remonte sur la capital pour toi mais je ne sais pas si je pourrai y rester assez longtemps après tout ce qui s’est passé. J’aimerai qu’on recommence notre vie à deux mais autre part. Je prends le train à la fin de semaine, on pourra se retrouver.

A dans quelque jours mon mari. Je t’aime.

Kevin

Suite à la deuxième lettre, Lola et Léo étaient toujours en pleurs. Ils avaient été touchés par les mots de leurs pères. Ils n’en avaient jamais eu connaissance avant de ses lettres et de toute cette histoire, Yann et Kevin leur avaient juste raconté leur rencontre, ils en avaient pas parlé car ils voulaient oublier ce qu’ils s’étaient passés.

Dans la boîte, il y avait des photos de Yann et de Kevin et d’eux aussi avec leurs pères à Biarritz dans leur maison ou ils avaient vécu depuis leur enfance. Cette maison ou il y avait eu tant de rire et tant d’amour.

Ils remirent le tout à l’intérieur de la boîte, Lola la ferma et la prit dans ses mains. Ils firent une dernière fois, le tour de la maison. Léo éteignit les lumières. Ils étaient à présent devant la porte. Tous les deux la mains sur la poignet, ils la fermèrent ensemble. Ils avaient descendu les marches et ils se retournèrent. Ils se virent eux petits dans les bras de leurs pères en rigolant, heureux avec tout leurs amours ou ils s’embrassèrent.