Stargate Atlantis- Cassure- Mckay/??-PG13

Les personnages de la série ne m’appartiennent pas. Ils sont la propriété exclusive de : Brad Wright. Je ne tire aucun bénéfice de leur mise en situation dans cette fiction.

Prologue

Deux années de bonheur brisées en une nuit.

Il l’embrasse dans le cou tout en lui caressant les côtes mais rien. Il soupire et  se rallonge à ses côtés.

- Je ne te plais plus ? Je ne te fais plus envie ?
- Si.
- Alors  pourquoi tu ne réagis pas.
- Pardon  Rodney.
 
L'amant de Rodney se penche au-dessus de lui et lui donne un baiser.

-  Pardon

Un  autre  baiser.

- Tu  me  pardonnes  

Un  autre  baiser  qui  fut  approfondi  par  Rodney. Son  amant  sourit  dans   le  baiser.
Le  baiser  se prolonge  de  caresses   ,  de  gémissements , puis  au  moment  de  l'extase  le  cœur  de  Rodney  se  brise. Son  amant  cri  un  autre  prénom que  le  sien. Son  amant  se  retire   et  s'allonge  à  ses  côtés. Rodney  se  met  sur  le  côté  ,  son  amant  le  prend  dans  ses  bras  et  à  la  phrase  de  ce  dernier  ,  les  larmes  que Rodney retenait  glissèrent  en  silence  le  long  de  ses  joues  .

- Ça  n'a  jamais  été  aussi  bon.

                                                OoOoOoOoOoOoO

Ils sont là , dans  la  salle de conférence , Rodney  regarde  son  amant, il  essaie  de  savoir  si c’est juste  du  désir  ou s’il le  trompe. Mais que ce  soit  l'un  ou  l'autre  son  cœur  lui fait mal.

-Bonjour  Rodney
-Bonjour   Carson  

Carson  s'assit  à  côté  de  Rodney ,il  le  regarde   mais  Rodney  évite son  regard .
Après  la réunion,  Rodney  se lève,  son  amant  se  colle  dans  son  dos  et  murmure à  l'oreille.

-Tu  viens  dans mes quartiers ce  soir.
-Non
-Hein !  Pourquoi ?

Son  amant  se  met  face  à  lui, voyant  l'air  triste  de  Rodney.

- Qu'est ce  qu'il  y  a ?  
- Juste fatigué
-Tu  es  sur
-Oui
-Colonel, nous devons y aller dit une voix derrière eux.
- J’arrive  (se  retournant   vers  Rodney)  mon  cœur, ça sera  long cette mission sans toi
-Pour moi aussi
Rodney  regarde  John  qui quitte  la salle, avec un  pincement  au  cœur.

                                                 OoOoOoOoOoO
               


Le  lendemain ,  Rodney  entre  dans  son laboratoire et  fut  accueillit  par   les  lèvres  de  John.

-Tu  m'as  manqué  cette  nuit.

"pourquoi  es  tu  si  tendre  ,  pourquoi  me  dis  tu  ça ?  M’aimes-tu malgré tout ?"

La  journée  finit  ,  Rodney  et  John  partent  chez  l'ainé ,  après  avoir  mangé  et  pris  une  douche   délassante  ,  ils  se  couchent   et  la  tendresse  prend le  dessus  mais  malheureusement  ,  John cri  le  même  nom   que  la  dernière  fois   : Lorne !
Cette  fois  ci    ,  Rodney  ne  put  cacher  ses  larmes.

-  Rodney  je  t'ai  fais  mal ?  

Rodney  pousse  John   ,  se  lève  et  s'habille

-où  tu  vas ?   Qu’est  ce  que  tu  as ?
-  Tu  ne  t'en es même  pas  rendu  compte
-De  quoi?
- Lorne!!
-  Quoi Lorne? Pourquoi tu me parles de Lorne ?
-Tu  as  jouis  en  criant  Lorne.    
-  Quoi  non je bégaye le colonel.
-  C’est  la  deuxième  fois  
-  Rodney

Mais  Rodney  était  partit.

Mais, mais il se passe quoi là!!!

Qui est le qui embête Roro?

Non mais il jour à quoi John là ? Pauvre Roro, il est malheureux et tout chamboulé... Mais enfin, il le fait exprès John ou quoi ? Comment peut-il jouer les innocents ? Mais qu'est-ce qui se passe ?

lapsus révélateur que va-t-il faire maintenant?

je suis désolée de faire subir ça à Rodney .
Merci les filles, la suite est plus ou moins écrite, je dois revoir deux petits trucs.

Pauvre Roro!!!! S'apercevoir que son amant pense à un autre en lui faisant l'amour!!! Reste à savoir qui va le consoler maintenant....

lol j'ai mal pour roro ! Qu'est-ce qui nous fait le john ! en plus, il ne s en rend même pas compte !

La suiiiiitttteeee !

Chapitre 1

Le lendemain, Rodney arrive en même temps que Carson au mess. Ils échangent un sourire mais celui de Rodney n'est pas le sourire qu'on lui connait et que Carson aime. John qui est déjà présent, se lève et s'avance vers Rodney.

- Rodney s'il te plait laisse moi t’expliquer.
- Je ne veux rien savoir.
- Rodney
- laisses-moi

La tristesse dans la voix de Rodney blesse John.

OoOoOoOoO

Le soir venu, John va aux quartiers de Rodney. Il est devant la porte, le canadien bloquant l’entrée.

- Je t'en prie écoutes moi. On ne peut pas gâcher deux ans comme ça.

Trop fatigué Rodney le laisse entrer.

- je t'aime Rodney , je ne veux pas te faire du mal .
- Mais avec Lorne...

John prend possession des lèvres de Rodney.

- John, tu dois m’expliquer
- Je t'aime

John l’embrasse à nouveau , puis passe ses mains sous son tee-shirt , il sait comment faire craquer son petit ami.
Rodney, craque et répond au baiser de son amant, il passe à son tour ses mains sous le tee-shirt de John et lui enlève. Malheureusement, une preuve de la trahison de John est là. Rodney pousse John.

- Rodney ? demande avec une voix inquiète et surprise le militaire
- dégages
- Mais
- tu viens de coucher avec lui, tu m’as trompé, il t'a laissé une belle marque.
- C’est une erreur
- non l'erreur c'est de croire que tu m'aimes !!
- Rodney
- va-t’en
- Rod..
- VA-T’EN !!!! Le canadien cri

John quitte les quartiers de son amant. Rodney s'écroule en larmes.

OoOoOoOoO

Le militaire entre dans ses quartiers, s’allonge dans son lit, pose son bras devant les yeux. Il est dépité. Rodney est toute sa vie. Laissant glisser des larmes de ses yeux, il pense à la façon où leur histoire à commencer.
Flash back
C’était après une mission difficile. Une forêt où le silence régnait, enfin sauf par les paroles du canadien. Ce dernier n’écoutait pas le militaire quand il lui disait de se taire. Sous un coup de colère, John avait attrapé par le col Rodney et lui avait dit froidement, les dents serrées.
- Soit vous la bouclez, soit je vous tus et je ne plaisante pas.
Il l’avait lâché et ils avaient continué d’avancer avec le reste de sga1. Rodney ne parlait plus, et ne croisait pas non plus les regards de ses collègues.
En arrivant sur Atlantis, le canadien avait disparu avant que qui que ce soit ne lui parle.
Lors du débriefing, Rodney ne lâchait pas sa feuille des yeux, et répondait par monosyllabe.
John avait voulu lui parlé, mais Rodney était doué pour s’éclipser. En rentrant dans ses quartiers le soir même, et comme il l’avait fait le restant de la journée, il pensait à Rodney. Il savait que c’était de sa faute si le canadien réagissait ainsi, et il devait admettre, qu’il préférait ses paroles incessantes, à ce silence. Quand il parlait, les mouvements de ses mains, le petit sourire fier quand il accrochait de l’écoute, John aimait voir son Rodney ainsi.
SON Rodney ?
Cette constatation lui faisait augmenter les battements de son cœur. Oui, Rodney était à lui. C’était son scientifique, son canadien, son râleur, son homme qu’il devait protéger coute que coute.
Comprenant ses sentiments, il se levait du lit où il s’était assis et se dirigeait vers sa porte quand celle-ci s’ouvrait sur l’objet d’affection du colonel.
La tête basse, le canadien s’était excuser de ne pas savoir se taire en mission, et qu’il ferait un effort pour l’écouter à présent.
John avait craqué, il avait pris le visage de Rodney entre ses mains et l’avait embrassé. Et pour son plus grand bonheur, le canadien y répondait.
Cette nuit là, le militaire c’était offert corps et âme au scientifique. Le lendemain, John voyant le trouble de Rodney s’était mis sur lui et lui avait dit les trois mots magiques : je t’aime.
Pendant prés de deux mois, ils vivaient caché leur liaison. Mais un soir Rodney lui avait demandé s’il pouvait en parler à Carson. John était un peu jaloux du lien entre les deux hommes, mais il s’était dit qu’en sachant que Rodney était pris, l’écossais prendrait du recul. Mais malheureusement pour lui, le canadien et l’écossais étaient toujours aussi proche.
Ils en ont parlé aussi à Elisabeth, le reste de sga1, et Radeck Zelenka.
Fin du flash back
John était heureux avec Rodney. Il voyait en privé un homme que personne ne connaissait. Le canadien était tendre, affectueux, câlin. Il aimait se blottir dans ses bras. Quand Rodney lui faisait l’amour, il se sentait réellement vivant. Cet homme était toute sa vie.
Alors pourquoi il avait fantasmé sur Lorne. Ce n’est pas par manque de tendresse, ni d’amour. Peut- être, le fait que pendant une mission dangereuse, lui et Lorne étaient coincés dans un endroit étroit et qu’ils ne devaient pas bouger, sentir cet homme des plus charmant près de lui l’avait chamboulé ? Peut- être mais ce n’était pas une raison. Il aurait aimé que Rodney saches que oui, il était avec Lorne, que ce dernier lui a fait un suçon, mais qu’il n’y avait rien eut de plus. Il n’avait pas pu, il n’avait rien ressenti. Qu’il avait pensé à lui, qu’il était partit.
OoOoOoOoO
De son côté, Rodney s’était réfugié dans les quartiers de Carson. Blottit dans ses bras, il pleurait à chaudes larmes, et lui racontait que John l’avait trompé.
L’écossais regardait une photo posée sur la commode dans le dos de Rodney. Quand cette dernière a été prise, il s’était juré que personne ne ferai du mal à son Rodney.

Et voilà: une fois de plus tout cela n'est qu'un simple malentendu et Rodney saute trop vite aux conclusions quand il ferait mieux de sauter sur John (je sais elle est facile, mais c'est la fin de l'année, je suis excusable... )
Carson va-t-il réagir en ami et être de bon conseil ou pousser Rodney a camper sur ses positions?

Ah ces hommes ! Tous les mêmes, tous des idiots... Qu'est-ce qu'il lui a pris aussi à ce John de malheur de jouer ainsi avec le feu, avec les sentiments de Roro, alors qu'il en est fou amoureux ? Totalement idiot, je te le dis moi... Le voilà bien avancé maintenant, j'te jure... Manquerait plus que Carson envenime les choses en voulant trop protéger son ami... J'espère qu'il sera de bons conseils...

Voilà enfin la fin 



 Le lendemain matin, après être passé dans ses quartiers pour se doucher et se changer, Rodney rejoignait Carson au réfectoire. Sur son trajet entre la fin du self et la table de son meilleur ami se trouvait la table de son ex amant. Il marchait la tête droite pour ne pas croiser le regard de son colonel. John arrivait souvent à le faire craquer en un seul regard, mais aujourd’hui c’était fini. Rodney l’aimait plus que tout au monde. Le militaire avait réussi à ouvrir son cœur mais il avait aussi réussi à le brisé en mille morceaux.

Assis face à son meilleur ami écossais, Rodney se forçait à sourire et de faire comme s’il n’était pas blessé à l’âme. Son ami l’avait compris et faisait tout pour le soutenir. Ils se connaissaient depuis une vingtaine d’années, depuis son arrivée d’Ecosse au Canada. Carson était souvent frappé et moqué par rapport à son accent entre autre jusqu’au jour où Rodney l’a aidé. Il s’en était pris autant dans la figure mais grâce à son sarcasme sans borne et quelques mises aux points, on ne les avait plus embêtés. Rodney était tout pour Carson, son meilleur ami, son frère, son confident, son premier amour. Amour qui est devenu une amitié sans borne. Il savait donc combien le canadien souffrait à présent.
Sentant un regard sur eux, l’écossais regardait d’où venait ce regard lourd et fut troublé par ce qu’il voyait, Sheppard avait presque les larmes aux yeux en fixant son ami mais il avait un regard noir, froid en le fixant lui. Était-il jaloux ? Si oui pourquoi avait-il trompé son ami ? Rodney avait-il mal compris quelque chose ? Carson devait en avoir le cœur net.

Après le petit déjeuner, quand il était à son bureau à l’infirmerie, il faisait appeler le colonel. Quand ce dernier arrivait, une tension épouvantable étouffait l’air.

- colonel, je dois vous parler de Rodney.
- si c’est pour me dire que vous le voulez pour vous, sachez que je…
- c’est mon meilleur ami.
- pourtant vous êtes souvent très proches.
- dit celui qui a un suçon d’un autre homme.
 
Sheppard baissait la tête.
 
- ce n’est pas ce qu’il croit.
- vous l’avez trompé et…
- non ! Je l’aime, Rodney est toute ma vie, je ne pourrais plus vivre sans lui. Oui Lorne m’a fait ce suçon mais c’était une erreur.  Je ne sais même pas pourquoi je suis allé à ce rendez-vous, j’ai tout ce qu’il me faut dans mon couple avec Rodney, enfin j’avais.
- tu me jures qu’il n’y a rien eu d’autre.
 
Le colonel se tournait vivement vers son amant qui était au pas de la porte.
 
- je te le jure mon amour, je t’aime, je suis désolé de ce qu’il s’est passé.
 
Rodney avait comme son amant les larmes aux yeux. Il s’avançait vers lui et légèrement tremblant, il posait une main sur le visage de son amant.
 
- je t’aime aussi tellement.
 
D’un même mouvement ils avançaient leur visage l’un vers l’autre et avec douceur ils posaient leurs lèvres les une sur les autres.
 
Carson souriait les yeux lui aussi brillant. Discrètement il quittait son bureau.
 
Il avait fallu presque deux semaines à Rodney pour se laisser aller dans une étreinte sensuelle avec John mais ce dernier avait compris et avait tout fait pour se faire complètement pardonné.
 
Un mois était passé et tout était revenu à la normale dans le couple mcshep. John jalousait toujours l’amitié entre son amant et le médecin écossais ce qui amusé les deux meilleurs amis surtout quand innocemment Rodney avait avoué à son homme que son ami était son premier petit ami. A ce moment là, John l’avait gardé enfermé dans ses quartiers pour lui montrer qui était maintenant son petit ami et surtout il se montrait plus câlin et protecteur. Teyla s’amusait à dire qu’à ces moments là, le colonel ressemblait à cet animal terrien, le koala.
 

Merci pour cette fin.

désolée pour l'immense retard, j'avais zappé cette histoire

et bien tout viens à point dit-on...
un happy end au final, j'ai bien cru que leur couple était définitivement brisé!

je n'allais pas briser un de mes couples préférés quoique ça m'arrive

  Enfin, les voilà revenus à la raison. Il en aura mis du temps, ce cher colonel, pour enfin récupérer son homme. Roro dans les bras de son Koala d'amour, je trouve ça plutôt mignon.

Merci pour cette jolie fin Orora.

Merci de m'avoir lu jusqu'à la fin ^^

Noooooooooooon c'est trop triste
le pauvre Rodney 
j'aime trop

Merci beaucoup ^^

Une jolie petite histoire Avec quelques vilaines péripéties au milieu, mais qui se termine bien

Trop triste le début