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 Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe

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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 5 Juin 2022 - 19:59

On en apprend de plus en plus sur l'enfance de Sherlock mais le mystère reste entier sur le présent! clin d\'oeil


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeJeu 9 Juin 2022 - 19:26

Bonjour, bonne lecture  clin d\'oeil


Sherlock raccrocha et se mit à envoyer une succession de SMS :

« Nous sommes allées à la maison avec John. SH
Qu’avez-vous trouvé ?
Une cassette vidéo. Une avocate nommée Marissa Graham nous a indiqué que Monsieur Rutherford m’avait envoyé un colis il y a de cela 3 ans. Nous allons le chercher chez mes parents ce soir. Soyez demain à 12 heures à Baker street, nous l’ouvrirons sous votre surveillance. SH
Très bien je serais là avec Donovan. »
 
« Mycroft, nous sommes allées à la cabane, nous n’avons trouvé qu’une cassette vidéo. SH
Que contenait-elle ? MH
Une avocate nommée Marissa Graham nous a indiqué que Monsieur Rutherford m’avait envoyé un colis il y a de cela 3 ans. Nous allons le chercher chez nos parents ce soir. Viens demain à 12 heures à Baker Street nous pourrons l’ouvrir ensemble. SH
Lestrade sera là ? MH
Bien sûre SH
Très bien je serais là MH »
 
Le trajet se déroula de manière silencieuse, quand Sherlock eut ranger son téléphone il partit dans son palais mental. John dut le secouer pour qu’il descende du train. Le père du détective les attendait sur le quai comme convenu.
Il paraissait heureux que son fils soit là. Dans la voiture qui les conduisit vers la maison des Holmes, son père dit :
 
« Ta mère à préparer du poulet avec des pommes de terre sautées, tu serais prié de manger au moins un peu
-Pas faim, répondit Sherlock
-Fait un effort ta mère l’a préparé pour vous deux, il insista sur le vous deux
-J’ai besoin de réfléchir pas de manger.
-Sherlock, fait un effort. Se répéta son père en soupirant. Je ne te demande pas de manger toute une assiette mais une ou deux pommes de terre et un peu de poulet. »
 
La discussion s’éternisa et John se rendit compte que le père de son ami, n’avait pas plus de succès que lui quand il s’agissait de le faire manger alors qu’il était sur un cas.
La voiture finit par se garer devant la maison qu’il avait vue tôt ce matin.
Ils entrèrent et s’assirent dans le salon, la discussion s’engagea :
 
« Bon pourquoi êtes-vous revenu ? Demanda la mère
-Il y a trois ans j’ai reçu un paquet, un colis et j’aimerais le récupérer.
-Si on à reçu quelques choses pour toi c’est soit dans ta chambre, soit dans le bureau de ton père. Dit la mère. Mais je ne rappelle rien de tel. »
 
Sherlock se leva et fit un signe de la main à John qui le suivit à l’étage. Ils entrèrent dans une pièce : un bureau, une penderie, un tableau périodique au mur et un lit. John vit aussi au plafond des étoiles phosphorescente.
Il aida Sherlock à fouillé : tiroir, penderie, dessous de lit, tout y passa mais rien. Alors il se dirigèrent dans une autre pièce, ici la fouille mit beaucoup plus de temps.
Alors que Sherlock avait enlevé un tas de papier pour regarder en dessous il vit une photo : deux jeunes garçons, un de 10 ans et l’autre de 3 ans qui tirait la langue à la caméra. Sherlock remarqua que la photo avait était coupé. Il se retourna vers son père qui était debout dans l’encadrure de la porte et lui dit :
 
« Pourquoi la photo a été coupé ?
-Coupé, comment ça ? Dit le père en s’approchant.
-Là, dit Sherlock en pointant du doigt une zone, on voit très clairement une découpe nette. Il manque quelques choses sur la photo.
-A, si tu le dis. Je me rappelle très bien le jour ou la photo a été prise et il n’y a rien qui manque sur la photo. Le père prit la photo et eut un sourire. C’est la seule fois où j’ai réussi à avoir une grimace de vous deux. Sa me rajeunit pas tout ça. Il se tut quelques secondes. Vous avez trouvé ce que vous cherchez ?
-Non, pas encore. Dit John en soulevant une pile de livre.
-J’étais venu vous dire que le diner aller être prêt dans une trentaine de minute »
 
Sur ces mots il quitta la pièce laissant John et Sherlock retourner toute la pièce.
Au bout d’une vingtaine de minutes, John s’écria : « Je l’ai ! »
Il tendit à Sherlock un paquet rectangulaire. Il y avait quatre timbres édités dans les années 80 et l’écriture était la même que celle de Louis. Il ne faisait aucun doute que Louis avait demandé à quelqu’un de la posté pour lui. Le poids du paquet était ambigu. Il ne pouvait pas dire ce qu’il y avait dedans sans l’ouvrir. Il devrait donc attendre demain.
Avant de descendre dans le salon ils firent un détour par la chambre de Sherlock pour y déposer le paquet.
Dix minutes plus tard tout le monde était attablé. La mère de Sherlock remplis les assiettes de tout le monde y compris celle de son fils. Ce dernier lança un regard de mépris à son contenue. Puis il se leva et partie dans la cuisine. Il revint avec une tasse fumante. Il se rassit et poussa son assiette le plus loin possible de lui.
 
« Sherlock tu voudrais arrêter de faire ton enfant et manger ce qu’il y dans ton assiette. Demanda le père
-Notre enquête à un peu avancer, dit Sherlock en buvant une gorgée de thé. Nous avons même appris un nom. C’était un nom un peu étrange : Eurus. Acheva Sherlock en regardant ces parents à tour de rôle. »
 
Les parents se figèrent quelques secondes et ce lancèrent un regard en coin. Puis le père se remit à couper son morceau de poulet et dit :
 
« Eurus, c’est un nom bien peu commun. Mais ça ne me dit rien. Et toi Catherine ?
-Moi, non plus sa me dit rien. Mais c’est un mot grec n’est-ce pas ? Elle leva les yeux au plafond pour réfléchir. Littéralement le dieu du vent d’Est. John sortit un petit calepin rouge de sa poche et nota l’information.
-Vous l’avez entendu où ce nom ? demanda le père.
-Dans une vidéo qui a été tourner quand j’avais trois ans. 
-Tu parle de quel vidéo ? questionna le père qui avait arrêté de manger pour regarder son fils
-Visiblement on a eu une tortue qui s’appelait Einstein. Eurus m’aurait fait escalader une bibliothèque pour aller la récupérer.
-Tu te trompe, c’est Mycroft qui t’avait envoyé escalader la bibliothèque, dit la mère. Il avait mis sa tortue là-haut pour voir si tu seras assez stupide pour grimper. Heureusement il y a eu plus de peur que de mal.
-Mycroft n’avait pas l’air de dire que ce n’était personne »
 
Les parents ne répondirent pas et le reste du repas se passa dans un silence de mort.
A la fin du diner Sherlock et John montèrent dans sa chambre. En entrant John vit un matelas, un t-shirt et un pantalon de survêtement. Il les prit et alla dans la salle de bain pour se changer.
Quand il revint Sherlock avait enlever sa veste et ces chaussures. Il c’était assis en tailleur sur son lit les mains sous son menton. John lui dit : « Bonne nuit », il n’obtient pas réponse. Il s’endormit dès que sa tête eut touché l’oreiller.
 
Il fut réveillé par Sherlock qui lui secoué l’épaule. Il avait déjà dû prendre sa douche car une odeur de gel douche flottait dans l’aire :
 
« Il est quelle heure, demanda John d’une voie pâteuse.
-8h30, notre train pour rentrer par dans 2 heures. »
 
Après la douche et le petit déjeuner. Le père repris la route pour les déposer à la gare. Cette fois ci le trajet fut silencieux.
La voiture se gara sur le parking et le père insista pour les accompagner au train et attendre avec eux l’heure du départ.
 
Leur train arriva à Londres à 11 heures 30, ils prirent un taxi pour rentrer à Baker Street et arrivèrent à 12h00 devant la porte.
Ils montèrent dans leur appartement, tout le monde était présent et attendais. Sherlock s’assit sur la table et posa le paquet pour que tout le monde puisse le voir. Avec beaucoup de délicatesse Sherlock enleva le papier, un carton apparut. Il enleva le scotch et l’ouvrit. Il en sortit son contenue : une cassette vidéo, une feuille de papier plié en deux et une liasse de document eux aussi plié en deux.
Avant de regarder les papiers Sherlock mit la cassette dans le magnétoscope, qu’il n’avait heureusement pas rangé la veille.
 
La caméra filma un fauteuil rouge matelassé. Il était dans le coin d’une pièce et l’on pouvait voir sur les murs des marionnettes. La déduction fut évidente, c’était le salon de monsieur Rutherford.
Quelques instants plus tard Léon apparut dans le champ. Il s’assit sur le fauteuil et paraissait mal à l’aise. Après un silence de quelques secondes il dit :
 
« Sherlock, je ne sais comment te dire ce qui va suivre alors j’en ai fait un spectacle. Un spectacle de marionnette juste pour toi. Si tu vois cette vidéo c’est que je ne suis plus de ce monde et que tu dois avoir au moins 18 ans, sinon plus. »
 
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeLun 13 Juin 2022 - 14:21

Bien le bonjour bravo 


Je dois dire qu'à la base je ne suis pas une grande fan de cette série, mais pour le coup j'ai vraiment accroché à ton histoire. J'aime beaucoup le concept des vidéos qui viennent ponctuer et étayer l'enquête au fur et à mesure des chapitres. Cette immersion dans l'enfance des frères Holmes apporte un réel supplément d'âme à l'ensemble. Plus on progresse et plus le mystère s'épaissit ! Qu'est-ce que Monsieur Rutherford a de si important à révéler à Sherlock ? interogation Et puis quel rôle Martin à joué dans tout ça ?


Hâte de lire la suite en tout cas !! Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 2152170178


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeJeu 16 Juin 2022 - 21:45

Bonjour, bonne lecture  :j:aime:


Louis attrapa une marionnette posée sur la table. Elle portait une longue vue et avait un tricorne sur la tête. A bien y regarder elle ressemblait à Louis. La marionnette se mit à bouger et monsieur Rutherford se mit à parler :
 
« Monsieur Rutherford était un marin, il adorait découvrir des nouveaux pays. Alors quand la guerre à éclater monsieur Rutherford à décider qu’il voulait entrée dans la marine. Il s’est engagé et a vu plus de choses qu’il n’aurait pu le croire. Un jour, il a dû aborder un bateau ennemi. »
 
La marionnette troqua sa longe vue contre une épée.
 
« Il a dû tuer pour survire et sa lui à plut. Il à demander à quitter la marine pour intégrer l’infanterie. »
 
La marionnette enlever son tricône et mis un calo, elle changeât son épée contre une mitraillette.
 
« Il est donc parti combattre en France. Mais il a été blessé peu de temps après et dut rentrer chez lui. »
 
La marionnette portait une béquille et n’avait plus de chapeau.
 
« Monsieur Rutherford était très triste, la marionnette avait un visage triste, mais il rentra quand même chez lui. Il retrouva sa femme Amanda, elle était très contente de le voir rentré. Mais lui il s’ennuyait, personne ne le regarder comme avant. On le prenait pour un lâche d’avoir quitté le front. Un jour un homme arriva devant la maison de monsieur Rutherford, il était très en colère. Il se mit à crier que son fils était mort, alors que lui été revenue. Il a ajouté que ce n’était pas juste. Comment la guerre pouvait-elle être juste, ce demandait monsieur Rutherford. L’homme l’empoigna violement en le projetant contre un mur. Monsieur Rutherford vit rouge, la marionnette avait maintenant un visage très en colère, et avant de comprendre ce qui venait de ce passé l’homme était à terre, la nuque brisée. Monsieur Rutherford décida de cacher le corps, pendant qu’il l’enterrer il se rendit compte qu’il avait adoré ça, la marionnette avait un visage souriant. Quelques jours plus tard, monsieur Rutherford voulait encore tuer. Il sentait qu’il en avait besoin. Alors ne trouvant personne il décida que sa femme ferait l’affaire. Il voulait essayer de nouvelle méthode devenant, avec le temps, de plus en plus perfectionniste. Monsieur Rutherford enterra toutes ces victimes, sauf une. Sa femme, il ne pouvait pas s’y résoudre. Personne n’a jamais soupçonné monsieur Rutherford d’avoir tué et il était fier de lui. Un jour deux enfants se sont approchés de sa maison. Monsieur Rutherford avait une victime dans la cave, un randonneur imprudent. Il ne voulait pas que les enfants s’approchent de sa maison, ils voulaient les faire déguerpir. Mais le plus téméraire des deux lui dit qu’ils étaient perdus et qu’il cherchait un téléphone pour appeler. Monsieur Rutherford c’est dit que c’était une chance, deux victimes de plus à ajouter à son tableau de chasse. Il les laissa entrer et les invita dans son salon. Il leur dit qu’il allait faire du thé pour aller bâillonner sa victime. Ensuite il prépara la boisson en ajoutant du somnifère. Il ne voulait pas que les enfants ce réveil avant qu’il sache ce qu’il allait faire d’eux. »
 
Sherlock était debout, il faisait les cent pas. Il ne paraissait pas comme d’habitude. Mycroft surveillait étroitement son frère, Sherlock pouvant être imprévisible par moment.
 
« Quand il revint dans la pièce Monsieur Rutherford vit qu’un des garçons était devant une de ces marionnettes. Il l’a regardé fixement, il paraissait envouté. »
 
Une autre marionnette fit son apparition, elle ressemblait à Sherlock enfant. Il s’est mis à parler à l’enfant :
 
« Pourquoi tu regardes la marionnette, la bouche d’une marionnette s’ouvrait et ce fermé
-Elle à quelques choses d’envoutante, répondit l’autre marionnette
-Monsieur Rutherford ne savait pas pourquoi mais ce garçon l’intrigué. Il a ensuite déduit des choses, des choses que monsieur Rutherford voulait garder secret. Il a fait des erreurs, mais monsieur Rutherford était tellement impressionné qu’il ne le contredit pas. Après avoir bu leur thé les enfants ce sont endormis sur le canapé. Monsieur Rutherford avait vu qu’un des enfants avait une caméra, il se décida de l’éteindre. Il ne fallait pas de preuve. Finalement monsieur Rutherford à trouver le garçon tellement intriguant qu’il a attendu que les enfants se réveille et les as ramené à leur parent. Le lendemain matin monsieur Rutherford est allée enterrer le corps de sa victime. Cette fois-ci il avait été beaucoup plus méchant que d’habitude et il mit plus de temps pour l’enterrer, il y avait beaucoup de morceau. Quand il arriva devant chez lui il vit le même garçon que la veille. Il était assis sur les marches et paraissait l’attendre. Monsieur Rutherford était tellement intrigué qu’il laissa le garçon entré. Ils discutèrent longuement, et pour la première fois depuis des années monsieur Rutherford n’eut pas envie de tué. Et le garçon revint tous les jours. Il était en vacances avec ces parents, mais il n’avait pas envie de rester avec eux. Monsieur Rutherford ne savait pas pourquoi mais il trouvait ce garçon tellement attachant qu’il décida d’arrêter de tuer. Il voulait arrêter pour que le garçon ne soit pas obligé de l’arrêter quand il serait détective consultant, comme il aimait le dire. Alors monsieur Rutherford décida d’offrit au petit garçon sa première marionnette pour lui montrer qu’il tenait vraiment à lui. Il demanda même au livreur de lui crée une boite postale en ville et de lui amener le courrier, comme sa il pourrait continuer à discuter avec le garçon. Quand le garçon vient pour la dernière fois monsieur Rutherford se demanda s’il ne devrait pas garder le garçon avec lui. Après tout il n’avait tué personne depuis un mois, puis il se rappela que le garçon avait un grand-frère. Même s’il disait le détester pour être partie à l’université, il sentait qu’il l’aimait bien. Alors monsieur Rutherford se souvient qu’il y a longtemps il avait lui aussi un frère et qu’il aurait fait n’importe quoi pour le retrouver s’il venait à disparaitre. Alors il le raccompagna en ville. Monsieur Rutherford à tenue trois mois avant de tuer à nouveau, les lettres ne suffisait pas il voulait que le garçon revienne. Alors il mit au point un plan… »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeSam 25 Juin 2022 - 17:14

Oh là là, quelle découverte !! confue, perdu Je m'y attendais tellement pas, Sherlock s'en doutait ou pas ? Telle est la question.

Encore un excellent chapitre bravo


Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 3759306833


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeSam 25 Juin 2022 - 23:14

Bonjour, Bonjour, voici la suite  bravo



Sherlock quitta la pièce et s’enferma dans sa chambre en claquant si violemment la porte qu’un cadre sur un des murs tomba et se cassa.
John mis en pause la cassette. Un bruit terrifiant ce fit entendre dans la chambre. Comme si quelqu’un avait retourner un bureau ou un lit.
Mycroft se leva et ce dirigea vers la chambre de son frère, suivit par les autres. Quand Mycroft entra dans la pièce Sherlock faisait les cent pas. Il cria :
 
« Je me suis trompé ! C’était un tueur en série et je ne l’ai pas vu. Je lui faisais confiance et lui il tuait des gens »
 
Mycroft s’approcha de son frère qui le repoussa avec violence. Sherlock continua de hurler, en envoyant valser une chaise, le bureau étant déjà retourner à l’autre bout de la pièce :
 
« Je ne l’ai pas vu ! Il a tué des gens, beaucoup et je n’ai rien fait pour l’arrêter !
-Sherlock calme toi, hurla Mycroft. Tu étais jeune, tout le monde peut…
-Je ne l’ai pas vu ! Hurla Sherlock à plein poumon. »
 
John remarqua que quelques choses clochaient dans la voix de Sherlock. Elle était plus sifflante que d’ordinaire.
Mycroft mis les mains sur les épaules de son frère et lui dit :
 
« Sherlock regarde-moi. Calme-toi ! 
-Je ne l’ai pas vu ! Je… lui… faisais… confiance ! Dit Sherlock avec difficulté. »
 
Il tomba à genoux quelques secondes plus tard. Ils n’arrivaient pas à reprendre son souffle et c’est là où John compris. Les personnes ayant eu de l’asthme en étant enfant, même si les crises cessaient à l’âge adulte, restait toujours asthmatique. L’un des facteurs qui pouvaient causer de l’asthme : une émotion intense. De là à dire que Sherlock avait ressenti quelques choses c’était tirés par les cheveux, mais cela expliquer la raison de sa crise.
Mycroft aida Sherlock à s’assoir dos au mur. Il dit :
 
« Regarde-moi Sherlock. On l’a déjà fait des centaines de fois. Tu vas faire comme moi. On inspire par le nez et on expire par la bouche. Voilà, doucement. Tu peux me dire ou es ton inhalateur ?
-Il… est… Hoqueta Sherlock. »
 
Mycroft regarda son frère : il avait les lèvres bleues et paraissait de plus en plus essouffler.
 
« Il est où !? Cria Mycroft »
 
Sherlock pointa du toi sa table de chevet. Mycroft se leva, ouvrit le tiroir, attrapa l’inhalateur et le secoua. Il poussa un juron et attrapa son téléphone portable.
 
« Bonjour, mon petit frère et entrain de faire une crise d’asthme grave.
-…
-S’il avait un inhalateur on ne vous aura pas appelé. S’injuria Mycroft
-…
-221 B Baker Street »
 
Il raccrocha et dit :
 
« Ils seront là dans huit minutes. »
 
John quitta le pas de la porte et ce mit au niveau de Sherlock qui hoquetait de plus en plus. Il entreprit de faire respirer Sherlock le plus calmement possible.
Lestrade ne savait pas quoi faire. Il était avec Donovan dans l’embrassure de la porte et regardait la scène avec inquiétude.
 
« Je peux faire quelques choses ? Finit-il par demander.
-Allez attendre l’ambulance. Dit Mycroft. »
 
Lestrade sortit de la pièce avec Donovan. Deux ambulanciers arrivèrent quelques minutes plus tard. Ils se précipitèrent sur Sherlock qui avait l’air vraiment mal en point. Il avait de la sueur qui était apparu au front et ces ongles avaient bleuis.
Pendant qu’un des ambulanciers lui mettait un masque sur le visage, l’autre se dirigea vers le groupe et leur demanda :
 
« Quelqu’un peut me dire s’il a déjà eu ce genre de crise avant ?
-Mon frère à de l’asthme depuis ces 4 ans. Il utilise du salbutamol quand il a des crises.
-Quel marque ?
-Apo-Salvent
-Quand la crise a-t-elle commencé ?
-Il y a une dizaine de minutes. Son inhalateur était vide, et la crise c’est aggravé.
-D’accord. Il jeta un coup à son collègue. On va l’emmener à l’hôpital pour l’aider à respirer. »
 
Malgré les faibles protestations de Sherlock il fut mis sur un brancard pour rejoindre l’ambulance.
Mycroft monta avec lui dans l’ambulance. Lestrade, John et Donovan les suivait en voiture banalisé toutes sirènes hurlantes.
Quand ils arrivèrent à l’hôpital, Sherlock fut emmener au déchocage et les quatre autres personnes en salle d’attente.
Une bonne quarantaine de minutes plus tard, un homme demanda s’il y avait de la famille pour Monsieur Holmes. Tous les quatre se dirigèrent vers lui.
 
« Y a-t-il de la famille proche parmi vous ?
-Je suis son frère.
-D’accord. La crise a été endigué, mais ça n’a pas été facile. Il va rester sous oxygène à haute dose pendant encore une heure ou deux. Au vu de l’intensité de la crise il va rester en observation cette nuit. Si vous voulez le voir vous pouvez venir.
-Avec Donovan on va rentrer au poste. Vous lui direz qu’on finira la vidéo demain. »
 
John hocha la tête et suivit le médecin et Mycroft.
Ils entrèrent dans une chambre. Sherlock était mis-assis, un masque sur le visage. Ils paraissaient épuiser. John et Mycroft s’assirent de part et d’autre du lit :
 
« Sa va Sherlock, demanda John
-Mieux, sa voie était caverneuse
-Je me rappelle une foi, dit Mycroft, tu devais avoir sept ans. Tu étais à un concourt d’orthographe et tu as fait une crise de panique qui s’est transformé en crise d’asthme aigu. Tu avais pu rentrer le soir, mais comme il était tard tu t’étais endormie. C’est papa qui avait porté jusqu’à la voiture puis jusqu’à ton lit. Il se tut quelques minutes. Depuis quand tu as recommencé à avoir des crises ?
-… »
 
Mycroft se leva et attrapa la veste de son frère, posé sous le lit dans un sac en plastique. Il en sortit un autre inhalateur, qu’il secoua :
 
« Vide aussi. Pour que tu es deux inhalateurs c’est que tu as eu une ordonnance. Alors je repose ma question. Depuis quand ?
-…
-Fait pas l’enfant. J’ai besoin de savoir et John aussi.
-Depuis que je suis rentré. Dit Sherlock de sa voix rauque
-Des Balkans ? »
 
Sherlock hocha la tête pour approuver. Il ferma les yeux et partie dans son palais mental. Il commença par ce réprimandé : il n’aurait pas dû réagir comme il l’avait fait. Il n’avait pas de sentiments, il ne savait pas dire quand il était en colère. Mais il savait que sa pouvait lui arriver de perdre pied. Quand son cerveau n’arrivait pas à comprendre ce qu’il ressentait il se produisait une sorte de blackout. Il se retrouver enfermer dans son palais mental et ne parvenait pas à en sortir. Et ça pouvait déclencher des crises d’asthmes. Il s’en voulait d’avoir eu une crise devant tout le monde. Sa faisait un petit moment que son asthme était revenu, mais il avait, pour le moment, plutôt bien réussi à le cacher. Il n'aimait pas montrer qu’il avait une faiblesse. Comment n'avait-il pu ne pas se rendre compte que son deuxième inhalateur était vide. Ils auraient dû mieux vérifier. Et une autre question lui tourna dans la tête : comment n’avait-il pas pu voir la vraie nature de Louis. Qu’est ce qui lui avait échappé.
Il senti quelqu’un lui toucher le bras, il ouvrit les yeux et vit John. Un médecin était derrière lui :
 
« Monsieur Holmes, on va retirer le masque et écouter vos poumons. »
 
Quand il eut fini il dit :
 
« Vous respirez mieux, on va pouvoir enlever le masque définitivement. Vous restez avec nous cette nuit et vous pourrez sortir demain dans la matinée.
-Non, dit Sherlock sa voix toujours rauque
-Pardon ?
-Comme vous l’avez dit la crise et terminé. Je vous signe une décharge et je rentre maintenant
-Vous avez eu une très grosse crise…
-Elle est fini. Vous me faite une ordonnance pour des inhalateurs et je m’en vais. »
 
Il avait un tel regard que le médecin hocha la tête pour approuver et quitta la pièce. Mycroft aida son frère à mettre ces chaussures et lui fit ces lacets malgré les grognements de protestation de ce dernier.
Ils partirent de l’hôpital et arrivèrent à Baker Street vers dix-sept heures trente.
Sherlock alla s’allonger dans sa chambre et Mycroft le suivit. Il redressa le bureau et le remis à sa place. Puis il attrapa la chaise et s’assit. Il regarda son frère et lui dit :
 
« Tu sais Sherlock, ce n’est pas grave que tu ne l’as pas vu. Tu n’es pas infaillible, tu peux faire des erreurs
-Il à tuer des gens, articula Sherlock en appuyant sur chaque mot
-Et alors, tu sais aussi bien que moi qu’un tueur en série peut ne pas être vue tout de suite. C’est un psychopathe et tu es un sociopathe. L’un comme l’autre vous vous ressemblé.
-Je n’ai tué personne
-Oui, mais qui te dit que tu ne le feras pas un jour. Sherlock, ne te blâme pas pour ce qui est arrivé. Et pour être honnête je suis content que tu sois rentré à la maison. Si tu avais disparu, ça m’aurait rendu… triste. Même si j’aurais pu récupérer ta chambre. »
 
Sherlock regarda son frère surpris.
 
« Alors comme sa tu m’en voulais d’être partie à l’université ?
-Faut croire, dit Sherlock en regardant le plafond.
-Sherlock dit toi que même si c’était un tueur en série, il a réussi à ne pas tuer pendant un temps, grâce à toi. Tu as été une bouée de sauvetage pour lui. »
 
Mycroft se leva et sortie de la pièce. Il entra dans le salon et vit John assit sur son fauteuil. La télévisons, toujours en pause, avait été poussé dans un coin. Mycroft était prêt à partir, il se retourna vers John : « Il ira bien. Désolé que vous ayez assisté à sa ».
Une heure plus tard Sherlock apparut. Il avait une tête horrible et s’allongeât sur le canapé
 
« Sa va mieux ? Demanda John
-Oui
-Donne ton ordonnance
-Pourquoi ? Je peux y aller tout seul.
-Parce que je suis médecin et que j’ai décidé de te proposer d’y aller pour toi. »
 
Sherlock tendit le papier, John le prit et dit :
 
« Tu restes dans l’appartement le temps que je revienne de la pharmacie. Et surtout tu ne sors pas sans un inhalateur »
 
Sherlock hocha la tête pour lui dire qu’il avait compris. Il ferma les yeux et se rendit dans son palais mental. Il vit l’homme, Louis il pouvait lui tourner autour et voir ces déductions. Comment ne pouvait-il pas avoir vu qu’il était un tueur, qu’avait-il manqué.
Son téléphone vibra. Il ouvrit les yeux et se rendit compte que John était parti. En tournant la tête Sherlock vit son BlackBerry sur la table basse à coter de lui. John avait dû le poser là avant de partir pour qu’il ne se lève pas s’il sonnait. Il tendit la main pour l’attraper et regarda l’écran. Il y avait un SMS de Lestrade :
 
« Nous avons un nouveau corps, dans l’affaire qui nous concerne. Je vous envoie le dossier dans la soirée
Je suis rentré à Baker Street. A quelle adresse vous êtes ? SH
Tu es sûre que tu es en état ?
Oui SH
159 Brick Lane »
 
Sherlock se leva doucement du canapé. Il avait des courbatures un peu partout mais au niveau respiration sa allait. Il enfila son manteau et descendit les escaliers. Arrivé en bas il comprit qu'il n’était pas sûr de pouvoir monter plusieurs étages sans avoir une autre crise.
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 26 Juin 2022 - 15:41

Et voilà, j'ai la réponse à ma question ça craint vraiment Sherlock n'avait rien vu à l'époque, et pour un homme comme lui c'est quelque chose d'inacceptable. Ce qui a pour conséquence de lui déclencher une violente crise d'asthme et bien entendu, il ne tient pas compte des conseils avisés de John ! L'enfant terrible rire démoniaque

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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeMar 12 Juil 2022 - 22:16

Bonjour bonjour, 
Désolé de poster le chapitre si longtemps après le dernier mais j'étais en vacances  arigatou et suit rentré récemment voler . Je vous met donc un chapitre un poile plus long pour me faire pardonner.  :j:aime: Bonne lecture !  bravo


En sortant il croisa Madame Hudson. Elle lui fit un sourire maternel et ce dirigea vers son appartement. Elle venait de rentrée et n’était donc pas au courant de la crise, une chance sinon elle aurait tout fait pour l’empêcher de partir.
 
Il héla un taxi et lui indiqua l’adresse.
 
Quand John entra dans le salon Sherlock n’était plus là. Il jura bruyamment et redescendit :
 
« Madame Hudson
-Oui
-Vous savez ou es Sherlock ?
-Il vient de sortir
-Mais il devait attendre que je rentre. Dit-il en soupirant de manière dramatique. Il ne devait pas sortir.
-Ah, vous savez je ne juge pas ce que vous faites avec Sherlock. Mais on faisait pareil avec mon mari, dit-elle avec un ton coquin
-Non, ce n’est pas ça, dit John mal à l’aise.
-C’est ce qu’on dit, dit Madame Hudson un peu déçu. Et n’oublier pas que je ne suis pas votre gouvernante. »
 
Sherlock arriva sur la scène de crime en moins de quinze minutes. Il descendit du taxi, Lestrade était là et l’attendait.
 
« Un homme a été retrouvé assassiné par un groupe de jeune. Le corps et au quatrième étage, dit Lestrade en commençant à monter les escaliers, on n’a pas encore son identité, mais il avait une clé USB dans sa poche. On n’a pas encore regardé son contenue mais on pense que c’est le même que dans la précédente affaire. »
 
Sherlock ne répondit pas, il suivait Lestrade en montant les escaliers normalement. Il espérait juste que les quatre étages n’allaient pas déclencher une nouvelle crise d’asthme.
Alors qu’il arrivait au palier du premier étage il sentit un gène au niveau de la poitrine. Il savait ce que ça voulait dire : une crise pouvait poindre le nez à tout moment.
Il n’était pas encore arrivé au milieu du deuxième étage, qu’il eut une nouvelle crise. Elle était moins violente que la précédent et s’il avait eu un inhalateur sur lui elle aurait pu être endiguer. Il aurait dû attendre John.
Il s’assit sur une marche et essaya de calmer sa respiration. Lestrade apparut devant lui et dit :
 
« Tu sais Sherlock, tu n’es pas aussi bon que tu peux le croire pour cacher quand tu es en difficulté. »
 
Il aida Sherlock à se remettre debout et à redescendre les escaliers. Sherlock protesta d’une voix sifflante :
 
« Je peux y arriver, il faut juste que je reprenne mon souffle.
-Tu sais, j’ai assisté à la crise de tout à l’heure et j’aimerais bien que ça ne se reproduise pas. »
 
Lestrade le fit monter dans sa voiture et après avoir donnée ces consignes à Donovan prit la route direction Baker Street. Il trouva John devant la porte, il avait l’aire en colère.
Sherlock sortit lentement de la voiture. John arriva à leur hauteur en deux grandes enjambées. Il tendit un inhalateur à Sherlock qui le prit sans rien dire. Il l’utilisa deux fois et fut content de constater que ça allait mieux.
John remercia Lestrade, qui leur dit qu’il reviendrait demain pour finir la vidéo et regarder la nouvelle. En disant cela il avait regardé Sherlock, il espérait qu’il réussirait à finir la vidéo sans nouveau débordement. La voiture redémarra et disparu dans la nuit.
 
Une foi dans l’appartement, Sherlock s’assit dans son fauteuil et prit son téléphone portable. John, s’assit en face de lui avant de parler :
 
« Est-tu content de toi ?
-Une nouvelle scène de crime, je devais y aller.
-Oui, c’est une bonne idée. Dit John de manière sarcastique en agitant les bras. Et la crise d’asthme était comprise dans la visite ?
-…
-Pourquoi tu ne m’as jamais dit que tu avais des crises d’asthme ?
-J’ai déjà répondu à cette question, tu te répètes.
-Tu as parler des Balkans à Mycroft que voulais-tu dire par là ?
-…
-Sherlock je suis médecin, j’ai besoin de savoir si mon meilleur ami à des soucis de santé pour savoir comment réagir en cas de problème.
-Je suis asthmatique depuis mes quatre, dit Sherlock en soupirant dramatiquement. J’ai un asthme d’effort et dans certain environnement je peux avoir une crise.
-Pourquoi ne pas me l’avoir dit avant.
-Tu n’avais pas besoin de le savoir. Je sais comment le gérer.
-Tu as effectivement l’air de savoir le gérer. Tu aurais fait comment sans inhalateur ?
-Je serais allé à la pharmacie dans l’après-midi si je n’avais pas eu une enquête en… »
 
Le téléphone de Sherlock vibra. Il regarda l’écran et se leva. Il s’assit devant la table et ouvrit son ordinateur. Il alla sur sa boite mail et ouvrit le message de Lestrade. John s’assit à côté de lui pour regarder le dossier de la nouvelle victime.
Sherlock regarda une copie de la carte d’identité de la victime. Il ferma les yeux et partie dans son palais mental. Il eut beau cherché, même dans des salles poussiéreuses ou il n’allait que rarement, il ne parvient pas à trouver le nom de la victime. Pour autant qu’il s’ache elle ne faisait pas partie de son entourage.
Dans la fin de soirée Sherlock reçu un SMS de Lestrade :
 
« La victime s’appelait Oliver Lewis. Professeur de géographie, marié sans enfant. Connaissais-tu la victime ?
Non SH »
 
Le lendemain matin, Lestrade entra dans le salon accompagné de Donovan et de Andersen. Sherlock était assis dans son fauteuil les mains sous son menton, probablement dans son palais mental. Lestrade se racla la gorge et Sherlock ouvrit les yeux. Il jeta un regard noir à Andersen et dit : « Mon frère sera là dans cinq minutes. »
 
En effet cinq minutes plus tard Mycroft entra dans la pièce. Tout le monde réussit à trouver une chaise. Et la vidéo de la veille repris :
 
« Alors j’ai mis au point un plan. Monsieur Rutherford c’est dit que le garçon pourrait revenir à la maison pendant une semaine ou deux. Mais pour cela il fallait que monsieur Rutherford fasse du ménage. Il devait nettoyer la cave et enlever le corps de sa femme. Le garçon, trop curieux, aurait pu tomber dessus par hasard. 
Alors qu’il faisait tous ces préparatif un homme frappa à la porte. Il portait un smoking et il dit qu’il était en panne. Monsieur Rutherford se dit que ça pourrait être son dernier. Il invita l’homme à entrer et lui donna un thé au somnifère. 
Après son crime monsieur Rutherford regarda dans l’attaché case de sa victime. Il trouva plein de document comptable. Monsieur Rutherford n’y connaissait pas grand-chose, mais ces chiffres avaient l’air vraiment étrange. Il décida de les ranger dans un tiroir et continua ces préparatifs. 
Tout était presque prêt, il ne lui restait plus qu’à s’occuper du corps de sa femme. Alors qu’il allait l’enterrait, monsieur Rutherford reçut une autre visite. Deux hommes en costume noire lui demandèrent s’il avait vu un homme. Quand il regarda la photo il reconnut sa dernière victime. Il leur dit que non, qu’il était désolé. Monsieur Rutherford se dit que ces documents devaient être important.
Il avait tout fini, tout était prêt pour recevoir le garçon mais Monsieur Rutherford savait que les hommes allaient revenir. Et il eut peur de mourir. »
 
On pouvait voir sur le visage de l’homme des larmes, elle coulait silencieusement.
 
« Il eut peur aussi que le garçon apprenne la vérité sur lui. Il voulait faire en sorte que le garçon apprenne tout de lui, de sa bouche. 
Alors monsieur Rutherford créa un spectacle, pour tout raconter au garçon. Mais il ne voulait que le garçon soit grand, avant d’apprendre la vérité sur lui. Il décida de demander au livreur de ne poster cette lettre qu’à partir de l’année 2001, s’il lui arrivait quelques choses. Il mit les documents concernant le comptable et la cassette de son spectacle. Mais il voulait aussi que le garçon trouve ces victimes. Alors il créa une charade qu’il mit dans le carton. »
 
Louis reposa les marionnettes et dit :
 
« Sherlock, je suis désolé de t’avoir menti. Je tenais vraiment à arrêter de tuer, mais je n’en étais pas capable. Je suis désolé d’avoir trahis ta confiance. »
 
Fin de la vidéo. Sherlock se retourna et tendis à Lestrade un papier. Lestrade le prit et lut une série de chiffre, des coordonnées GPS. Il regarda Sherlock avec un regard interrogateur :
 
« Vous trouverez les victimes de Monsieur Rutherford à cette adresse. Vous devriez y envoyer vos experts. »

Lestrade sortit pour téléphoner. Sherlock s’assit à table devant son ordinateur. Il l’ouvrit et y inséra la clé USB que Andersen lui tendit. Quand Lestrade revint Sherlock double cliqua sur le fichier : boite_de_pandore_2.avi.
 
La vidéo commençait devant une clôture. Il y avait beaucoup de voiture garée. La personne qui tenait la caméra sonna à la porte. Elle s’ouvrit sur un adolescent de 14 ans. Il fit un grand sourire à la personne qui était la et on pouvait voir qu’il avait des bagues.
 
« Ah tient j’ai eu les mêmes à cet âge-là, s’écria bruyamment Andersen. »

En réponse Sherlock lui envoya un regard de dégouté, qui signifiait clairement : « comment ais je pus avoir quelques choses comme lui un jour ? »
 
L’adolescent se poussa pour laisser entrer la personne. On pouvait voir des guirlandes scotchées un peu partout sur les murs. L’homme qui venait d’entrer dit :
 
« Bonjour Sherlock
-Bonjour oncle Rudy »
 
L’adolescent prit le manteau rose que lui tendait le nouvel arrivant et disparut à l’étage. Oncle Rudy se dirigea vers le salon et dit bonjour à beaucoup de personne.
La caméra été toujours en main et elle filmait tout et rien à la fois. Le seul fait amusant fut le moment ou on vit Sherlock se faufilait à quatre pattes entre les invités. Il se redressa devant une table ou des amuse-bouche et des coupes de champagne était posée. Il attrapa une coupe pleine et une poignée de quelques choses avant de filer dans un coin du salon. Il but une gorgée de champagne qu’il recracha presque immédiatement dans le verre en faisant une grimace. Il mangeât ce qu’il avait dans l’autre main et il reposa la coupe sur la table comme si de rien était.
La caméra changeât d’angle et elle filma une femme. Elle avait une coupe de champagne à la main et écoutait ce que disait son interlocuteur avec beaucoup d’attention :
 
« Tu sais, c’est un excellant poste pour Mycroft. Dès qu’il aura fini la faculté sa pourrait être intéressant pour lui de venir me rejoindre.
-Tu es sûre qu’il n’y aura pas de problème.
-Maman, dit l’adolescent
-Sherlock tu ne vois pas qu’on parlait
-Tu sais si Mycroft doit venir ?
-Je ne sais pas, il était clair à son ton que l’adolescent dérangeait. Tu ne pourrais pas trouver quelques choses à faire, plutôt que de tourner en rond et de dévaliser le buffet de toutes les cacahuètes. Sinon tu vas encore me dire que tu n’as pas faim pour le dîner.
-Tiens prend le camescope et filme tout ce qui se passe. Sa pourra faire des souvenirs pour plus tard. »
 
L’adolescent prit le camescope et partie dans un coin en soupirant bruyamment. Il alla dans l’entrer ou un téléphone à cadran rouge était posé. Il composa un numéro et s’assit pas terre.
 
« Bonjour, j’aimerais parler à Mycroft Holmes
-…
-Son petit frère
-…
-Très bien, dite lui juste de me rappeler quand il pourra. »
 
Il resta assis par terre quelques instants avant de raccrocher. Il enfila des chaussure et sortie de la maison. Il continuait de neigeait et une épaisse couche en recouvrait déjà le sol. Il s’assit sur le perron et posa le camescope à coter de lui.
Soudainement une fille apparut dans le champ. Elle avait des cheveux roux attaché en couette :
 
« Toi aussi tu t’ennuies, dit-elle
-Oui, répondit Sherlock
-Je m’appelle Alicia, on vient d’emménager. Et toi tu t’appelles comment ?
-Sherlock
-Enchanté
-De même, répondit poliment Sherlock
-Moi j’ai 13 ans et toi ? Continua la fille en s’asseyant à coté de lui
-Aussi
-J’ai reçu mon emploi du temps et je serais en 4S
-On sera dans la même classe, répondit placidement Sherlock
-Super ! Tu vas comment à l’école ?
-À vélo
-Super ! On pourra y aller ensemble. Continua Alicia avec en train.
-Si tu veux. Répondit placidement Sherlock. »
 
La porte s’ouvrit derrière eux et un rayon de lumière ce refléta sur la neige. Puis on entendit une voix :
 
« Sherlock, veut tu bien rentré il fait froid dehors. »
 
Sherlock se leva et pris la caméra. La fille se leva et ce dirigea vers chez elle en faisant un signe de la main à son futur camarade de classe.
Puis il rentra dans la maison.
 
Fondu au noir.
La caméra était encore noire, mais on entendait des voix qui chuchotait :
 
« Tu es sûre que ça fonctionne ?
-Mais oui, mais oui
-Alors pourquoi l’image est toutes noire ? »
 
Pas de réponse, mais la lumière se fit et l’image devint plus net. Elle filma deux adolescents de treize ou quatorze ans. La télévision était allumée et diffusée quelques choses en noire et blanc. Une voie de fille ce fit entendre :
 
« Attention, c’est bientôt le générique de début. »
 
Quelques secondes plus tard, on les entendit chanter à tut tête :
 
« They're creepy and they're kooky,
Mysterious and spooky,
They're all together ooky,
The Addams Family.
Their house is a museum
Where people come to see 'em
They really are a scream
The Addams Family.
Neat
Sweet
Petite
So get a witches shawl on
A broomstick you can crawl on
We're gonna pay a call on
The Addams Family »
 
 
Les voies se firent entendre de nouveau :
 
« Je suis contente que Sherlock et une copine.
-Oui, moi aussi. Sa nous feras de bon souvenir cette vidéo. 
-Oui, si seulement il était… »
 
Sherlock apparut devant eux, il tenait un saladier vide dans la main :
 
« On peut ravoir du popcorn on a tout mangé et du soda, s’il en reste.
-Bien sûre. J’y vais, retourne regarder ta série »
 
Il repartie s’assoir devant la télévision et la fille posa sa tête sur son épaule.
 
Nouveau fondu au noir.
 
La vidéo commençait autour dans un salon. Ils y avaient plusieurs personnes assises dans des fauteuils ou des chaises. Le petit groupe buvait une tasse de thé en discutant :
 
« Tu as entendu parler de ce nouvel impôt ?
-Oui, je trouve que c’est une aberration et… »
 
On entendit une porte qui s’ouvre. Tous les visages se tournèrent dans une même direction et on vit un adolescent passé en coup de vent. La personne qui tenait la caméra se leva et dit :
 
« Excusez-moi, mesdames je vais voir ce qu’il se passe. »
 
La caméra se mit en mouvement et monta des escaliers. Elle filma une porte. Une main apparut dans le champ et frappa doucement. Pas de réponse, mais la main ouvrit la porte.
La caméra fut posée sur une table et elle filma toute la chambre. La femme s’assit sur le lit à coter de l’adolescent et dit :
 
« Sherlock pourquoi tu n’es pas à l’école ?
-Je ne me sentais pas bien, répondit le garçon.
-Tu avais quoi comme cours cette après-midi ?
-Histoire
-Et si tu ne te sentais pas bien, ce n’est pas parce que tu ne voulais pas aller en cour.
-Non, j’ai mal à la tête et j’ai envie de vomir.
-C’est vrai que tu as l’aire un peu chaud. Dit la mère en posant sa main sur le front de l’adolescent. Attends-moi je reviens. »
 
Elle quitta la pièce et revint quelques minutes plus tard avec un thermomètre quel mis dans la bouche du garçon avant de redescendre. Le garçon plaçât le thermomètre sur une lampe allumé, puis entendant les bruits de pas dans l’escalier, éteignit la lampe et remis le thermomètre dans sa bouche. La mère le prit et dit :
 
« J’espère que tu n’as utilisé le coup de la lampe, comme Mycroft ? »
 
Le garçon hocha la tête de manière négative. La mère récupéra le thermomètre et regarda le résultat :
 
« Bon d’accord tu peux rester là. Mais demain tu retournes en cours. Elle se tut quelques secondes. Va te mettre en pyjamas et tu mettras ta chemise au linge sale. »
 
L’adolescent prit son pyjama et quitta la pièce. Sa mère attrapa le sac à dos posée par terre et se mit à fouiller dedans. Elle en sortit une feuille chiffonnait et un carnet de correspondance. Elle défroissa la feuille et la regarda. Elle parut surprise et ce remis à fouillé dans le sac. Elle ne trouva pas d’autre feuille froissée mais un deuxième carnet de correspondance. Elle le feuilleta et quitta la pièce avec toutes ces trouvailles, mais laissa le caméscope dans la chambre.
Sherlock réapparut dans le champ, il avait troqué son uniforme scolaire contre un bas de pyjamas et un t-shirt. Il n’avait visiblement pas vu le camescope et il ouvrit la porte de la penderie dans la quel il y avait un miroir de pied. Il souleva son t-shirt et dans le reflet du miroir on put voir un hématome rouge. Il rabaissa son t-shirt et s’allongea sur son lit en prenant un livre.
Quelques minutes plus tard la mère réapparut dans la chambre. Elle s’assit sur une chaise et dit avec un grand sérieux :
 
« Sherlock assied toi et pose ton livre. »
 
Sherlock s’exécuta sans rien dire :
 
« J’ai fouillé dans ton sac pour trouver ton carnet de correspondance et je me demande lequel je dois remplir ? Celui avec des mots de tes professeurs signés par moi ou celui où il n’y a rien. Sherlock ne répondit pas. Pourquoi tu as deux carnets demanda la mère ? N’obtenant toujours pas de réponse elle ajouta d’une voie qui ne laissait pas le choix. Quand je pose une question j’attends une réponse
-Je croyais l’avoir perdu, c’est pour ça que j’en ai deux. Dit Sherlock très mal à l’aise.
-Et les mots signés par quelqu’un qui imite très bien ma signature. C’est aussi un accident je suppose ?
-Je… Enfin… Heu…
-Bon, je crois que ton proviseur veut me voir. Je vais l’appeler pour lui dire que je me suis miraculeusement remise de ma laryngite bronchiolite, dit-elle en lisant une page d’un carnet, et que je serais ravis de le rencontrer. »
 
Elle se leva et sur le pas de la porte dit :
 
« Je suis déçu par ton comportement. Elle pinça les lèvres. Je vais en parler avec ton père, mais tu peux être sûre d’une chose : tu es privée de sortie et je viendrais te chercher à l’école tous les jours jusqu’à ce que je me sois calmé. Et avant que j’oublie, ton microscope que tu voulais à Noël. Tu peux l’oublier. »
 
Nouveau fondu au noir.
 
Une adolescente était assise sur une balançoire, Sherlock lui était assis par terre en tailleur. Ils avaient l’air d’avoir quinze-seize ans tout au plus. A en juger par leur tenue vestimentaire, c’était l’été.
 
« Pourquoi tu as amené un camescope ?
-Mon père est en voyage à l’étranger pour six mois, il m’a demandé de lui filmer des journées pour lui envoyer.
-C’est une super idée. Moi mon père il reste à la maison mais il parle peu. Il préfère rester dans son bureau à écrire. Elle se tut quelques secondes. Je peux te poser une question personnelle ?
-Vas-y. mais s’il elle ne me plait pas je ne répondrais pas. Dit Sherlock avec sérieux en tournant la tête vers Alicia.
-Ça veut dire quoi sociopathe. J’ai entendu toute l’école dire sa à ton sujet.
-Ça veut dire que je reste indifférent aux émotions des autres. J’ai tendance à ne pas suivre les normes et être impulsif.
-Moi on me dit que je suis trop émotive, on se complété plutôt bien. Dit la fille en souriant, elle avait commencé à ce balancé. Et c’est vrai que tu es un petit génie ?
-Il parait, dit Sherlock
-Alors si c’est vrai, pourquoi tu n’es pas premier de la classe ?
-Je ne veux pas être comme mon frère
-Ah ! Elle parut surprise. Comment ça ?
-On me compare toujours à mon frère quand je fais ou dis quelques choses et je n’aime pas ça. C’est agaçant, alors je fais en sorte d’être différent. Sherlock soupira et s’allongea dans l’herbe.
-Tu sais ce que tu vas faire après le lycée ? Moi j’aimerais aller dans une grande université et devenir avocate
-Je ne sais pas si je vais continuer. Après un silence. Les études c’est ennuyant.
-Mais si tu ne fais pas d’étude tu vas faire quoi après le lycée ?
-Ouvrir un cabinet de détective consultant
-Ou j’ai une meilleure idée : on finit nos études en même temps et on ouvre un cabinet avocat-détective. Dit Alicia avec beaucoup d'en train tout en se balançant de plus en plus haut. Tu résous les crimes et moi je défends les coupables. Sa pourrait être le duo infaillible.
-Oui, mais je choisis les cas que l’on accepte ou non. Comme sa on serait le cabinet avocat-détective consultant. On serait les premiers à le faire. Le ton qu'employé Sherlock laissé entendre qu'il souriait. »
 
La fille éclata de rire, elle continuait de se balancer toujours plus haut, toujours plus vite. Au bout d’un moment elle dit :
 
« Ce soir on va avec les autres au lac artificiel, pour faire la fête. Tu veux venir ?
-Non, ça ne m’intéresse pas.
-Allez s’il te plaît, je n’ai pas envie de rentrer seul après.
-Non merci, répéta Sherlock
-Tu sais y’a des fois ou tu es vraiment rabats joie.
-Y’a aucun intérêt à aller perdre du temps à faire la fête
-L’intérêt c’est de s’amuser, décompresser. Tu pourrais essayer, juste une fois.
-…
-Et puis sa pourrais se transformer en expérience scientifique, dit-elle d’une voix innocente en continuant de se balancer.
-Bon d’accord, mais juste pour la science. Conclue Sherlock en soupirant de manière dramatique.
-Parfait, je passe te prendre à 20 heures. On ira à vélo »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeVen 15 Juil 2022 - 23:16

L'enquête continue de progresser. Bien sûr, Sherlock n'a pas écouté les conseils de John et il a fait une autre crise. Par chance, tout s'est bien terminé pour lui cette fois-ci ! Puis on en apprend un peu plus sur son adolescence. Maintenant je me demande quelle place occupe chacun des protagonistes dans toute cette mystérieuse affaire interogation bravo

Et comme Madame Hudson, j'aimerais bien voir Sherlock et John ensemble. Cette femme a d'excellentes idées  rire démoniaque


Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 3759306833


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeVen 22 Juil 2022 - 20:06

Bonjour, voici la suite bonne lecture.

Fondu au noir, qui dura quelques secondes. La caméra avait été posée quelques parts et elle filma les deux adolescents. Sherlock portait un short en jean et une chemise blanche à manche courte. Alicia était vêtue d’une robe jaune, légère, qui lui arrivait au-dessus des genoux. Elle paraissait heureuse, épanouis. Elle embrassa Sherlock sur la bouche et dit :
 
« Mon père à prit mon vélo pour aller en ville, je peux monter avec toi. »
 
Sherlock prit la route, la caméra filma ce qui se passait devant. On entendait la voix d’Alicia lui indiquait le chemin. Ils débouchèrent en haut d’une pente. En contre bas on pouvait apercevoir un lac artificiel. Ils laissèrent le vélo là et la caméra se mit en mouvement. Ils arrivèrent quelques secondes plus tard devant un groupe de jeune qui était assis devant un feu de camps. Ils avaient tout au plus 16-17 ans. On pouvait voir des bouteilles de bière et de la vodka un peu partout. Tout le monde les regarda à leur arriver dans un silence pesant. Alicia, qui ne perdait pas le nord, dit :
 
« C’est Sherlock, mon petit ami. Je lui ai dit de venir. »
 
Progressivement les discussions reprirent et la musique suivit. Les adolescents avaient l’air de bien s’amuser, Sherlock c’était même prit au jeu en allant danser avec Alicia. Tout avait l’air parfait. La soirée touchait à la fin, et les lycéen se dispersèrent pour rentrer chez eux.
Alicia suivait Sherlock, il devait remonter la pente avant de regagner le vélo. Ils avançaient lentement pour ne pas tomber. La lune était haute, une chance.
Alors qu'ils étaient arrivés en haut quelques choses se passa, car la caméra tomba au sol sans explication. L’instant d’après on entendait la voix d’Alicia crier :
 
« Laissait le tranquille, il n’a rien fait
-Arrête tu vas le tuer si tu continues. »
 
Puis on entendit des cries déchirant. Puis de nouveau, une voix très faible mais audible :
 
« Laissez là tranquille
-Ta gueule ! hurla quelqu’un »
 
La vidéo filma un ensemble de crie et de pleure qui finirent par se transformer en gémissement. Puis des bruits de pas qui court, puis plus rien.
 
Il y eut un nouveau fondu au noir. La vidéo se ralluma au même endroit que quand elle c’était arrêter. Il faisait jour et on pouvait entendre des chiens, qui aboies.
Puis quelqu’un qui crie : « Ils sont là, je les ai trouvés. ».
Des bruits de pas qui court, puis quelqu’un qui hurle : « Appelé une ambulance. »
Et enfin un crie d’effroi : « Oh mon dieu, elle est morte »
 
Puis nouveau fondu au noir. Cette fois la caméra filma un homme il avait une petite trentaine d’année, des cheveux châtains coupées courts :
 
« Inspecteur Williamson en charge de l’affaire Amélia Cartwrite. Interrogatoire Sherlock Holmes, hôpital générale, 22 août 2000. »
 
Il se recula et on pouvait voir l’adolescent. Il avait des marques de coups au visage, un énorme pansement au-dessus de l’arcade sourcilière gauche. Une jambe plâtrée était posée sur un coussin. Il regardait fixement le mur en face de lui. Le policier s’assis à coter du lit et commença son interrogatoire :
 
« Comment avez-vous connu la victime ?
-On c’est rencontrer le 24 décembre 1996 à 21h. Elle venait d’emménager et est venu discuter car elle s’ennuyait. Le policier parut surpris du nombre de précision de Sherlock
-Très bien, donc ça fait 4 ans que vous vous connaissiez.
-C’est ce que je viens de dire, non ? Dit Sherlock d’une voix agacé.
-Oui, oui, confirma l’inspecteur. Mais je voulais juste confirmer. Que faisiez-vous dans la forêt en pleine nuit ?
-Alicia m’avait demandé de l’accompagner à une fête.
-Votre mère m’a indiqué que vous avez quitté le domicile familial à 20 heures. C’est curieux que vous soyez partie à l’heure à la quel la fête devait commencer.
-Alicia m’a demandé de passer la prendre à 20 heures. Je suis passée la prendre à l’heure qu’elle m’avait demandé. Je ne lui ai pas poser plus de question.
-Bon, et à quelle heure c’est fini la fête ?
-Minuit trente. Dit Sherlock, continuant de regarder obstinément le mur.
-Donc, s’il était minuit trente vous ne deviez… »
 
L’homme ne finit pas sa phrase, une porte venait de s’ouvrir à la volé dans un grand « BANG ». Le policier regarda le nouvel arrivant d’un regard interdit :
 
« Je peux savoir qui vous êtes
-Mycroft Holmes, répondit le nouvel arrivant, Je suis détaché au ministère de l’intérieur. Pourriez-vous me laisser seul quelques instants avec mon frère.
-Je suis désolé, mais… vous savez… enfin… ce n’est pas dans la procédure. Bafouilla le policier prit au dépourvus.
-Vous savez mon chef, connais votre chef et je ne crois pas me tromper en disant que le miens peut aisément vous envoyer en arctique ou dans tout autre endroit peu recommandable. Il avait dit ces mots avec un ton mielleux. C’est ce que vous voulez ? »
 
Pour toute réponse, le policier sortit et claqua la porte derrière lui pour montrer sa désapprobation. Mycroft apparut dans le champ de la caméra. Il paraissait avoir 25-30 ans et contrairement à son habitude il était vêtu d’un jean et d’un t-shirt. Il était aussi beaucoup plus rondouillard qu’aujourd’hui. Il s’assit sur la chaise qu’avait occupé le policier quelques minutes plus tôt. Et regarda son frère qui le regardait aussi. Sherlock reprit sa contemplation du mur et dit :
 
« Qu’est-ce que tu fais là ?
-Tu sais quand tu reçois un appelle paniquer de te mère te disant que ton petit frère a été victime d’un passage tabac et qu’il est à l’hôpital tu revois quelques peut tes priorités. Papa est là ?
-Hong Kong. Il doit rentrer la semaine prochaine.
-Je sais que tu dois en avoir marre de répondre à la question mais que s’est-il passé ?
-Tu sais ce qui s’est passé. Je n’ai pas besoin de répondre à ta question.
-Je veut l’entendre avec tes mots
-Je ne sais pas, ce qui s’est passé, répondit Sherlock en soupirant bruyamment. J’ai beau essayé de me souvenir, c’est le trou noir.
-Bon, maman m’a dit que tu avais une commotion tu penses que c’est dû à ça ?
-Qu’est-ce que tu veux que j’en sache. Je n’arrive pas à me souvenir de ce qui s’est passé, un point c’est tout. Avait crié Sherlock.
-Bon d’accord, si tu le dis. Je vais rester la pendant l’interrogatoire. Ce policier veut un coupable et il t’a dans le collimateur. »
 
Mycroft se leva et disparut du champ de la caméra. Quelques instants plus tard l’inspecteur Williamson réapparut.
Il regarde ces notes et dit :
 
« Donc, vous avez fini la fête vers minuit trente
-A
-Pardon ?
-Pas vers minuit trente, à minuit trente.
-D’accord, qu’avait vous fait quand vous avez quitté la fête ?
-On a repris le même chemin qu’a l’allée afin de récupérer mon vélo.
-Pourquoi vous êtes-vous garé la ? Il n’était pas plus logique de vous rapprocher plus la fête ?
-C’est Alicia qui m’a indiqué le chemin.
-C’est pratique d’utiliser Alicia, elle n’est pas là pour se défendre.
-Je n’utilise pas Alicia ! Avait crié Sherlock. Vous me poser des questions je ne fais qu’y répondre.
-Si vous le dites. Je constate cependant qu’à chaque question que je vous pose, vous me répondez par Alicia à dit. Ce qui est commode avec votre version, c’est qu’elle n’est plus là pour confirmer les faits. Elle a été assassinée dans des conditions affreuses et vous étiez le seul présent. Pour moi c’est vous avez fait le coup. L’inspecteur avait dit sa avec un grand sourire
-Vous avez dut interroger Billy Cochrane, sinon vous ne seriez pas là. Dit Sherlock, plus calme
-Comment ça ?
-Il était à la fête et de un, Sherlock leva un doigt, il est de notoriété publique qu’il me déteste et de deux, il leva un deuxième doigt, il voulait que Alicia sorte avec lui. Donc si je résume les faits. Vous avez une victime qui a été attaqué dans les bois non loin d’une fête. Vous avez dû retrouver des traces mais vous ne pouvez pas exploités celle qui correspondent au participant car ils vous diraient qu’ils sont partis dans les bois pour être un peu seul dans la soirée. Il vous faut quand même un coupable car c’est votre première vraie enquête depuis que vous avez été promu. Alors vous décidez que n’importe qui fera l’affaire. Et vous vous dites que le meilleur coupable et celui qui s’est fait passer à tabac. Après tout il a un super alibi et une excuse parfaite pour avoir oublié les faits. Et puis si c’était un marginal ou vagabond quelqu’un l’aurait aperçu en ville et vous l’aurez signalé. Sherlock regardait l’inspecteur maintenant. Oh, il n’y avait pas un agresseur mais plusieurs.
-Comment pouvez-vous savoir qu’il y avait plusieurs agresseurs si vous ne vous souvenez de rien.
-Je pense que l’entretient et fini, dit Mycroft. Vous avez eu vos réponses. »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeLun 1 Aoû 2022 - 22:37

Bonjour, bonne lecture (n'oubliez le petit com pour l'autre il apprécie toutes les remarques, même négative.)

Fondu au noir. La vidéo repris dans la chambre de Sherlock. L’adolescent était allongé sur son lit sa jambe plâtrée posé sur un cousin. Il avait un plateau posé sur les genoux sur lequel reposait un cahier et un dossier. On pouvait le voir griffonnée avec frénésie.
Soudainement Sherlock mit tout ce qu’il y avait sur le plateau sous son lit pour le remplacer par un gros livre qu'il tenait à l'envers. Sa mère s'arrêta sur le seuil de sa chambre quelques instant plus tard. Elle lui demanda :
 
« Tiens-tu as allumé le camescope ? Pourquoi ?
-Comme ça, pour m’amuser
-Ça va ? Tu as besoin de quelques choses ? Son regard s'attarda sur le livre, mais elle ne fit aucune remarque.
-Non, merci.
-J’ai eu ton père au téléphone. Il réussit à se libérer et va rentrer demain. Après un hochement de tête de Sherlock, elle continua. Je dois sortir faire des courses, tu as besoins que je te ramène quelques choses ?
-Non, merci.
-Mycroft à dut retourner à Londres pour récupérer des affaires. Il a pu trouver quelqu’un pour le ramener donc il sera de retour d’ici une demis heure.
-D’accord. »
 
Elle entra dans la pièce pour l'embrasser avant de partir. Quelques minutes plus tard, Sherlock posa le livre toujours à l'envers par terre pour reprendre le dossier et le cahier. Il relut quelques choses dans le cahier avant le fermer puis il posa le plateau et s’assit au bord du lit. Après avoir enfilé une basket il attrapa un sac qu'il remplit avec le dossier, le cahier et une boite de punaise qui se trouvait dans le tiroir de la table de chevet. Une fois le camescope fixé au sac, il prit ces béquilles. Quelques instant plus tard il quittait sa chambre.

Après une microcoupure on put voir l’endroit ou Sherlock avait garé son vélo. Il posa son sac avant de s’assoir sur une souche. Il en sortit le dossier et la boite de punaise. Il clopina pour positionner les photos là où elles avaient été prises.
Puis il se rassit à coter de son sac et marmonna :
 
« On était en train de monter la pente et on y voyait claire grâce à la lune. Il devait y avoir quelqu’un qui nous attendais. La bande à Billy est partie un peu avant nous. Ils auraient donc eu le temps d’arriver ici et nous attendre. Mais il devrait y avait des mégot, Patrique fume au moins un paquet par jours…
-Pris sur le fait, dit une voix. J’avais entendu dire que les criminelles venaient sur les lieux de leur crime mais je n’y avais pas encore assisté jusqu’à maintenant.
-Ce n’est pas moi qui ai tué Alicia inspecteur Williamson, je l’aimais bien
-J’ai reçu, continua l’inspecteur comme si Sherlock ne l’avait pas interrompu, un rapport très intéressant. Dans ce rapport ils disent que vous êtes un sociopathe. Je me suis renseigné et un sociopathe tu.
-Les sociopathes ne tuent pas. Ce sont les psychopathes qui tuent. Répondit Sherlock froidement
-Pour moi c’est la même chose. Williamson apparut dans le champ. Son père nous as dit qu’elle vous aimait bien, que vous étiez son petit ami. Alicia vous faisait confiance et vous, vous l’avez tué. Mais vous êtes bien trop malin pour avoir laissé des preuves.
-Vous avez regarder dans son journal intime ? Williamson ne répondit pas, il avait un regard interrogateur. Alicia tenait un journal intime depuis son arrivé ici.
-Comment peux-tu le savoir.
-Elle me l’avait dit.
-Et ou l’aurait elle caché on a fouillé toute sa chambre et on n’a rien trouvé.
-Il est caché sous lit, Dit Sherlock, il y a deux lattes du parquet qui peuvent s’enlever. »
 
Il y eut quelques instants de silence et on put entendre des oiseaux gazouillés quelques part dans la forêt. Williamson regardait Sherlock avec curiosité, il n’arrivait visiblement pas à le cerné. Sherlock fini par dire :
 
« Vous voulez savoir pourquoi je suis revenue sur les lieux du crime ?
-Je t’écoute
-Je veux comprendre ce qui s’est passé. Je veux trouver celui qui a fait sa à Alicia. »
 
Il avait dit ces quelques mots avec un regard tel que Williamson recula de deux pas. Il regarda de nouveau Sherlock et lui dit :
 
« Bon, si tu trouves quelques choses tu me le dis. Voici ma carte. »
 
Il lui tendit un bout de papier et partie.
 
La vidéo était finie.
 
Donovan dit :
 
« On à retrouver l’assassin d’Alicia ?
-Non, dit Sherlock. L’enquête à durer près de cinq ans et rien, pas un indice. »
 
Sherlock se leva et s’assit dans son fauteuil. Il mit les mains sous le menton puis ferma les yeux
Il se rappelait très bien Alicia et il se rappelait tout aussi bien l’affaire. Mais il n’arrivait toujours pas à faire le lien entre elle et monsieur Rutherford. Il était sûr qu’il n’avait jamais parlé de lui à Alicia. De plus il y avait peu de chance qu’elle l’ai rencontré.
Quelqu’un avait assassiné Martin, mais pour quelle raison ? 
Ces parents avaient toujours cru qu’il s’entendait bien mais ce n’était qu’une façade. Après quelques recherche dans quelques pièces poussiéreuse de son palais mentale, il en était venue à la conclusion qu'il se détestait cordialement.
On aurait tué Martin parce qu’il tyranniser Sherlock ? Non ce n’était pas logique. Sinon on n’aurait pas tué le professeur de Géographie. Lui il était sûr de ne pas le connaitre.

Quelle pièce pouvait bien manquer.
Il prit un peu de recul et remis tous les éléments de l’affaire côte à côte. Il se rendit compte alors qu’il y avait un point commun. Il dit à voix hautes : « Brillant ! ».
En rouvrant les yeux il constata qu'il était seul dans la pièce. Un regard par la fenêtre lui apprit qu’il n’était pas loin d’une heure du matin. Il ne pensait pas avoir passer autant de temps dans son palais mental.

Il se leva et s’étira un coup. Il avait mal au dos à force d’être resté assis. Il se rendit dans la cuisine et se prépara une tasse de thé qu’il emporta dans sa chambre. Il se mit en pyjamas, s’assit dans son lit, but une longue gorgée de thé brulant avant de s'allonger.
Il se demandait toujours qui avait bien put commettre tous ces meurtres quand il s’endormit sans s’en rendre compte.
 
Il se réveilla le lendemain aux alentours de 7 heures. Il grommela contre lui-même de ne pas c’être réveillé plus tôt. Il se leva lentement du lit ayant des courbatures partout. Il se traina dans la salle de bain. Après c’être douché et avoir pris un doliprane il se rendit dans la cuisine. Il se prépara une tasse de thé avant ce laissa tomber dans son fauteuil.
John apparut une heure plus tard. Il regarda Sherlock et lui demanda :
 
« La salle de bain et libre ?
-Oui »
 
John réapparut quinze minutes plus tard en peignoir. Il monta s’habiller. Quelques instant plus tard il réapparut et s'assit dans son fauteuil. Il dévisagea Sherlock en silence pour être sûre qu'il n'était pas dans son palais mentale.
 
« Tu as remarqué quand Lestrade et partie ?
-Non, je réfléchissais.
-Lestrade et son équipe vont chercher le dossier de l’affaire et voir s’il y a un rapport avec la victime et Alicia.
-Il n’y en as pas.
-Alors pourquoi tuer l’homme, s’il n’y en a pas ?
-J’ai fait quelques recherches ce matin et l’homme a été accusée de pédophilie, il y a une bonne dizaine d’année sur une fille de 17 ans. Il tendit son ordinateur à John qui lut l’article, un entrefilet de quelques lignes. La fille c’est suicidé peu de temps après le scandale et il n’a jamais été inculpé.
-Donc ce serait quelqu’un qui aurait envie de venger des victimes ? Dit John un peu perdu en rendant son ordinateur à Sherlock
-Je ne pense pas, pour autant que je sache Martin n’a rien fait de répréhensible. Ce n’est pas la bonne piste. Mais Alicia avait 17 ans quand elle a été assassinée, c’est peut-être sa le lien. »
 
Sherlock continua de réfléchir. Quand John était arrivé, il n’avait pas pris la peine de lui raconter ces déductions de la veille. Il manquait d’indice et ne préférait pas s’avancer. D’habitude il aimait tout expliquer le plus tôt possible mais cette affaire était tellement particulière qu’il ne voulait pas aller trop vite. Il voulait des preuves pour étayer ces théories.
 
Une semaine venait de s’écouler depuis le dernier meurtre quand Lestrade arriva au 221 B Baker Street. Il sonna à la porte et Madame Hudson lui ouvrit.
 
Il monta sans attendre dans l'appartement. En entrant il vit Sherlock assis dans son fauteuil les mains sous le menton. Lestrade n'attendit pas que Sherlock le regarde pour lui dire : « on en a un autre il faudrait que vous veniez avec moi. »
 
Sherlock regarda Lestrade avec un grand sourire. Il sauta de son fauteuil, prit son manteau et le suivit. Alors que Lestrade ouvrait la porte d’entrée pour sortir de l’appartement ils rencontrèrent John qui avait l’air exténué. En effet il avait été de garde toute la nuit à l'hôpital, son nouveau travail. Il regarda Sherlock qui lui dis simplement : « il y en a un autre. »
 
John soupira à l’entente de cette annonce, il n’allait pas pouvoir se coucher tout de suite. Il s’étira et suivit Sherlock qui montait dans la voiture de police. Une bonne demi-heure plus tard la voiture se gara devant un chantier abandonné.
En arrivant sur place Lestrade sorti de la voiture d’un bon pas suivi par Sherlock et John. Tout en se dirigeant vers le cadavre Lestrade leur expliqua la situation :
 
« Ce chantier a été abandonné il y a maintenant une dizaine d’années. Il arrive souvent que des squatteurs ou des tagueurs y viennent afin de s’amuser. Il y a qu’un seul bâtiment qui a été presque entièrement construit avant l’abandon du chantier. C’est là qu’un groupe de vagabonds a trouvé le corps. Ils l’ont vu assis contre un des poteaux. Ils se sont approchés pensant que l'homme avait peut-être quelque chose à boire sur lui. En arrivant un peu plus près il se sont rendu compte qu’il était mort. Ils ont pris la fuite mais ont quand même appelé la police. En arrivant sur place nous avons trouvé le corps à l’endroit où il l’avait indiqué. Après vérification il ne fait pas partie de nos fichiers. Nous n’avons donc pas son identité pour l’instant. En fouillant ses poches nous avons trouvé une clé USB. La police scientifique n’a pas encore regardé son contenu, mais on pense que ce sera le même que dans les précédentes affaires. J’ai préféré t’appeler pour que tu puisses voir le corps par toi-même. »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeMer 10 Aoû 2022 - 15:58

Encore deux excellents chapitres bravo Mais beaucoup de morts autour de Sherlock, je me demande si au final ce n'est pas lui le centre de toute cette affaire interogation


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeJeu 11 Aoû 2022 - 22:10

Bonjour, vacance oblige je suis en retard sur le poste du nouveau chapitre. J'espère qu'il vous plaira quand même.
bonne lecture. 

Sherlock s’en approcha puis l’étudia à l’aide de sa loupe. Il fit le tour sur place, regarda un ou deux autres petits points avant de se redresser. Il regarda Lestrade :
 
« La victime je ne la connais pas, en tout cas pas que je sache. Il faudra que je voie avec Mycroft, il la connait peut-être. Ce que je peux vous dire c’est que notre homme à 50 ans, c’est gardien de musée, il a un chat et une femme avec des cheveux blonds qui sont et… Oh ! S'exclama Sherlock en se retournant vers le corps. »
 
Il regarda encore quelque détaille de loin, puis se retourna vers les trois autres personnes. Il se mit à parler d’une traite :
 
« Notre homme était un gardien de musée mais il était également en lien avec Madame Graham. Voyant le regard interrogateur des autres il soupira, avant de dire d'une voix exaspéré. Mais si vous savez la femme de la vidéo, celle qu’on a vu chez Louis il y a de cela 2 semaines. Il y a donc quelque chose qui relis notre homme à cette femme et donc à notre enquête.
-Et vous déduisez ça de quoi ? demanda à Donovan de manière sceptique. Elle avait dû faire de gros efforts de concentration pour suivre la pensée de Sherlock.
-Sur son pantalon on peut voir qu’il y a des poils de chat j’avais repéré les mêmes sur les épaules de Madame Graham sur la vidéo. De plus tu peux voir qu’il y a des cheveux courts teint en blond sur son col exactement de la même couleur que celle de la femme qui était sur la vidéo. Donc logiquement elle était en contact avec lui.
-Attends Sherlock, ne t’emballe pas. Dis Lestrade. Tu sais les chats et les cheveux blonds c’est très commun. On ne peut donc pas affirmer à l’instant qu’elle était en contact avec cet homme. Même si tu as sûrement raison. Il nous faut plus de preuves. »
 
Sherlock soupira. Il ne pouvait pas leur donner les preuves qu’il demandé. Ce n’était que des déductions logiques par rapport à des faits.
Lestrade, voyant que Sherlock ne pourra pas leur fournir les preuves demander, proposa de les raccompagner à Baker Street afin de regarder la vidéo. Donovan et Andersen, tous deux présents au moment où Lestrade avait donné ses consignes, demandèrent à venir avec eux.
 
Durant le trajet du retour Sherlock en avait profité pour envoyer un SMS à Mycroft :
 
« On a un nouveau corps, rejoins-nous immédiatement à Baker Street. SH
Très bien je serai là dans 20 minutes. Attendez-moi avant de commencer. MH »
 
Quand ils montèrent dans l'appartement Mycroft était déjà là, assis sur le canapé. Il les attendait.
Tout le monde était très impatient de découvrir le contenu de la clé USB. Ils s’assirent donc précipitamment autour de la table où l’ordinateur de Sherlock était posé. Puis ils attendirent que ce dernier l'allume, entre son mot de passe, prenne la clé USB, ouvre le dossier et lance enfin la vidéo.
 
On pouvait voir un tapis en gros plan ainsi que quatre paires de chaussures : deux paires féminines et deux masculines. On ne voyait pas leur visage mais on entendait leur voix :
 
« Dis donc ! C’est un super caméscope que tu as là ! dis une voix de femme
-Oui, j’ai décidé qu’il était temps d’investir. Les enfants grandissent et j’aimerais bien avoir des souvenir d’eux de bonne qualité. Répondit un homme
-D’ailleurs, ils sont où ? On ne les a pas encore entendues, dit une autre voix d’homme
-Ils sont à l’étage, Mycroft avait un devoir à terminer et Sherlock aime bien regarder ce qu’il fait. Répondit une autre voix de femme
-Il se joindrons à nous pour le déjeuner ? Demanda la voie de femme
-Bien sur, d’ailleurs excuser moi mais je dois aller voir ou en es la cuissons »
 
Une paire de chaussure sortie du cadre et le caméscope filma la pièce. Il s’agissait d’un salon : une table basse devant un poêle à bois, deux fauteuils à l’aire très confortable et un canapé. Sur la table basse il y avait plusieurs verres remplis de différents liquides ainsi que des pots avec quelques pistaches et des cacahuètes. La caméra filma le visage de la femme, elle devait avoir une trentaine d’année et avait des cheveux bruns coupé court, elle fit un signe de la main à la caméra. Puis la caméra filma l’homme, lui aussi avait une trentaine d’année et portait des lunettes rondes en métal, il fit lui aussi un signe à la caméra. La femme qui revenait de la cuisine avait cinq ou peut être dix ans de plus que les autres mais on n’eut pas le temps de la voir plus en détails car la caméra filmât les escaliers.
En effet on pouvait entendre à l’étage des hurlements :
 
« Mais ce n’est pas vraie ! Viens la Sherlock !
-Pas ma faute, j’suis désolé ! Voulais pas ! »
 
On put entendre ensuite des bruits de pas précipité dans l’escalier puis un garçon apparut. Il devait avoir sept ou huit ans. Il sauta d’un bond les dernières marches puis atterrie en souplesse dans l’entré. Il jeta un coup d’œil rapide vers la cuisine puis vers le salon. Il se redressa jeta un autre coup d’œil vers les escaliers avant de se précipita dans le salon.
Il fut rapidement suivi pas un autre garçon qui devait avoir quatorze, quinze ans. Il tenait dans les mains une feuille qu’il agitait dans tout les sens. Il hurla :
 
« Viens la Sherlock ! »
 
La caméra se tourna vers Sherlock qui était à l’autre bout du salon. Il avait le regard terrifié et paraissait chercher comment se sortir de là. Mycroft ne lui laissa pas le temps de réfléchir car il se mit à courir dans sa direction.
 
Sherlock pour lui échapper partie en courant à l’opposer de son frère. Puis, voyant que Mycroft le poursuivait toujours en lui criant de venir là, il mit à tourner dans le salon en slalomant entre les invités, la table basse, les fauteuils et les chaises.
Alors que Sherlock mettait un pied sur le tapis, ce dernier glissa avec lui lui faisant perdre l’équilibre. Il atterrie la tête la première sur le parquet dans un bruit mat. Mycroft eut un sourire en coins tout en faisant un grand pas pour se rapprocher. On put voir que Sherlock jetait un regard vers son frère. Il se mit alors à pleurer en se tenant la tête.
Le père mit le caméscope dans les mains de l’homme avant de se précipiter vers Sherlock pour le prendre dans ces bras. Il porta Sherlock vers le canapé ou il s’assit, son fils sur les genoux.
 
« Sherlock, ça va ? On dirait que tu as du mal à respirer. Demanda le père
-Oui… un… peu…, répondit l’enfant en hoquetant.
-Tu as un inhalateur sur toi ?
-Dans… ma… chambre »
 
La mère sortit de la pièce puis revint précipitamment avec un inhalateur. Elle se mit devant son fils tout en secouant le médicament. Sans même dire quoi que soit, elle le mit dans sa bouche avant d'appuyer à un moment précis. Elle recommença une deuxième fois.
 
« Sa va mieux ?
-Oui. Il avait arrêté de pleurer mais n’avait toujours pas enlevé les mains de son front
-On t’a déjà dit de toujours en avoir un sur toi ! S’énerva le père
-Je l’ai oublié en descendant.
-Ce n’est pas grave, ça peut arriver. »
 
Puis elle se dirigeant vers Mycroft, les mains sur les hanches, et dit d’une voie furieuse :
 
« Explication !
-C’est Sherlock, il a renversé son jus de fruit sur mon devoir pour demain. Essaya de se justifier Mycroft en agitant la feuille qu'il avait toujours dans la main. Ça va aller Sherlock ?
-Et c’est une raison pour courir après ton petit frère, dit le père en berçant doucement Sherlock. Imagine qu’il soit tombé contre la table sa aurait pu être très grave. »
 
La mère était maintenant devant Sherlock. Elle dit avec douceur :
 
« Enlève tes mains s’il te plait »
 
Doucement l’enfant enleva ces mains de sa tête. On put y voir une bosse de la taille d’un œuf avec une intéressante couleur violette-jaune.
La mère se retourna vers son ainée avant de dire :
 
« Tu vois ça c’est ta faute. Suis-moi. »
 
Ils disparurent dans les escaliers. Le père continuait de bercer Sherlock qui avait posé sa tête contre son torse. La mère réapparut quelques minutes plus tard avec un tube de crème et un torchon. Elle mit de la crème sur la bosse tandis que son père tenait le torchon.
La caméra filma Sherlock. On put voir qu’il avait un petit sourire en coin, celui de la victoire.
 
Fondu au noir.
 
Le caméscope avait été posé dans une cuisine. Il n’y avait personne mais on entendit des voix en arrière-plan :
 
« Mais où étiez-vous passé ? Sa fait une heure que vous devriez-être arrivé
-Désolé, j’ai un cours qui a fini plus tard »
 
Il eut des bruits de pas puis la mère de Sherlock apparut. Elle attrapa des bols dans un placard avant de les poser sur la table. Ensuite, elle attrapa une casserole fumante et mit son contenue dans les bols. Après une nouvelle série de bruit de pas les deux garçons apparurent. Ils tenaient dans leur mains un agenda, un carnet de correspondance et une pochette. La mère les prit tout en leur demandant:

 
« Gâteau au chocolat ou tartine ?
-Gâteau, dit Mycroft
-Pain grillé nature ? Demanda Sherlock »
 
La mère leur tendit une assiette chacun avec ce qu’ils avaient demandait.
 
« Pourquoi tu filme maman ? Demanda Mycroft en buvant une gorgé de ce que contenait le bol
-Ton père ne va pas être la pendant un petit moment mais il voulait quand même voire comment sa ce passait à la maison. Alors je vais filmer et lui envoyait les cassettes. »

Tandis que les deux frères prenait leur goûter la mère se mit à feuilleter agenda et carnet de correspondance. Quelques minutes plus tard elle prit la parole :

« Mycroft, tu me feras ton Anglais, Français et tes mathématiques. Tu veux les faires où ? Dans ta chambre ou dans le salon ?
-Dans le salon, comme sa sera sur le film. »
 
La mère eut un petit sourire qui disait « merci ».
Elle s’intéressa ensuite à la pile de Sherlock. Elle ouvrit le carnet de correspondance et lut quelques choses. Puis elle regarda son cadet, relus avant de lire à voir haute :
 
« Madame, Monsieur, Je vous saurais gré de demander à votre fils d’arrêter de me suivre à la fin des cours pour raconter ma vie privée à ces petits camarades. Cette tentative de faire son intéressant, n’est pas tolérable. Je tiens à vous signaler que si cela devait se reproduire je serais contraint d’en aviser le directeur. En attendant je tiens à ce que Sherlock copie 150 fois, pour demain, Je ne suivrais plus mon professeur pour faire mon intéressant en classe. Je tiens également à ce qu’il fasse l’exercice qu’il a refusé de faire en cours. Veuillez agrée madame, monsieur, mes sincère salutation. »
 
Elle se tut et regarda son cadet, qui s’obstiner à regarder son bol. Au bout d’une dizaine de seconde elle dit :
 
« Qu’est-ce que cette histoire ?
-…
-Quand je pose une question j’attends une réponse, dit la mère d’une voie qui ne laissait pas matière à réflexion.
-Ce n’est pas ma faute, commença Sherlock ne quittant pas des yeux son bol, le professeur nous à demander de calculer le temps que mettrait une personne pour parcourir une distance soit à pied, soit à vélo. J’ai refusé de le faire. Il m’a demandé pourquoi et je lui ai répondu que je ne voulais pas calculer ces distances sachant que ce n’était pas notre faute si sa voiture était tombée en panne et que sa femme l’avait mis à la porte l’obligeant à dormir sur le canapé d’un ami.
-Quand un professeur demande quelques choses, même si c’est stupide ou inutile ou le fait. Si tu as fini ton gouter on va commencer par faire la punition »
 
Sherlock et Mycroft mirent leur bol dans le lavabo avant de se rendre dans le salon. La caméra avait été posé sur une pile de livre lui permettant de surplomber toute la table.
La mère s’assit à coter de Sherlock et lui donna un stylo ainsi qu'une feuille. Elle lui dit :
 
« Alors on va numéroter chaque ligne pour ne pas perdre de temps à tout recompter plusieurs foi. Je te laisse recopier la phrase, je reviens »
 
La mère s’éloigna tandis que Sherlock attraper le stylo. Il écrivit en gros : NON sur la feuille. Puis il le posa et croisa les bras. Quand la mère réapparut elle n’avait pas l’air contente, mais ne dit rien. Elle changea la feuille et dit :
 
« Tu écris un et ensuite tu écris je ne suivrais plus mon professeur pour faire mon intéressant en classe. Elle avait toujours une voix très calme. »
 
Sherlock recommençât le même manège, il écrivit en plus gros encore : NON. Cette fois la mère perdit patience elle tourna la chaise, le prit par le bras avant de le mettre au coin.
En ce rasseyant à table, elle dit à Mycroft :
 
« Tu en es où ?
-Je finis le français
-Tu as besoin d’aide ?
-Non, c’est bon. Merci »
 
Elle partit voir Sherlock puis revient avec le garçon. Ils se rassirent à table et le même manège recommençât. Le moins que l’on puisse dire c’est que quand Sherlock disait non, c’est non.
La mère qui était excéder par le comportement de son fils fini par dire :
 
« Ce week-end, nous devions aller à Londres pour aller voir une expo de science. Comme je ne souhaite pas pénaliser Mycroft toi tu iras chez Madame Prune pour la journée. »
 
Loin de calmer la situation, Sherlock continua à faire de la résistance avant de ce retrouver de nouveau au coin.
Mycroft, qui avait fini ces devoirs dit :
 
« Maman, je peux essayer ? Comme sa tu pourras préparer le dîner. »
 
La mère partie dans la cuisine permettant à Mycroft de prendre sa place. Il regarda son frère avant de lui dire :
 
« Tu ne crois pas qu’il faudrait que tu la fasses t’a punition. Tu es déjà privé de sortie pendant trois week-ends et tu vas devoir aller chez madame Prune. Elle ne va arrêter de te parler de ces chats : Pompon, Riri, Fifi, … et en plus sa maison elle put le chou.
-Je ne ferais pas ma punition, elle est trop injuste.
-Je vais t’apprendre quelques choses. La vie est toujours injuste. Tu es un enfant et lui un adulte. Il aura toujours raison, tu auras toujours tort. Plus tu perdras de temps à faire ta punition, moins tu pourras aller jouer et c’est dommage car je pensais qu’on aurait pu aller faire exploser quelques pétards dans le jardin. Et puis je te propose quelques choses : j’écris la moitié de ta punition et toi l’autre moitié mais on ne dit rien à maman »
 
Nouveau fondu au noir.
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 14 Aoû 2022 - 20:42

Des chapitres fort bien troussés qui nous permettent de mieux comprendre la genèse du Sherlock que l'on connait mais ne nous donnent toujours pas la clé du mystère. clin d\'oeil


Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Signat10Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Cissy_10
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry)
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2022 - 20:06

Bonjour, voici la suite. Désolé  arigatou pour le retard mais je suis sur un nouveau projet et je n'ai pas vu le temps passé.  rire démoniaque
Bonne lecture.  :j:aime:



La vidéo filma un bureau, on ne voyait pas qui tenait la caméra mais on entendit une voix :
 
« Maman va encore dire que c’est ma faute, mais cette fois j’aurais une preuve. Une preuve que c’est Sherlock qui fait des bêtises et que je n’y suis pour rien. »
 
Alors que Mycroft sortait de la pièce explosion se fit entendre à l’étage du dessous. Il se précipita dans les escaliers et on put voir une fumée noire sortant de la cuisine. Prudemment il avança en disant :
 
« Sherlock !
-J’suis là, répondit l’intéressé. »
 
Il fit volte face, puis entra dans le salon. Il y avait une table basse en miette, laissant supposer que quelqu'un avait atterrie dessus. En faisant un pas de plus, on vit Sherlock allongé par terre à côté de ce qui fut une table. Mycroft lui tendit une main pour l'aider à se relever, permettant de voir qu'il avait une coupure à l'arcade sourcilière qui saignait abondamment ainsi qu'un poignet gonflé.

Mycroft ouvrit plusieurs fenêtres, puis se mit à lui hurler :
 
« Mais qu’est ce qui c’est passe !
-Je faisait une expérience, mais j’ai eu la main lourde sur certains composant. J’avais oublié de prendre en compte certains paramètre.
-Une expérience sur… »
 
Mycroft ne finit pas sa phrase, la fumé c’étant en partie dissipé on pouvait voir la cuisine ou plutôt ce qu’il en restait.
L’explosion, avait soufflé toutes les vitres, il n’y avait plus qu’un ou deux placards qui était encore fixé au mur mais le contenue des autres était par terre. La table était en plusieurs morceaux dispersé un peu partout. Les murs était noire du sol au plafond et l’endroit, ou jadis se trouvait le micro-onde, il n’y avait plus qu’une trace noire et des débits de métal et de verre.
Mycroft ce retourna vers Sherlock qui l’avait rejoint. Il tenait son poigné contre sa poitrine et dit :
 
« Oups !
-COMMENT SA OUPS ! hurla Mycroft au bord de l’apoplexie. Tu as détruit la cuisine et les parents vont rentrer dans… »
 
Il ne finit pas sa phrase que la porte s’ouvrit. Une voie un peu inquiète dit :
 
« Vous aller bien les garçons, on a vu de la fumé et… QUI ! hurla soudainement la voix
-Je faisait juste une expérience, je ne pensais pas que… 
-Mais ce n’est pas vraie, Mycroft tu était censé le surveillé
-J’étais monter à l’étage quelques secondes et…
-Bon, on va à l’hôpital et on en discutera après. Tu nous expliqueras également pourquoi tu as pris le caméscope sans autorisation. »
 
Fondu au noir, fin de la vidéo.
 
Mycroft regarda son frère et lui dit :
 
« Je comprends de moins en moins ou veut en venir le criminel. Tu as une idée ?
-Non, mais je me demande comment il a pu accéder aux vidéos.
-Il a dut les voler dans le bureau de papa.
-Non, s’il y avait eu un vol à la maison il nous l’aurait dit.
-Tu as été vérifié que personnes n’avait touché au placard ?
-Quand on y retourner avec John pour chercher le colis de Monsieur Rutherford j’ai jeté un œil au placard. Personne n’y a touché depuis des années et je ne crois pas qu’il manquait des casettes.
-Donc, dit John, tu n'avais pas regardé la première fois c'est bien ça.
-Non, répondit Sherlock, je n’ai pas pris le temps de regarder, j’avais autre chose en tête. »
 
Sherlock mis les mains sous le menton et commença à réfléchir. Il avait absolument besoin de comprendre le lien entre tous ces faits. Mais il y avait également autre chose à laquelle il devait penser. Il devait comprendre le lien entre madame Graham et cet homme qui avait été retrouvé assassiné quelques heures plus tôt.
Elle avait été engagé par un homme afin de mettre la main sur des documents qui avaient été volé par Monsieur Rutherford.
Quelques choses lui échapper, mais quoi. Il était en train de réfléchir quand soudainement il s’exclama : « Mais bien sûre ! ».

Tout le monde sursauta et le regarda. Il dit :
 
« John, peut tu rapprocher la télévision et mettre la vidéo ou on voie madame Graham sur pause. »
 
John fit ce que Sherlock lui dit sans demander d'explication. Sherlock se penchât sur son ordinateur. Il relança la vidéo en accélérer puis mit en pause au moment où on voyait une femme d’une trentaine d’année. John qui avait fini de préparer regarda Sherlock.
 
« Mycroft tu en penses quoi ? »
 
L’intéressé se leva pour regarder les deux visages et dit :
 
« Tu as raison, c’est la même personne mais en plus jeune.
-Tu te rappelle qui sait ?
-Je crois que c’était des collègues du travail de papa. Mais leurs noms ne me revient pas »
 
Sherlock attrapa son téléphone, composa un numéro, le posa puis activa le haut-parleur. Quelques sonneries plus tard :
 
« Qui est à l’appareil ?
-Maman, c’est Sherlock. Je peux te poser une question ?
-Bien sûre, je t’écoute
-On aurait besoin que tu nous donnes des informations sur une personne
-Quel est son nom ?
-Marissa Graham
-Ça va être impossible.
-Pourquoi ?
-Elle n’est venue qu’une fois à la maison pour un lunch. Si tu veux avoir plus d’information sur elle tu devrais contacter tante Imogène.
-Tante Imogène tu es sûre ? Dit Sherlock d’une voie soupirante
-Oui et j’anticipe ta prochaine. Elle n’a toujours pas le téléphone et son voisin à déménager. Si tu veux lui parler tu vas devoir aller la voir.
-Merci »
 
Après avoir raccrocher il échangeât un regard avec son frère :
 
« Si tu veux lui parler ce sera sans moi. Je refuse d’aller la voir.
-Merci pour ta solidarité.
-Oh, mais je suis de tout cœur avec toi. Je n’ai juste pas envie de la voir. Tu penses que c’est vraiment utile d’y aller ?
-Lestrade, dit Sherlock, vous avez trouvé des informations sur cette Marissa Graham ?
-Non, rien. Nous avons pourtant cherché partout
-D’accord, tu as gagné. Tu vas devoir aller la voir.
-Pourquoi pas on ?
-J’ai du travail moi Sherlock »
 
Sherlock soupira tout en s’enfonçant un peu plus dans son fauteuil. Il regarda Lestrade et dit :
 
 « Un petit tour à Brighton, sa vous dit Lestrade ?
-Si on prend la voiture on peut y être en 1 heures 40. Donovan vous venez avec nous, Andersen vous rentrer au bureau et vous dites que l’affaire avance. »
 
Ils avaient quitté Baker Street 10 minutes plus tard. Lestrade était au volant, Sherlock ayant catégoriquement refuser de prendre le volant. Donovan c'était assis à ses côté tandis que Sherlock et John partageaient la banquette arrière.
Ils n’avaient pas encore quitté Londres que Sherlock partit dans son palais mental.
 
Il arriva dans un long couloir avec de nombreuses porte en bois. Il avança vers l’une d’entre elle, l’ouvrit et entra dans une chambre d’enfant.
Il se vit allongé sur le lit à sept ans. Il lisait un livre sur les pirates quand il entendit sa mère l’appeler. Il se suivit et arriva dans la cuisine ou ces parents étaient assis. Son frère apparut quelques secondes après.
 
« Asseyez-vous les garçons. Dit sa mère
-Ce qu’on va vous dire n’est pas drôle. Continua son père. On a appris une nouvelle très triste. Un ami de la famille est décédé hier dans un accident de la route. On a décidé avec votre mère d’y aller pour soutenir la famille et assister aux funérailles qui auront lieux dans une semaine ou un peu plus.
-C’est qui ? demanda Mycroft.
-Frédéric Douglas, tu l’as rencontré quand tu avais six ans Mycroft. Dit la mère.
-On vient avec vous ? Demanda Sherlock
-Non, on ne souhaite pas que vous veniez avec nous. Vous êtes trop petit.
-J’ai quatorze ans, protesta Mycroft
-Oui, mais ton frère en à sept et on aimerait que tu le surveille, que tu prennes soins de lui pendant notre absence. Dit le père en regardant son ainée.
-Ça veut dire qu’on reste à la maison et qu’on va avoir une baby-sitter ? Demanda Sherlock
-Non, ça ne va pas être possible. Personne ne peut venir vous garder et on ne pense pas que ce soit une bonne idée que vous restiez seul aussi longtemps. On à donc contacter une personne qui ne viendra pas à l’enterrement. Elle s’appelle tante Imogène. Déclara sa mère
-Qui ? demanda Mycroft
-C’est une tante aux seconds degrés par alliance du côté de votre père. Elle avait un mari Horace qui est décédé il y a quelques années maintenant. Dit le père en levant les yeux au plafond
-Pourquoi on ne l’a jamais rencontré. Demanda Mycroft
-Parce qu’elle ne sort que très rarement de chez elle et n’aime pas prendre le train, la voiture ou l’avion. Mais elle accepte de vous garder aussi longtemps qu’on en aura besoin. Demain matin on vous déposera à la gare et vous prendrez le train pour y aller. Quand vous arriverez, Mycroft tu trouvera un téléphone public et tu nous appelleras pour nous le dire. Ensuite vous sortirez de la gare ou vous serez récupéré par le colonelle Lucien qui vous emmènera jusqu’à la maison de tante Imogène. Tu as tout compris Mycroft ?
-Oui, mais…
-Et surtout, dit la mère, tu ne lâche pas la main de ton petit frère tant que vous n’êtes pas avec le colonel. »
 
Il se vit ensuite le lendemain matin dans la gare avec ses parents et son frère. Ils montèrent tous les quatre dans le train. Une fois installer, les parents quittèrent le wagon et se mirent sous leur fenêtre pour leur faire de grands signes de la main en attendant le départ du train qui s’ébranla une vingtaine de minutes plus tard.
Ils arrivèrent à Brighton en moins d’une heure et ils faillirent oublier pinpin dans leur wagon.
Ils étaient sur le quai et Mycroft lui prit sa main pour se diriger vers les cabines téléphoniques. Ils appelèrent leur parent puis sortirent de la gare quelques minute plus tard.
Ils ne virent personne qui les attendait. Mycroft lui ordonna de s’assoir sur la valise pendant qu’il cherchait si le colonel n’était pas aller se garer un peu plus loin.
Quand il réapparut, il s’assit dos au mur tout en lui faisant un sourire rassurant :
 
« Ne t’inquiète pas il va arriver dans quelques minutes »

Au bout d’une heure trente, une camionnette se gara devant eux. Un homme en sortit. Il était grand, avait une barbe touffue et un regard glacial. Sherlock alla se cacher derrière son frère. D’une voix rauque l’homme leur demanda :
 
« Vous êtes les Holmes ?
-Oui. Je suis Mycroft et celui qui est derrière moi c’est Sherlock. Vous êtes en retard.
-Désolé, je n’ai pas réussi à trouver le papier ou j’avais marqué l’heure. C’est votre valise ? Il pointa du doigt le bagage sur laquelle Sherlock était assis quelques secondes plus tôt. »
 
Mycroft hocha la tête pour approuver et l’homme la souleva d’une main pour la mettre dans la camionnette. Sans rajouter un mot il leur montra la banquette avant.
Ils s’assirent et Sherlock se collait à son frère qui lui murmura à l’oreille : « Poule Mouillée »
 
Une demis heures plus tard la camionnette se gara devant un chemin en terre. L’homme descendit puis déposa la valise à leur pied avant de leur dire :
 
« Vous suivez le chemin tout droit jusqu’à arriver devant une maison et là vous serez arrivé. »
 
Sherlock vit son frère ouvrir la bouche pour dire quelques choses, mais l’homme avait déjà redémarrer.
Ils prirent le chemin et débouchèrent dix minutes plus tard devant une maison à l’air sordide.
 
« Comme elle tient debout Mycroft ?
-Je ne sais pas trop Sherlock. Si elle tient dans l’eau c’est qu’il doit y avoir des pilotis. Mais tu veux un conseil ?
-Oui
-Eternue pas trop fort ou la maison pourrait s’effondrer. »
 
Il dévisagea son grand frère surpris.
Mycroft tendit la main pour sonner mais la porte s’ouvrit d’un bon les faisant sursautés. Une femme apparut dans l’encadrement. Elle portait une robe noire un peu ancienne, avait un chignon sur la tête et des lunettes en demis cercle sur le nez.
Elle leur dit :
 
« Vous êtes les Holmes c’est bien ça ?
-Oui
-Entrez, entrez vite. Il ne faut pas rester dehors il va bientôt pleuvoir. »
 
Ils se dépêchèrent d’entrée, quand leur tante leur cria :
 
« Stop !
-Quoi, demanda Mycroft surpris
-N’entrez pas si vite, si vous trébuchez sur le paillasson vous pourriez vous faire décapiter. Alors vite mais pas trop. »
 
Elle s’éloigna de la porte et Sherlock regarda son frère surpris. Ce dernier haussa les épaules et entra dans la maison. L’impression extérieur de la maison était pire encore une fois à l’intérieur car on l’entendait craquée et le bruit du vent qui frappait contre les murs étaient assourdissant. Sherlock ne lâchait pas le bras de son frère trop terrifier.
Ils posèrent la valise dans l’entrée.
 
« Désolé les enfants, mais il fait souvent frisquet. Expliqua leur tante. Il y a même quelquefois ou s’en est insupportable.
-Vous voulez que je monte le chauffage tante Imogène, demanda poliment Mycroft.
-A non, je ne l’allume jamais. J’ai bien trop peur qu’il explose. Elle fit deux pas dans la pièce avant de s’arrêter de se retourner vers eux. Avant que j’oublie, j’aimerais que vous ne touchiez aucune poignée de porte. Il vous suffit d’appuyer sur le battant pour que la porte s’ouvre.
-Pourquoi, demanda Sherlock toujours agrippé à son frère
-Les poignée de porte c’est dangereux. Il y a toujours un risque qu’elle se fracasse en millier d’éclat et un éclat dans l’œil et si vite arrivé. »
 
Sherlock lâcha le bras de son frère puis recula de plusieurs pas. Sa tante lui fit un sourire rassurant avant de prendre la parole :
 
« Suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre. Vous y déposerez vos affaires puis vous irez vous laver les mains. Ensuite vous viendrez dans le salon pour le déjeuner. »
 
Ils entrèrent dans une pièce ou les murs était recouvert de papiers journal. Un bureau avait été poussé dans un coin et deux matelas, posé à même le sol, occupé le centre de la pièce. Mycroft demanda :
 
« Tante Imogène, ou sont les sommiers ?
-Il n’y en as pas. Imaginer un peu que pendant la nuit il venait à casser vous pourriez vous rompre le coup. C’est beaucoup trop dangereux. »
 
Sur ceux elle quitta la pièce. Sherlock regarda son frère puis lui dit :
 
« Elle est folle, je veux rentrer à la maison.
-Sherlock, ce sera ici notre maison pour une semaine. Alors arrête de faire ton bébé et dit toi qu’on a de la chance
-De la chance ? Il fait froid, il y a des courant d’air partout et on va dormir par terre
-Tu crois que les pirates sa dort dans un lit douillé peut être ?
-Non, ils dorment dans des hamacs et les hamacs c’est plus cool que par terre.
-Dit toi que c’est pour une semaine. Allez suis moi on va allez déjeuner. »
 
Après c’être laver les mains ils s’assirent à table devant un bol chacun. Tante Imogène leur remplis leur bol et Mycroft dit :
 
« Très bonne idée, une bonne soupe chaude sa nous faire du bien.
-A vraie dire, c’est un potage glacé au concombre. Je ne cuisine rien de chaud, j’ai bien trop peur que le fourneau explose en mille morceaux. Ou est ton frère ? »
 
Sherlock avait quitté la table pour aller dans la cuisine afin de chercher des serviettes.
 
« Dans la cuisine, répondit Mycroft
-Sherlock, que fait tu dans la cuisine ?
-Je cherchais des serviettes
-Elle sont sur la table voyons. Puis dit d’une voix paniquée. Eloigne toi du réfrigérateur, s’il tombait il t’aplatirait
-Désolé, marmonna-t-il
-Sherlock, dit une voix lointaine. Sherlock. Répéta la voix. »
 
Il sentit une main se poser sur son bras et il ouvrit les yeux.
Ils étaient arrêtés devant la gare de Brighton et Lestrade le regardait :
 
« On va où maintenant ?
-Je prend le volant, répondit simplement Sherlock. »
 
Il conduisit une grosse demis heures avant de s’arrêter devant un champ. Il gara la voiture sur le bas-côté avant de dire :
 
« Vous laissez vos téléphones dans la voiture et surtout vous me laissez parler. »
 
Le groupe ce regarda surpris mais quand ils virent que Sherlock laissé son propre téléphone dans la boite à gant ils firent de même.
Ils prirent un petit chemin en forêt et débouchèrent devant une falaise. En regardant sur leur gauche ils virent une maison. Elle était positionnée à moitié sur la terre ferme et l’autre moitié dans le vide. A bien y regarder il y avait plusieurs pilonne en bois qui faisait la hauteur de la falaise pour maintenir la maison en place.
En s’approchant de la bâtisse on pouvait voir que la peinture était écaillée par endroit et en tendant l’oreille on pouvait l’entendre grincer. John se mit à la hauteur de Sherlock et lui murmura :
 
« Tu es sûre que la maison est solide ? 
-Pour autant que je sache cette maison à une soixante d’année et elle tient toujours debout. Donc oui, elle est solide. »
 
Ils étaient presque arrivés sur le perron quand la porte s’ouvrit brusquement. Une femme apparut un fusil à la main. Elle tira un coup de feu en l’air avant de braquer l’arme dans leur direction. Donovan, John et Lestrade sortirent leurs armes qu’ils pointèrent vers la femme. Sherlock se mit au milieu de la zone de tir, les mains en l’air. Ayant compris que Sherlock maitriser la situation, ils baissèrent légèrement leurs pistolets.
La femme, d’un certain âge le dévisagea quelques minutes avant de dire d’une voix méfiante :
 
« Vous êtes qui ?
-C’est Sherlock tante Imogène.
-Qui ?
-Le fils de Catherine et William.
-La dernière fois que j’ai vu leur garçon ils étaient plus petit que vous.
-Tante Imogène, j’avais douze ans la dernière fois qu’on est venue. J’ai grandi depuis. Dit Sherlock avec calme. »
 
Elle le dévisagea. Elle n’avait pas l’air convaincu par les explications.
 
« Vous n’êtes pas du gouvernement, vous n’allez pas me mettre sur écoute ?
-Non, bien sûr que non. On est juste venu te poser des questions à propos d’une personne que tu connais.
-Comment vous m’avez trouvé ?
-Je suis déjà venu avec Mycroft.
-C’était quand ?
-En 1995, on était venue pendant quelques jours avec mes parents.
-SI c’est vrai ce que tu racontes. Dis-moi quelques choses à propos de votre séjour.
-On avait dormis dans l’ancien bureau d’Horace. Sherlock avait fermé les yeux. On avait dormi sur deux matelas à même le sol, parce que les sommiers c’est trop dangereux. Au mur il y avait plein d’article concernant une séries d’incendie qui avait eu lieu dans les années 80. Tu nous avais racontait que c’était sa qui avait tué Horace parce qu’il était journaliste.
-…
-Tu faisait partie d’un groupe qui aimait déchiffrer des codes secrets. Continua Sherlock devant le silence de sa tante. Tu nous avais expliqué comment en déchiffrer certains.
-82 62 23 63 31 32 32 74 81 82 62 74 93 74 81 32 61 32 31 32 74 43 41 62 32 74 72 82 43 71 21 73 23 63 62 83 32 62 81 43 63 62 74 32 73 81 21 73 32 71 73 32 74 32 62 81 32 73 32 81 21 81 73 21 62 74 61 32 81 81 73 32 53 43 62 33 63 73 61 21 81 43 63 62 32 62 81 73 32 82 62 32 61 32 81 81 32 82 73 32 81 82 62 73 32 23 32 71 81 32 82 73, dit la tante très rapidement »
 
Saurez-vous résoudre le code ? interogation  A vos commentaire pour proposer une réponse.  bravo bravo La solution sera dans le prochain chapitre.  clin d\'oeil
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 28 Aoû 2022 - 20:49

Et bien il y a des cas particuliers dans la famille Holmes! rire démoniaque rire démoniaque


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeVen 2 Sep 2022 - 8:38

Bonjour, Voici la suite. 
Cependant je part en vacances aujourd'hui et je ne reviens pas avant 12 jours Donc prochain chapitre vers le 15.
En plus je vous laisse sur une question ! (Je suis diabolique  rire démoniaque rire démoniaque rire démoniaque rire démoniaque)

Sherlock ferma les yeux et visualisa les nombres. Il bougea les mains pour interagir avec eux, au bout de quelques secondes il les ouvrit et dit :
 
« C’est un code de type téléphone. Le premier chiffre du code est la touche où se trouve la lettre et le deuxième chiffre est la position de la lettre sur la touche. Donc un code est un système de signes qui par convention sert à représenter et à transmettre l’information entre un émetteur et un récepteur »
 
Tante Imogène eut un sourire et baissa son arme. Donovan, John et Mycroft rangèrent définitivement les leurs puis rejoignirent Sherlock. Personne ne dit un mot tandis qu'ils s’approchèrent rapidement de la maison. Donovan était en tête et alors qu’elle allait rentrer dans la maison tante Imogène poussa un crie :
 
 « Stop ! Tout le monde se figea.  
-Que ce passe-t-il, demanda John un peu inquiet
-N’entrez pas si vite, si vous trébuchiez sur le paillasson vous pourriez vous faire décapiter. Alors vite mais pas trop. »
 
Alors qu'elle s'éloignait de la porte tout le monde jeta un coup d’œil à Sherlock qui haussa les épaules, l’air de dire : « Je n’y suis pour rien ».
 
Après avoir pénétré vite, mais pas trop, dans la maison ils purent regarder plus en détail à quoi ressemblait tante Imogène.
C’était une femme qui devait avoir dans les soixante-dix ans. Elle portait une robe noire, année 1800, des manches bouffantes et cintré à la taille. Elle était coiffé d'un chignon et portait des lunettes en demis lunes. Elle rangea nonchalamment son fusil dans un porte parapluie à côté de la porte. Puis elle se dirigea vers la cuisine avant de demander :
 
« Vous voulez du thé ?
-Non, dit Sherlock sans avoir demandé l’avis de quelqu’un, de l’eau sa nous suffira. »
 
Tout le monde s’installa à table en attendant l’arrivée de cette étrange femme.
L’intérieur de la maison était encore plus singulier que l’extérieur. On pouvait entendre l’air qui frappait les murs et surtout il y régnait un froid mordant. Les murs était nus hormis à certains endroit ou des photos y avaient été punaisé.
Tante Imogène posa un plateau sur la table quelques minutes plus tard. Elle leur tendit une bouteille d’eau chacun et s’assit en bout de table. Au bout d’une longue minute elle regarda Sherlock et dit avec une voix douce et mystérieuse :
 
« Comment vont tes parents ?
-Ils vont bien. Il se tut quelques secondes pour réfléchir à ce que dirait une personne "normal" dans ce cas de sociabilisation. Ils sont à la retraite maintenant
-Et ton frère, ils travaillent toujours pour le gouvernement ?
-Oui, il a bien réussi.
-Et toi, tu as fait des études après avoir obtenue ton diplôme A ? Par ce que t’a mère m’avait dit que tu ne voulais pas continuer tes études.
-Oui, j’ai continué pendant trois ans.
-C’est bien, très bien.
-Tante Imogène, si on est venue c’est pour te poser des questions à propos d’une de tes connaissances.
-Je t’écoute. »
 
Sherlock sortit de sa poche une photo qu’il posa sur la table. Tante Imogène prit doucement la photo et dit : « Il faut faire attention avec le papier sa coupe ».
Elle détailla la photo avant de dire :
 
« Bien sûr que je la connais. Elle s’appelle Marissa Graham.
-Que pouvez-vous nous dire sur elle ? Demanda John en sortant un petit cahier rouge de sa poche pour prendre des notes.
-Un instant je revins. »
 
Tante Imogène quitta la pièce. Elle réapparut quelques secondes plus tard avec un gros album photo dans les mains. En le posant sur la table ils purent lire la date inscrite dessus : 1960.
Elle l’ouvrit, le feuilleta, le tourna vers le groupe puis leur pointa du doigt une photo en noire et blanc. Il y avait trois personnes assises à une table devant un bâtiment blanc. Tante Imogène prit la parole :
 
« Horace, mon mari, était un exploitant de coton en Afrique du Sud. Nous avions une grande propriété et nous gagnions bien notre vie. Nous avons rencontré Marissa lors d’une réception que nous donnions sur notre propriété. Nous nous sommes tout de suite bien entendus et nous avons gardé le contact
-Elle à quel âge ? Demanda Donovan en jetant un œil sur la photo.
-Elle à 73 ans, mais elle parait plus jeune.
-Tu sais si elle avait un travail en Angleterre.
-A son retour en Angleterre elle à suivit des cours du soir et a obtenu un diplôme d’avocate. Elle a travaillé dans un bureau très connue pendant quelques années avant de quitter la ville avec son mari et de venir dans les parages, pour passer une retraite paissable loin des tracas de la ville.
-Elle habite où ? questionna John
-Pas très loin d’ici. Vous voulez aller lui parler ?
-Oui, tu peux nous dire ou c’est ? »
 
Tante Imogène se leva et partie dans une pièce au fond de la maison. Le petit groupe se mit à chuchoter :
 
« C’est étrange, commença Lestrade, cette photo ne doit pas être récente et pourtant…
-La femme de la vidéo lui ressemble trait pour trait, fini Donovan
-Pourquoi aurait-elle quitter un boulot d’avocate en ville pour venir s’enterrer dans une ville perdue comme celle-ci. Sherlock tu en penses quoi ? »
 
Sherlock ne répondit pas à la question de John, quelques choses clochaient dans cette histoire. Tout d’abord, cette date : 1960. Personne ne lui avait jamais dit qu’il avait eu de la famille en Afrique. Cela remettait aussi en cause l’histoire de l’incendie dans lequel oncle Horace serait décédé.
Il se leva et ce dirigea vers une pièce, en face de celle ou tante Imogène était parti. Il s'agissait du bureau ou il avait dormi avec son frère. Au mur il y avait toujours des articles de journaux, certains étaient jaunis, sur d'autre on ne lisait plus le texte mais il était sûr que la solution à ces questions se trouvait ici.

 
Tante Imogène revient dans le salon avec des stylos et une feuille. Elle s’assit à sa place avant de demander :
 
« Où est passé Sherlock ?
-Il est parti par-là, dit John en pointant du doigt la porte
-Sherlock, tu peux venir s’il te plait »
 
Sherlock sortit de la pièce au même moment. Et John put constater qu’il avait un petit sourire en coin. Celui qu’il a quand il comprit quelques choses avant tout le monde.
Il se rassit à sa place et regarda sa tante :
 
« Que faisait tu dans le bureau d’Horace ?
-Je voulais juste vérifier quelques choses
-Je vais vous faire un plan pour aller voir Marissa. Dit-elle d’une voix septique. »

Elle se mit à dessiner des flèches, des carrés, des ronds… Au bout d’une vingtaine de minutes, ils obtinrent un plan coloré du chemin à emprunter.
Le groupe se penchât pour regarder et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il était loin d’être claire.

Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Plan10

 
Alors que tante Imogène ouvrait la bouche pour parler quand on entendit le bruit d’une sonnerie de téléphone.
Tante Imogène se leva d’un bond en criant. Elle courut dans la pièce du fond ou elle s’enferma à double tour.
On l’entendit crier à travers la porte :
 
« Eloigner cette chose de ma maison. Prenez le plan et partez.
-Tante Imogène, ce n’est rien de bien méchant. Tenta de dire Sherlock. C’est juste un téléphone.
-Quoi que ce soit c’est un objet diabolique. Vous avez ce que vous vouliez, partez ! »
 
Sherlock se leva, prit le plan tout en jetant un regard noir à Donovan.
Ils se retrouvèrent devant la maison et Sherlock étudia le plan pendant une bonne quinzaine de minutes en silence.
Soudainement il se mit en route, sans dire un mot. Tout le monde le suivit, Sherlock marchait très rapidement forçant les autres à, presque, courir pour rester à sa hauteur.
Donovan, au bout d’une dizaine de minutes, dit d’une voix essoufflée :
 
« Hé, le taré ! Si on est perdu c’est le moment de le dire. Je n’ai plus de réseau et je n’ai pas pensé à semer des cailloux pour retrouver la voiture. »
 
Ignorant la remarque Sherlock tourna le plan puis fit quelques pas en arrière. Regarda autour de lui et ce remit en route dans une autre direction.
Alors que tout le monde pensait que Sherlock les menait en bateau ils arrivèrent devant une maison coquette avec une parterre de fleurs parfaitement entretenue. Après l'avoir plié, il le mit le plan dans sa poche. Sherlock s’approcha de la maison et frappa à la porte. Un homme qui devait avoir soixante, soixante-dix ans tout au plus apparut dans l’encadrement. Un sourire faux sur les lèvres il leur demanda :
 
« Que voulez-vous ?
-Nous sommes des inspecteurs de Scotland Yard, dit Lestrade en montrant sa carte, nous voudrions parler à Madame Graham.
-Elle n’habite pas ici, vous devriez…
-Mais pourquoi tu demandes à ces personnes de partir, alors qu’elle voudrait me parler. Dit une femme qui ressemblait comme deux gouttes d’eaux à celle de la vidéo. Entrez, entrez. »
 
L’homme les conduisit dans le salon, mais quelques choses dans son comportement avaient attiré l’œil de Lestrade et Donovan. Ils se demandaient ce que pouvait bien leur cacher ce couple de septuagénaire.
Lestrade et Donovan prirent places dans le canapé avec John. Sherlock lui était assis sur une chaise en face d’eux. L’homme c’était assis dans un fauteuil. Quand sa femme revint elle avait un plateau dans les mains. Elle le posa sur la table et s’assit sur un fauteuil en face de son mari.
Il y eux un silence pendant que Marissa remplissait les tasses et les distribué à chacun.
Puis après avoir bu une gorgée de thé elle leur demanda :
 
« Puis-je savoir ce qu’un inspecteur de police fait dans ma maison ?
-Avez-vous travaillé dans un cabinet d’avocat il y a quelques années ? Demanda Lestrade
-Oui. Nous étions en Afrique avec Erneste et quand je suis rentré en Angleterre j’ai pris des cours du soir pour devenir secrétaire dans un bureau d’avocat.
-Connaissiez-vous un homme du nom de Louis Rutherford ?
-Non, dit la femme mal à l’aise.
-Vous êtes sûres ?
-Oui, je suis sûre. Et toi Erneste tu le connais
-Non, ça ne me dit rien.
-Bon, et bien désolée de…
-Vous ne vous appelé pas Marissa Graham. Dit Sherlock qui c’était installé au fond de son fauteuil. La femme tourna lentement la tête vers lui. Durant les années cinquante-soixante vous viviez en Amérique avec Erneste, ou peu importe son vrai prénom. Vous aviez, en plein centre-ville, un commerce de bijoutier-diamantaire qui vendez des pièces achetées de manière tout à fait légale. Mais vous aviez aussi une boutique parallèle ou vous vendiez des pierres volé et transformé par vos soins.
-Comment osez-vous nous traité de voleur ! S’écria la femme
-Mais un jour quelqu’un vous a dénoncé et vous avez dut quitter précipitamment le pays. Continua Sherlock, comme si on ne l’avait pas interrompu. Vous avez pris du liquide et quelques bijoux. Puis vous avez pris un bateau pour vous rendre en Afrique du Sud. Afin de ne pas vous faire remarquer vous avez acheté une petite exploitation de coton et vous avez trouvé une nouvelle filière pour écouler les bijoux que vous aviez volé avant de partir. Mais l’argent à fini par manquer, alors vous avez repris votre précédente activité. Comme vous aviez l’air plutôt chic et élégant on vous ouvrait toutes les portes. Vous repéreriez les lieux et vous finissiez par voler la pièce qui vous intéressez. Un jour vous aviez entendu parler d’un bijou que possède Tante Imogène. Il est très cher et il vous le fallait. Vous avez attendu qu’oncle Horace quitte la propriété pour vous infiltrer et volé le bijou. Mais non seulement il n’était pas dans le coffre mais oncle Horace est rentré plus tôt que prévu. Vous avez probablement paniqué et vous avez l’avez tué. Afin de masquer vos traces vous avez brulé sa maison. Quelques temps plus tard vous avez vu une photo dans un journal anglais. On y voyait une photo de tante Imogène avec le bijou convoité. Vous avez de nouveau fait vos bagages et vous avez quitté le pays pour aller le récupérer. Il vous appartenait après tout ?
-Taisez-vous, vous ne savez pas de quoi vous par…
-A votre arrivé il vous fallait une nouvelle identité et un travail. Vous aviez besoin d’être en contact avec les bijoux, mais aussi avec les forces de l’ordres. Alors vous changez de technique. Votre mari ouvrez et tenez la boutique tandis que vous, vous preniez un poste de secrétaire dans un cabinet d’assurance. Quand vous voyez passer des contrats pour des bijoux vous prépariez votre coup avec votre mari qui le revendait par la suite. Tout se passer comme prévu, jusqu’au jour où un de vos collègues à compris votre manège. Il a volé des documents et comptait aller vous dénoncer à la police. Vous avez décidé de le suivre, vous vouliez juste lui parler. Mais il n’est jamais arrivé au rendez-vous et vous avez perdu sa trace. Vous avez par la suite découvert qu’il y avait une maison sur la route et vous avez envoyé deux acteurs pour demander des informations à votre place. N’ayant rien obtenue vous avez décidé de l’éliminer comme pour oncle Horace. N’ayant pu mettre la main sur les documents vous avez dissimulé votre crime en suicide. Ai-je fait une erreur quelques part ?
-C’est une bien jolie histoire que vous nous avez raconté. Mais avez-vous des preuves
-La gérante du restaurant ou vous avez mangé en vous rendant chez Monsieur Rutherford. Elle vous a parfaitement reconnu sur la photo. Et j’ai pu retrouver les deux acteurs, ils sont prêts à témoigné. Dit Sherlock avec tellement d'aplomb que Lestrade ne savait s'il bluffait ou s'il disait la vérité.
-Je ne comprend pas pourquoi vous nous accusez de tel choses.
-Je peux vous poser une question, dit calmement Sherlock
-Oui, mais si c’est encore pour nous dénigrer je vous prierais de…
-Qui êtes-vous ?
-Pardon ?

-Il est clairement impossible que vous soyez une septuagénaire. Votre mari n’a qu’une envie depuis qu’on est là, c’est qu’on parte. Il à essayer d’attirer l’attention de Lestrade pendant toute ma présentation pour lui dire qu’il y avait un problème. Alors qui êtes-vous ? »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 4 Sep 2022 - 21:30

Ben oui.... qui est-elle? Mais on ne va pas le savoir tout de suite si j'ai bien compris.... rire démoniaque rire démoniaque rire démoniaque rire démoniaque  Il devrait être interdit de partir en vacances quand on a une histoire en cours de route! deviens fou 

Allez, j'espère quand même que tu vas bien en profiter. sucette au caramel


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Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry)
La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeSam 17 Sep 2022 - 18:24

Bonjour, bonjour, je suis retour de mes vacances bien reposé et en forme (merci cissy :j:aime: ).  

Aller fin du suspense et bonne lecture.

confue, perdu Attention à partir de maintenant, certaines lignes de dialogues ou actions sont directement issus de la saison 4 de Sherlock, attention donc au spoile pour ceux qui ne l'on pas vu !  confue, perdu

La femme soupira puis ce redressa. Elle s’étira avant de sortir une arme de derrière son dos. Elle dit avec une voix jeune, une voix dure, une voix différente que celle qui les avait accueillis :
 
« N’essayer pas de sortir vos armes ou ce sera un carnage. Depuis quand tu as compris ?
-Un petit moment, mais je voulais voir la réaction du mari.
-Lui ? Mais c’est un assassin incapable de tuer proprement. Il à voler beaucoup de personne tu sais.
-Ou est sa femme ?
-A l’étage je l’ai tué depuis un moment. D’ailleurs, j’ai failli oublier. Elle tira une balle dans la tête de l’homme avant de continuer. Voilà qui est mieux. On va pouvoir enfin discuter tranquillement tous les deux. Elle ne lâcha pas son regard de Sherlock. Ne bougeait pas sinon je fais exploser la maison.
-Qui êtes-vous ?
-Je m’appelle Eurus et ça fait longtemps que je voulais te rencontrer Sherlock. »
 
Elle avait achevé sa phrase avec un petit sourire en coin.
Calmement elle se dirigea vers John, Lestrade et Donovan pour récupérer leurs armes. Elle enleva les chargeurs qu'elle jeta par une fenêtre. Elle fit de même avec les armes, mais à l'opposé.
Sans dire un mot elle ouvrit une porte de placard. Elle en sortit un violon qu'elle posa sur la table avant de dire :
 
« Tu l’a apporté ?
-Pardon ?
-Mon bandeau comme j’avais demandé ?
-Je ne vois pas de quoi vous parler ?
-Mon bandeau spécial.
-Je ne sais pas de quoi vous parler.
-Celui que je t’ai fait voler à maman. C’était nos derniers mot le jour où ils m’ont emmenée.
-Qui êtes-vous ?
-Qu’en penses-tu ? Demanda-t-elle en montrant le violon posé sur la table.
-Il est magnifique, répondit calmement Sherlock. Qui êtes-vous ?
-Tu ne le regardes pas. Elle dévisagea Sherlock. Regarde le violon
-C’est un stradivarius. Dit Sherlock au bout d’une dizaine de seconde.
-C’est un cadeau
-De la part de qui ?
-Moi. Elle poussa le violon vers Sherlock qui le prit
-Pourquoi ?
-Mais enfin qui êtes-vous, cria Donovan agacé par la situation.
-Taisez-vous, vous n’êtes pas intéressante. Dit Eurus en lançant un regard glacial vers la femme avant de reporter son attention sur Sherlock. Tu joues du violon, non ?
-Comment le savez vous ?
-Comment je le sais ? Elle posa un regard dur sur Sherlock. Je t’ai appris. Comment peux-tu l’avoir oublié ?
-Je ne me souviens pas de vous. Dit Sherlock
-Intéressant. Mycroft a dit que tu avais réécrit tes souvenirs pas que tu m’avais effacée.
-Réécrit ? Répéta Sherlock incrédule
-Tu ne sais toujours pas pour Barberousse ? Elle regarda Sherlock quelques secondes. Ça va vraiment être une grande journée. Dit-elle avec un plaisir malsain dans sa voix. Joue-moi quelques choses. »
 
Sherlock ne bougeât pas. Eurus pointa son arme dans la direction du canapé avant de dire « Joue. »
Sherlock mit le violon sous son menton puis commençât à jouer.
 
« Pas Bach. Dit la femme a peine Sherlock eut-il joué les premiers accords. Tu ne le comprends pas. Joue-toi 
-Moi ?
-Toi. »
 
Sherlock regarda le violon avant de jouer une musique triste pendant une ou deux minutes.
 
« Ta main tremble ou c’est un vibrato. Demanda Eurus, qui n’avait pas détaché son regard de Sherlock. Il posa le violon sur la table.
-Manifestement, tu te souviens de moi. Continua Sherlock.
-Je me souviens de tout. Il suffit d’avoir un disque dur assez gros. Elle posa un doigt long et fin sur sa tempe.
-Que te rappelles-tu ?
-Toi, moi et Mycroft. Mycroft était assez intelligent. Il comprenait si on allait lentement. Mais toi, tu étais mon préféré. 
-Pourquoi ton préféré ?
-Je pouvais te faire rire. J’adorais ça. Une fois, tu as ri toute la nuit, j’ai cru que tu allais exploser. J’étais aux anges. Mais maman et papa ont dû m’arrêter.
-Pourquoi ?
-Eh bien, en fait, je me trompais. Apparemment, tu criais
-Pourquoi je criais ? Sherlock se tut et son regard parti dans le vide pendant quelques secondes. Il dit ensuite dans un souffle. Barberousse.
-Tu te souviens de Barberousse ? Demanda la femme soudainement intéressée.
-C’était mon chien.
-Tu te rappelles ce qui lui est arrivé ? Voyant que Sherlock ne répondait pas. Oh, Sherlock tu ne sais rien. »
 
La femme se leva. Elle se dirigea vers Sherlock puis lui tendit une main pour l’inciter à se lever. Sherlock la prit et se leva de son fauteuil. Ils étaient maintenant face à face. Sherlock avait une tête de plus qu’Eurus, pourtant quelques choses dans son comportement montrait qu’il n’avait pas le dessus.
 
Elle recula de quelques pas.
 
« J’ai été ravis de pouvoir discuter avec toi. Dit-elle en souriant. Il va falloir que tu parles avec Mycroft. Le moment est venu que tu sache la vérité. »

Eurus mis sa main dans sa poche. Un petit clic se fit entendre avant qu'un gaz ne remplisse la pièce.
Peu de temps après tout le monde était profondément endormis.
Le premier à se réveiller fut John. Il mit un peu de temps à retrouver ces esprits mais alla quand même vérifier que tout le monde allait bien. Lestrade et Donovan furent rapidement sur pieds. Sherlock eut un peu plus de mal à se remettre. Le gaz qu’ils avaient inhalé n’était pas recommandé aux asthmatiques.
Donovan n’avait toujours pas de réseau sur son téléphone portable et le téléphone fixe était coupé. Ils devraient donc retourner à la voiture pour pourvoir appeler la police locale. Quand Sherlock eut retrouvé suffisamment de souffle. Ils prirent la route en sens inverse, après avoir récupéré leurs armes dans les buissons. Personne ne dit un mot pendant cinq-dix minutes, puis les questions fusèrent :
 
« C’était qui cette femme ?
-Comment as-tu sus pour leur histoire d’anarque
-Je crois qu’elle aussi taré que toi. Vous faites partie de la même famille ?
-Pourquoi elle a tué toutes ces personnes ? »
 
Sherlock s’arrêta et ce retourna dans un même mouvement. Il déclara avec agacement :
 
« Je ne sais pas qui est cette femme, ni pourquoi elle a fait ça. Mais il faut que je parle avec mon frère. C’est lui qui pourra nous éclairer sur la situation. Pour ce qui es de l’histoire de Marissa, j’ai juste fait quelques recherches et j’ai surtout décoder les documents comptables qui se trouvait à Baker Street. »
 
Il se retourna puis repris la route vers la voiture. Ils repassèrent devant la maison de tante Imogène, mais Sherlock ne prit pas la peine de s’arrêter. Une demi-heure plus tard, ils étaient devant leur voiture et chacun put récupérer son téléphone portable.
La nuit commencée à tomber et, pendant que Lestrade appelait le poste de police local pour les prévenir qu’un crime avait été commis, Sherlock envoya à son frère :
 
« Il faut qu’on parle, rendez-vous à Baker street demain à dix heures. SH
Très bien je serais là. MH »
 
Ils durent encore attendre vingt minutes avant que la police locale arrive enfin. Après un rapide topos, avoir communiquer leurs numéros de téléphones et indiquer le chemin vers la maison, ils purent reprendre la route pour Londres.
 
« Demain Mycroft sera à 10 heures à Baker street.
-On sera là. Dit calmement Lestrade qui conduisait. »
 
Aucun autre mot ne fut prononcé de tout le trajet.
Sherlock repensa à l’échange qu’il avait eu. Qui était cette femme ? Elle avait l’air de vraiment bien le connaitre, alors que lui était sûre de ne pas la connaître. Il lui manquait une pièce du puzzle, mais laquelle ?
A leur arriver à Baker Street il était tard. En entrant dans l’appartement ils virent des sandwichs posés sur la table. John se promis de remercier Madame Hudson demain matin puis alla faire chauffer de l’eau avant de se rendre dans sa chambre pour se mettre en pyjamas. Quand il revint Sherlock était assis, dans son fauteuil les mains croisées sous le menton. John savait qu’il ne servait à rien de lui parler. Sherlock était dans son palais mental, loin de Baker Street. Par acquis de conscience, il lui prépara quand même une tasse de thé qu’il posa à côté de son colocataire. Puis il s’assit à table avant de manger presque tous les sandwichs. Il en laissa un pour Sherlock, au cas où il aurait faim. Puis il monta ce coucher.

Quand John se leva il était huit heures trente. Il s’étira et traina un peu au lit avant de se lever.
En entrant dans le salon, il vit le sandwich dans l’assiette et la tasse de thé pleine. Sherlock était dans la même position que quand il était allé se coucher.
Il décida de s’approcher pour le secouer un peu. Sherlock ne bougeât pas mais demanda :
 
« Il est quelle heure ?
-Pas loin de neuf heures. Si on doit accueillir du monde à 10 heures, il faudrait qu’on commence à se préparer.
-Bonjour les garçons, dit Madame Hudson d’un ton enjoué. Doux Jésus, dit-elle en posant son regard sur Sherlock, vous avez une mine affreuse.
-Merci pour les sandwichs, ils étaient bon. Dit John
-Ne prenait l’habitude que vous en prépare. Je ne suis pas votre gouvernante. »
 
Elle prit l’assiette avant de sortir de la pièce. John alla prendre sa douche puis se mangea son petit déjeuner pendant que Sherlock se préparer.
A dix heures, Lestrade et Donovan pénétrèrent dans l’appartement. Ils virent la chaise pour les clients à sa place habituelle. Ils prient place sur le canapé et attendirent.
Cinq minutes plus tard Mycroft apparut dans l’encadrement de la porte. Après avoir posé son manteau et son parapluie il se retrouva debout derrière la chaise. Il regardait son frère sans bouger. Madame Hudson, qui était dans l’encadrement de la porte, dit :
 
« Vous devez vous assoir sur la chaise. Ils ne vous parleront pas sinon. C’est la règle.
-Je ne suis pas un client, dit enfin Mycroft.
-Alors, sors. Dit Sherlock. »
 
Mycroft capitula et s’assis sur la chaise.
 
« Ils ne vont pas rester ici, demanda Mycroft en pointant du doigt Madame Hudson et les deux policiers. »
 
Sherlock fit un signe de la tête pour inviter Madame Hudson à quitter la pièce, mais pas aux deux policiers.
 
« Vous voulez du thé ? Demanda Madame Hudson
-Oui, merci.
-La bouilloire est là-bas. Elle pointa la cuisine du doigt, tourna les talons et quitta la pièce. 
-Que s’est-il passé hier ? Demanda Mycroft

-Tu vas dire la vérité Mycroft, pure et simple.
-Qui as dit : La vérité et rarement pure et jamais simple ?
-Je m’en moque. On était trois. Je le sais maintenant. Toi, moi et Eurus… Mycroft ce figea dans son fauteuil. La sœur dont je ne me souviens pas.
-On à jamais eu de…
-Mycroft, je t’ai de dire la vérité. S'énerva Sherlock. On l’a rencontré hier, chez madame Graham. Ajouta-t-il plus calme.
-Impossible, répliqua Mycroft
-Pourtant, elle à tuer quelqu’un devant nous. Dit Lestrade.
-Eurus, repris Sherlock, c’est un nom intéressant. C’est grec non ?
-Oui. Littéralement le dieu du vent d’Est. Dit John en regardant son calpin
-Oui, finit par dire Mycroft, on avait bien une sœur. Ça ne sert plus à rient de te le cacher la vérité va finir par ressortir.
-Le vent d’Est-ce lève Sherlock. Tu disais ça pour m’effrayer. Dit Sherlock en regardant pensivement le tapis. Tu as transformé ma sœur en histoire de fantôme.
-Non, bien sûre que non. Je te surveillais.
-Vous quoi ? s’exclamèrent Lestrade et John
-Les souvenirs peuvent ressurgir. Les blessures se rouvrirent. Des démons sont tapis sous les routes que nous empruntons. Et les tient patientent depuis très longtemps. Dit gravement Mycroft en regardant son frère. Je ne te tyrannisais pas. J’utilisais des mots déclencheurs pour connaître ton état mental. Je veillais sur toi.
-Pourquoi je ne m’en souviens pas ?
-C’est une affaire privée. Dit Mycroft.
-Ils restent, de toutes les façons cette histoire va faire le tour du commissariat de police. Notre sœur, Sherlock avait insisté sur ce mot, à tuer beaucoup de personne. Tu préfères qu’ils l’entendent de ta bouche ou qu’il le lise dans un rapport ? »
 
Sherlock et Mycroft se livrèrent un combat de regard pendant quelques secondes.
 
« Vous étiez donc trois enfants, dit Lestrade qui avait pris une chaise pour se rapprocher. La différence d’âge ?
-Sept ans entre Sherlock et moi. Un an entre Sherlock et Eurus.
-L’enfant du milieu, tout s’explique. Dit John qui prenait des notes dans son cahiers. Sherlock lui envoya un regard noir. Elle l’avait aussi ?
-Quoi ?
-Le truc de déduction, dit John un peu hésitant.
-Le truc de déduction, répéta Mycroft d’un ton dédaigneux
-Oui, dit John mal à l’aise.
-Si vous saviez, dit Mycroft le regard dans le vague. »
 
Sherlock sortie de sa poche une clé USB, qu’il posa à sa gauche, le groupe la regarda intriguer.
 
« Après notre rencontre avec Eurus j’ai trouvé cette clé USB dans ma poche. Je n’ai pas encore regardé son contenue, mais je sais que sa pourra nous aider à te comprendre. »
 
Il se leva puis se dirigea vers son ordinateur. Il se retrouvèrent, comme les fois précédentes, groupé autour de l’ordinateur en se demandant ce que la clé aller leur réserver comme surprise.

Sherlock démarra la vidéo, qui s’intitulait : boite_de_pandore_final.avi.
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 18 Sep 2022 - 19:35

Une soeur sortie de nulle part? Mais que s'est-il donc passé au sein de cette famille? En tout cas, pas de scène où on tue un chien hein? (et encore moins où on lui fait du mal) colére colére colére colére colére


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeSam 24 Sep 2022 - 22:53

Bonsoir. A vos lecture, prêt, partez !

La caméra filma une chambre d’enfant. On pouvait voir une femme portant une robe rose pale. Elle tenait dans les bras un bébé. Une voix d’homme se fit entendre :
 
« Sa y es tu es à la maison Eurus. Tu fais coucou à la caméra ? »
 
La mère prit doucement la main du bébé pour lui faire faire coucou à la caméra. La femme dit :
 
« Mycroft, tu peux venir avec ton frère. »

La caméra changea d’angle permettant de voir Mycroft derrière Sherlock. Mycroft ce mit en mouvement, en aidant son petit frère à marcher vers leur mère.
 
« Les garçons, je vous présente votre petite sœur. Elle s’appelle Eurus.
-Quoi, c’est une fille ! S’exclama Mycroft.
-Oui, maintenant il y a deux filles à la maison. Répondit calmement la maman.
-Vous vous voulez la prendre dans vos bras ? »
 
La caméra changea d’angle. Mycroft avait la bouche grande ouverte et les yeux lui sortait presque de la tête. Sherlock souriait et tapais dans ces mains en criant :
 
« seur, seur.
-Oui, dit la mère avec un grand sourire, toi et Mycroft vous êtes les grands frères
-Mycof gand fere
-Mycroft, aboya ce derniers »
 
Sherlock se figea puis regard son grand frère. On put voir la mère faire les gros yeux à son fils. Avant de dire :
 
« Allez, asseyez-vous. »
 
Mycroft aida Sherlock à s’assoir. Quand il fut lu aussi assis la mère leur mis doucement le bébé dans les bras. Ils regardèrent la caméra avec un sourire.
 
Fondu au noir.
 
La vidéo commençait dans une cuisine. Il y avait trois enfant assis autour d’une table. Mycroft était assis sur une chaise tandis Sherlock et Eurus étais assis dans une chaise haute. Une femme était de dos, entrain de laver quelques choses dans un lavabo. Elle jeta un coup d’œil à une grande horloge. Elle prit la parole :
 
« Bon, on a encore un peu de temps. Elle s’essuya les mains puis ce retourna. Mycroft céréale, tartine, chocolat ?
-Thé et tartine. Dit le garçon. »
 
La mère attrapa la bouilloire pour préparer une tasse de thé et mit deux tartines à griller.
Après la sonnerie d'un minuteur, la mère récupéra deux biberons qui chauffait au bain maris. Elle en tendit un à Eurus qui le prit sans rien dire. Elle tendit l’autre à Sherlock :

 
« Veux pas.
-Sherlock, tu prends ton biberon de lait. S'agaça-t-elle légèrement.
-Veux pas.
-Sherlock ! Dit la mère en haussant le ton. »
 
Le garçon le prit, mais le fit tomber par terre. Sa mère le ramassa puis alla passer la tétine sous l’eau. Le pain sauta du grille-pain au même moment. La mère finit de préparer le petit déjeuner de son ainée, avant de le lui donner. Elle se mit devant son fils, les mains sur les hanches.
 
« Sherlock, tu arrêtes de jouer la comédie. Dit-elle d'un ton autoritaire. Tu prends ton biberon.
-Veux pas ! Cria le garçon en affrontant le regard de sa mère.
-Tu veux quoi Sherlock ? demanda le caméraman pour désamorcer la crise qui allait venir
-Comme Mycof, dit le garçon en pointant du doigt le petit déjeuner de son frère.
-Tu veux un bol ?
-Comme Mycof, répéta le garçon en agitant le doigt vers son frère »
 
Tout en soupirant sa mère alla attraper un bol dans un placard. Elle versa un peu du contenue du biberon à l'intérieur puis le posa sur le plateau de la chaise haute de son fils. Elle lui mit un bavoir avant de s’assoir devant une tasse fumante.

La caméra filma sa sœur qui regardait le manège de son frère avec beaucoup d’attention. Elle s’arrêta de boire son biberon avant de le jeter par terre. Sa mère leva la tête surprise, elle regarda sa fille avant de dire :
 
« Que se passe-t-il Eurus ?
-Veux pas, répondit la petite fille
-Alors tu voudrais quoi ?
-Comme Shelock, dit-elle en pointant son doigt vers son frère »
 
La mère parut surprise, mais elle se dirigea vers un placard pour récupérer un troisième bol. Comme pour Sherlock elle versa un peu du contenu du biberon dedans avant de la déposer devant sa fille.
Eurus prit le bol et commença à boire.
 
« Eh bien c’est vrai que sa grandit vite, conclut la mère »

Après un nouveau fondu au noir, la vidéo reprit dans la même cuisine.

Une voix d’homme se fit entendre :
 
« Alors vous êtes prêt les enfants ?
-Sherlock, dépêche-toi de finir ton chocolat.
-C’est trop chaud, répondit l’intéressé
-Alors souffle
-J’arrête pas.
-Je n’arrête pas, corrigea la mère
-C’est pareil. S'agaça l'enfant en continuant de souffler sur le bol.
-Répète. 
-Je n’arrête pas, répéta Sherlock en levant les yeux au ciel.
-Ça va être nos premières vacances tous les cinq. Moi je ne sais pas vous mais j’ai hâte. Dit alors le caméraman d'une voix enjouée.
-Eurus, pour voyager tu mettras un pantalon et un t-shirt. Repris la mère qui n'arrêtait pas de jeter un œil à la pendule et Sherlock.
-Non, je mettrais une robe. Je n’aime pas les pantalons
-Ce n’est pas une question que je te pose jeune fille. »
 
Sherlock avait pris son bol dans les mains en posant ces coudes sur la table. Sa sœur, qui était assise en face de lui, commençait à s’agiter.
 
« Je ne veux pas mettre de pantalon. Je n’aime pas les pantalons. Dit-elle un peu plus fort 
-Eurus, pour voyager on ne met pas une robe. On met un pantalon et des baskets.
-Je ne veux pas, cria Eurus. Elle ce mit à trépigner sur sa chaise »
 
Dans sa crise elle mit un grand coup de pied dans la table qui se mit à s’agiter.
Le bol de Sherlock ce renversa sur son pyjama avant de tomber par terre.
La mère ce retourna attrapa son fils pour qu’ils se mettent debout puiq commençât à crier :
 
« Ce n’est pas vraie. Tu ne pouvais pas faire attention en buvant ton chocolat. Elle avait une éponge à la main et essayer d’éponger le chocolat du pyjamas.
-C’est pas ma faute. C’est la table qui a bougé toute seul. Se justifia Sherlock.
-Si tu ne mettais pas les coudes sur la table pour boire ton bol, tu n’en n’aurais pas partout. »
 
Eurus continuer de crier : « Je ne mettrais pas de pantalon »
 
Le caméscope fut posé puis le père apparut dans le champ. Il prit sa fille par le bras avant de lui dire :
 
« Eurus, tu te calme immédiatement ou tu vas finir au coin !
-JE NE VEUX PAS METTRE DE PANTALON. Cria la petit fille »
 
Le père mit alors sa menace à exécution. Eurus partit dans une crise mêlant crie et coup de pied dans le mur. La mère se mit aussi à crier pour couvrir la crise de sa fille :
 
« Ce n’est pas vraie, tu en as partout. Tu vas devoir reprendre une douche et on va être en retard.
-C’est pas ma faute, ce mis à chouiner Sherlock.
-Et si on est retard on risque de rater le ferry. Continua la mère de famille en continuant de tenter d'éponger son fils tout en le secouant.
-Maman arrête, tu me fais peur. Dit alors Sherlock en essayant de reculer.
-Catherine, arrête. Le père prit la main de sa femme. Sherlock monte dans la salle de bain je te rejoins dans deux minutes. »
 
Il se dirigea ensuite vers sa fille, qui continuer de crier, et la prit par le bras. Ils sortirent de la cuisine.
Mycroft se retrouva seul avec sa mère qui s’agitait dans les sens. On put le voir prendre un bout de pain sur la table qu'il glissa discrètement dans sa poche. Puis il se dirigea vers la porte en rasant les murs. Quelques instant on entendit un troupeau d'éléphant gravir les marches suivit par la mère qui cria :
 
« Mycroft, tu sais qu’on ne doit pas courir dans les escaliers ! »
 
Le père apparut, il s’assit lourdement sur une chaise :
 
« Je l’ai puni dans sa chambre pour qu’elle réfléchisse à la situation.
-Et comment elle à réagit ? demanda la mère en s’asseyant à son tour
-Elle continuait de crier et elle taper contre les murs quand je suis descendu
-On arrive de moins en moins à gérer ces crises alors qu’elle a tout juste trois ans. Qu’est-ce que se sera quand elle en aura douze ou treize ?
-Que veux tu qu’on fasse ?
-Je ne sais pas, je ne comprends pas son comportement. Les garçons n’ont jamais été comme ça à son âge.
-Chacun à son comportement. Mycroft et taciturne, Sherlock et remplis de joie de vivre et Eurus à un très fort caractère.
-Et si on allait lui faire passer un test ?
-Tu veux dire comme pour Mycroft ?
-Oui exactement, sa pourrait peut-être nous aider à mieux la comprendre. Et quitte à y être on pourrait le faire aussi passer à Sherlock. Elle est peut-être là l’explication de son comportement.
-D’accord, je te laisse prendre le rendez-vous. »
 
La caméra filma des escaliers, un couloir puis une porte. Quand la porte s’ouvrit on vit Sherlock assis sur un tabouret avec un livre dans les mains.
 
« Tu lis quoi ?
-Alice au pays des merveilles. C’est Mycroft qui me l’a prêté.
-Et tu arrives à tout comprendre.
-Y’a certains mots qui sont compliquer mais Mycroft me les explique.
-C’est super. Aller pose ton livre tu vas prendre un bain ou je vais te confondre avec une tablette de chocolat. »
 
Le père commençât à faire couler l’eau pour le bain avant d’aider son fils à enlever son pyjama.
 
« Pourquoi maman elle était comme ça ?
-Comment ça ?
-Elle m’a fait peur tout à l’heure. J’avais l’impression que c’était devenue une sorcière.
-Une sorcière ? S’étonna le père. Maintenant que tu m’y fais penser c’est vrai qu’elle à un chaudron. Et puis parfois les soirs de pleines lunes elle prend un balai et s’envole par la fenêtre.
-C’est vrai de vraie ? Répondit Sherlock les yeux ronds.
-Non Sherlock, dit le père avec une sourire rassurant. Maman à eut juste peur pour Eurus et elle ne savait pas comment le montrer autrement. Allez c’est prêt. »
 
Le père aida son fils à monter dans la baignoire. Il attrapa le tabouret et s’assit. Il vida une caisse dans le bain et saisit un des objets.
 
« Attention un requin qui vol, il va te manger ! Dit le père en faisant voler un requin en plastique
-C’est pas grave car moi j’ai un pirate qui a un pistolet anti-requin. Répondit Sherlock en pointant un personnage en plastique vers les requins. Piou, Piou
-Oh, non mon requin a été blessé. Mais j’ai une fée qui va le soignée. Il prit un personnage dans le bain et le mit au-dessus du requin. C’est quoi déjà la formule magique ?
-Bibbity Bobbity Boo, comme dans le dessin animé qu’on a vu hier ! S’enthousiasma Sherlock faisant couler un peu d'eau en dehors de la baignoire.
-Alors Bibbity Bobbity Boo et voila mon requin et de noveau prêt à... »

 
La porte de la salle de bain s’ouvrit dans un grand bruit. On vit le père qui cachait les jouets derrières son dos.
 
« J’espère que vous n’êtes pas en train de jouer tous les deux ?
-Non, non bien sûr que non, on je ne joue pas. N’est-ce pas Sherlock ?
-Non, dit le garçon avec un sourire complice.
-Bien, pense à lui laver les cheveux sa nous fera gagner du temps. Eurus s’est calmé, mais elle s’est amusée à vider de la peinture sur tout ces pantalons et t-shirt. Elle c’est tâcher le visage je peux te l’envoyer ?
-Oui. »
 
La mère quitta la salle de bain et le père dit :
 
« On a bien failli se faire gronder par maman. Il attrapa la caisse ou les jouets étaient ranger. Tu mets les jouets dedans ? »
 
Sherlock rangeât les jouets dans la caisse et se leva. Son père lui tendit un gant qu’il prit :
 
« Tu le fais comme un grand ou je t’aide ?
-Comme un grand.
-Très bien, dit le père quand Sherlock fut savonné. Tu m’aide à le tenir, c’est trop lourd pour moi. »
 
Sherlock aida son père à tenir le pommeau de douche pour qu’il ce rince. Puis son père lui mouilla les cheveux et c’est ensemble qui les lavèrent.
 
« Et voilà, tu es tout propre. »
 
Le père sortit son fils de la baignoire, l’enroula dans une serviette puis lui fit un bisou sonore sur la joue.

« Arrête papa, tu pique.
-Ah oui ! Alors viens là que je te fasse un autre gros bisou »
 
La porte s’ouvrit au même moment sur la mère qui tenait par la main Eurus. Elle avait de la peinture sur tout le visage et les mains.
 
« Allez viens avec moi Sherlock, dit la mère, on va s’habiller. »
 
Sherlock suivit sa mère en rigolant puis sorti de la salle de bain.

Le père attrapa un gant qu’il mouilla. Il commençât à frotter le visage de sa fille après quelques minutes d'effort, il fut complétement débarbouillé. Il put dont s'attaquer à ces mains. Alors qu'il venait de finir, les deux frère entrèrent.
 
« Que faite vous là ? demanda le père
-Maman nous a dit de venir pour nous brosser les dents.
-D’accord, mais dépêchez-vous ou on va finir par partir en vacances à la nage. »
 
La vidéo fut mise en pause. Mycroft et Sherlock se tournèrent pour voir qui avait arrêté la vidéo. C’était Lestrade.
 
« Elle avait quel âge sur la dernière vidéo ?
-Si c’était nos premières vacances tous les cinq on devait avoir… Son regard se perdit dans le vide quelques instants. Trois, quatre et onze ans. Eurus a toujours eu un très fort caractère et à très vite montrer son indépendance. Mais le plus malin dans cette histoire c’était Sherlock.
-Comment ça, demanda John.
-Il avait vite compris que s’il voulait accaparer l’attention des parents il ne fallait pas grandir trop vite. Dit Mycroft en regardant son frère avec un petit sourire en coin. Vous relancer la vidéo Lestrade ? A moins que vous ayez d’autre question ? »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeMer 5 Oct 2022 - 18:15

Bonjour, Bonne lecture

La vidéo repris sur un fondu au noir.

L'image montrait un salon avec son canapé, ses deux fauteuils et sa table basse. Le caméraman s’arrêta devant une jeune fille qui devait avoir quatre ou cinq ans. Assise par terre, elle jouait avec des poupées.

« Eurus, tu fais coucou à la caméra ? »
 
La petite fille leva la tête puis souris à la caméra. Elle prit sa poupée afin de lui faire faire coucou.
 
« Tu me présente ta poupée ?
-Elle s’appelle Rainette, mais ce n’est pas une fille comme les autres.
-Ah oui ?
-Oui, le soir elle devient une super héroïne. Eurus enleva la robe et en dessous un costume de super héros façon superman en violet et jaune avec un A sur le torse.
-Et elle à des super pouvoir ?
-Non, sa n'existe pas les pouvoir. Expliqua l'enfant de manière terre à terre. Par contre elle a plein de super gadget pour l’aider dans ces missions.
-Et elle doit avoir un autre nom quand elle devient une super héroïne ?
-Oui bien sûre, sinon on pourrait la reconnaitre. Elle s’appelle Alwina.
-C’est un très joli nom !
-Tu voudrais jouer avec moi papa ?
-Ce soir, quand on rentrera.
-D’accord »

La caméra changea d’angle permettant un adolescent rondouillard avachi sur un fauteuil un énorme livre dans les mains.
 
« Et toi Mycroft tu lis quoi ?
-Un des livres que maman à écrit.
-Lequel as-tu choisis ?
-Dynamique de la combustion.
-Mycroft, combien de fois je t’ai dit de ne pas lire ces livres. Ils sont vieux et plus d’actualité. Si tu veux lire quelques choses d’intéressant sur les mathématiques demande moi et je trouverais quelques choses dans la bibliothèque.
-Maman, demanda une voix, tu peux m’apporter quelques choses à boire ?
-Bien sûre, du jus de fruit sa te dit ?
-Oui, merci »
 
La caméra se tourna vers la voix. Il s'agissait de Sherlock assis le dos contre l'accoudoir du canapé. Il avait un plateau posé sur ces genoux avec des feuilles et des crayons posé dessus. Il avait l'air très concentré sur son dessin alors qu'il était penché en avant, la langue entre les dents.

 
« Sherlock tu fais coucou à la caméra ? »
 
Le garçon leva la tête de son dessin, fit un rapide signe de la main avant de reporter sur la feuille. Pendant ce cour laps de temps on peut distinguer un pensement sur le menton ainsi que deux dents manquantes sur le devant.
Alors qu'il tendait une main pour changer de feutre, il fit un faux mouvement faisant tomber le pot de feutre sur le tapis.
 
« Mycroft, tu peux ramasser mes feutres, s’il te plait.
-Je ne peux pas je lis.
-Mycroft, tu aides ton frère. Dit le caméraman avec autorité.
-Si tu te mettais sur une table pour dessiner tu ne les ferais pas tomber toutes les deux minutes. Soupira Mycroft en s'extirpant de son fauteuil.
-C’est pas de ma faute si la table c’est pas pratique. 
-Ce n’est pas, dit Mycroft
-Quoi ?
-Sa serait bien que tu apprennes à parler correctement. S'énerva Mycroft en remettant les feutres dans le pots. On ne dit pas c’est pas, mais ce n’est pas. »
 
Sherlock tira la langue à son frère, qui posa les feutres sur le plateau. Au même moment la mère apparut. Elle tendit à Sherlock une petite bouteille avec du jus de fruit et un verre pour ces deux autres enfants. Puis elle s’assit dans le dernier gros fauteuil libre :
 
« Bon, tout est prêt. Dès qu’ils arrivent une petite tasse de thé puis on prend la route.
-Alors Sherlock qu’est-ce que tu dessines ?
-Alors là c’est papi et là c’est granny. Il montra deux choses sur son dessin. Ils sont sur le bateau volant pour aller faire un tour du monde. 
-Les bateaux qui volent ça n’existe pas, grommela Mycroft
-Si sa existe, dans Peter Pan la fée clochette elle fait voler le bateau. Contra Sherlock, faisant levé les yeux de son frère au ciel. Mais comme trouvé des fées c’est compliqué, ils y ont mis des moteurs de fusées.
-Dit pas n’importe quoi. Repris Mycroft en dévisagent son frère l'air grave. Un bateau ne pourra jamais voler, même si on y met des moteurs de fusées.
-Tu peux pas savoir, sauf si tu as déjà essayé, répliqua Sherlock en continuant son dessin.
-Sherlock, apprend à mettre des négations dans tes phrases, dit Mycroft en levant les yeux au ciel avant de retourner dans son fauteuil pour reprendre sa lecture. C’est agaçant de devoir à chaque fois traduire ce que tu veux dire. 
-Oui, oui. »
 
Mycroft avait ouvert la bouche pour répondre, quand on sonna à la porte. La caméra s’y dirigea et l’ouvrit. Deux personnes âgées souriantes ce trouvaient derrière.
 
« Les enfants, venez dire bonjour à vos grands-parents, cria le père. »
 
On entendit des bruits de pas, Eurus et Mycroft ce matérialisèrent dans le champ. Ils firent la bise à leur grand-parent :
 
« Tient, je n’en compte que deux dit le grand-père. Il est où le troisième ?
-Dans le salon, dit la mère. Une tasse de thé avant de partir ?
-Oui, bonne idée. »
 
Le groupe se dirigea vers le salon, pendant que la mère alla préparer le thé.
 
« Ben alors, tu ne viens pas nous dire bonjour… Dit le grand-père en pénétrant dans le salon
-Oh, ben sa alors qu’est ce qui s’est passé ? S’étonna la grand-mère. »
 
En effet, maintenant que la caméra avait changé d’angle on pouvait voir que Sherlock avait un plâtre à la jambe gauche. Il partait du pied jusqu’au milieu de la cuisse.
 
« Je suis tombé, dit Sherlock. Tenez, c’est pour vous. Il leur tendit son dessin.
-Oh, mais c’est un super dessin. Tu as vu ça, nous somme sur un bateau à moteur, s’enthousiasma le grand-père en montrant le dessin à sa femme. Et on peut aller où avec ce bateau ?
-Sur terre, sur mer ou dans l’espace. Dans n’importe quel endroit où vous auriez envie de vous promener.
-Merci Sherlock, c’est un dessin très chouette. Je pense qu’on pourrait aller visiter mars, tu en penses quoi ? Dit la grand-mère en faisant un bisou à son petit-fils.
-C’est une excellente idée, comme sa on pourra ramener des chocolat vert ou jaune qui flotte.
-Mycroft, Eurus, prenez les manteaux de papy et granny et accrochait les sur le porte-manteau. Dit doucement le père
-Ne vous déranger pas les enfants, on va les poser sur le dossier de nos chaises. De toutes les façons, nous partons dans pas longtemps.
-Alors, il vous a raconté comment il s’est cassé la jambe ? Demanda la mère en apparaissant avec un plateau dans les mains.
-Il nous a juste dits qu’il était tombé.
-Sherlock, tu leur dis où je le fais. 
-On leur dit rien, ils ont pas besoin de savoir.
-Sherlock, arrête de manger tes négations. Répète, on ne leur dit rien, ils n’ont pas besoin.
-On ne leur dit rien, ils n’ont pas besoin.
-Merci. C’est une histoire assez drôle. Expliqua la mère, ignorant la remarque de son fils, une tasse de thé dans la main. D’après ce que je sais Sherlock se serait fabriqué un faux plâtre pour aller à l’école et imiter un de ces camarades. Une semaine plus tard, il a voulu se dépêcher de rentrer et a raté une marche. A cause du faux plâtre, il n’a pas réussi à se rattraper. Résultat, une vraie double fracture tibia péroné déplacé avec un vrai plâtre pour aux moins deux mois, si tout se passe bien. »
 
John mis la vidéo en pause.
 
« Vous vous demandez pourquoi Eurus à choisis cette vidéo ? Demanda Mycroft, anticipant la question qu’on allait lui poser
-Oui, dit Donovan.
-C’est elle qui avait eu l’idée.
-Comment ça ?
-Quand Sherlock était en maternelle il y avait un garçon d’un an de plus qui l’embêté constamment. J’avais bien essayé de résoudre le problème, mais ça n’avait fait qu’empirer la situation. Un soir j’étais venue les chercher pour rentrer à la maison… »
 
Mycroft ce vit devant l’école maternelle entrain d’attendre son petit frère et sa petite sœur.

Eurus arriva la première, elle lui dit :
 
« Sherlock n’est pas encore arrivé ?
-Non, tu es la première.
-On es là, Sherlock ! Cria Mycroft en agitant le bras. »
 
Sherlock se faufila dans la foule pour les rejoindre. Quand Mycroft le vit de plus près il vit un cocard sous son œil.
 
« Il s’est passé quoi ?
-Rien, je me suis juste cogné. Répondit Sherlock en évitant le regard inquisiteur de son frère. Aller on peut rentrer. »
 
Le groupe se mit en marche silencieusement. Après c’être arrêter dans un supermarché pour prendre un paquet de bonbon, Mycroft repris son enquête :
 
« C’est lui ?
-…
-Sherlock, s’il te plait. Parle moi
-POUR TE DIRE QUOI ? Cria Sherlock. Maman ne fait rien et toi tu n’as fait qu’empirer la situation. Oui il m’a encore frappé, voilà t’es content.
-Pourquoi ?
-…
-Sherlock n’a pas fait son devoir de maths. Dit doucement Eurus.
-Tais-toi, mêle-toi de tes affaires.
-Comment ça son devoir de maths ?
-Ne lui dit rien, dit Sherlock en regard sa sœur avec un regard noir
-Sherlock fait ces devoirs de maths depuis quelques semaines maintenant. Dit Eurus
-T’es qu’une rapporteuse, dit Sherlock en tapant sa sœur. »
 
Sa sœur lui renvoya la politesse et Mycroft dut s’interposer pour éviter que la bagarre n’aille plus loin.
 
« Sherlock, il ne faut pas que tu lui fasses ces devoirs.
-Je ne peux pas, tant que je les fais, il me fiche la paix. 
-Ton œil le prouve, en effet.
-J’ai pas eu le temps hier, c’est pour ça qu’il m’a taper. Passe-moi un bonbon
-Sherlock, ta négation… Dit Mycroft en soupirant bruyamment
-Je n’ai pas eu le temps »
 
« Deux semaines après cet incident, continua Mycroft en revenant à Baker Street, maman a été convoqué à l’école car Sherlock c’était battu. Oncle Rudy lui avait montré comment frapper quelqu’un, pour qu’il arrête de ce faire marcher sur les pieds… »
 
Mycroft ferma les yeux et ce revis enfant. Il était accroupi en haut des escaliers, sa sœur à ces coter. Ils écoutaient ce qui se passait en bas avec beaucoup d’attention.
 
 « Sherlock, tu te rends compte de ce que tu as fait ? Dit le père.
-Je n’ai fait que me que défendre, cria Sherlock
-Te défendre ! S’injuria la mère. Mais il a le bras cassé, il a dit que tu l’as attaqué volontairement.
-Volontairement ! cria de nouveau Sherlock, il arrête pas de me taper tout le temps où il me demande de faire des trucs que je ne veux pas. J’ai mis en pratique ce qu’Oncle Rudy m’a dit de faire.
-Sherlock, on ne doit pas taper des personnes qui sont plus faible que soit. Dit le père. Je suis très déçu de ton comportement, tu vas donc être punis pendant deux semaines de télévision et de piscine. Monte dans ta chambre.
-C’EST VRAIMENT INJUSTE ! Cria de nouveau Sherlock. C’est lui qui me tape et c’est moi qui suis punis. Mycroft à raison, les adultes ça n’écoute jamais les enfants. »

 
Mycroft, vis son frère monter en courant les escaliers. Il passa en coup de vent devant eux, avant de rentrer dans sa chambre en claquant violement la porte.
Il jeta un regard à sa sœur, et ils décidèrent de rester écouter ce qu’il se disait en bas :
 
« Tu ne crois pas que tu es allé un peu trop loin ? demanda la mère
-Non, s’il commence à se battre à son âge qu’est-ce que se sera quand il en aura 10 de plus.
-Je sais, mais il a raison sur un point.
-Et lequel ?
-Ce gamin n’arrête pas de l’embêter à la récréation. Eurus, m’a même dit qu’il l’avait tapé.
-Les enfants sa chahute, d’accord. Je suppose que l’école n’a rien fait ?
-Non, ils ont convoqué l’enfant et ces parents et il a tout nié. Comme il n’y avait pas de témoins, l’école n’a rien fait.
-Donc, c’est qu’il ne croit pas non plus à l’histoire de Sherlock. Je sais que tu voudrais le croire, mais c’est surement le moyen qu’il à trouver de justifier les coups qu’il reçoit. A mon avis, ce n’est pas la première fois qu’il se bagarre, mais la première fois qu’il se fait prendre.
-Tu sais, tu n’es pas beaucoup là à cause de ton travail. Et je ne crois pas que tu mesure l’impact que cette enfant à sur Sherlock.
-Je crois surtout que Sherlock cherche par tous les moyens à ce qu’on s’occupe de lui.
-Comment, papa peut-il oser dire ça, susurra Mycroft.
-Je crois qu’il va falloir qu’on s’occupe de trouver une solution par nous-même, susurra Eurus. Suis-moi. »
 
Sur la pointe des pieds ils se dirigèrent vers la chambre de Sherlock. On ne pouvait pas la rater, c’était la porte aux autocollants pirates. Eurus, l’ouvrit et pénétra dans la chambre, suivit par son frère qui referma doucement la porte derrière lui. Mycroft vit Sherlock à plat ventre sur son lit, la tête dans son coussin. Il pouvait l’entendre pleurait.
 
Il s’avança doucement vers le lit, le souleva pour le prendre dans ces bras puis attendis qu’il se calme. Même s'il ne l'avouerait jamais à voix il n'aimait pas le voir pleurer.
 
« Ils ne veulent pas me croire, personne ne veut me croire. Dit Sherlock en continuant de pleurer. Tu as raison, les adultes sa croit jamais les enfants.
-Chut, dit doucement Mycroft. Ça va aller, avec Eurus on va t’aider à trouver une solution.
-Tiens, dit Eurus en tendant un mouchoir. »
 
Sherlock se moucha bruyamment avant de s’assoir dans son lit, plus calme.
 
« Ces vraiment injuste, pourquoi on ne veut pas me croire ?
-Tu sais, Sherlock c’est comme ça. La vie est souvent injuste. Moi j’avais demandé un serpent aux parents et à la place j’ai eu un petit frère et une petite sœur. Il regarda Sherlock. Je peux avoir un sourire…
-Non. »


Mycroft ne dirait jamais à haute voix ce qu'il avait pour faire sourire son frère. Il emporterait ce secret dans la tombe. Pourtant il y repensa avec un élan de nostalgie. 

Il avait lut quelques part que les chatouille permettait aux enfants de rire. Il balaya rapidement la chambre du regard puis eut une idée. Il allait, pour la première fois de sa vie, jouer à l'enfant. Pour cela il se noua la couverture, celle en boule au bout du lit, autour du coup. Ensuite il attrapa le chapeau de magicien, qui trainait par terre avant de se lever.


« Je suis monsieur chatouille et je viens pour vous chatouiller. Dit-il d'une voix plus aigu en espérant que ces parents ne rentrerait jamais dans la chambre avec un appareil photo car il savait qu'il devait avoir l'air ridicule.
-Tu n’a pas le droit ! Dit Sherlock, interloqué de voire son frère déguisé de la sorte.
-Et pourquoi ? Demanda Mycroft en lançant un regard appuyer à sa sœur, pour qu'elle suive sa mise en scène.
-Car on n’a une super baguette magique et on connait la formule magique. Répliqua Eurus, en attrapant une règle et en sautant sur le lit à coter de Sherlock. Tu ne nous fais pas peur monsieur chatouille. »
 
Devant le manque de réaction de son frère, Eurus attrapa un chapeau pirate et lui mit sur la tête.
 
« Alors capitaine, allons-nous pouvoir combattre cette menace ?
-Oui matelot, dit Sherlock en attrapant finalement son sabre en bois. En garde marin d’eau douce.
-Tu ne pourras pas nous attraper ! Dit Eurus avec conviction.
-C’est ce qu’on va voir, dit Mycroft de sa voix aigüe. »
 
Il se jeta dans leur direction, les mains en l’air. Eurus sauta du lit, souple comme un chat, tandis que Sherlock se faufilait à quatre pattes entre les jambes de son frère.
 
« Je suis plus fort que vous deux, vous ne pourrez pas me battre. Dit Mycroft de sa voix aigüe. »
 
Sherlock essaya de nouveau d’éviter les chatouilles de son frère mais sans succès. Mycroft l’intercepta et se mit à le chatouiller. Sa sœur se jeta dans la mêler pour libérer Sherlock, mais fut à son tour capturé par monsieur chatouille. La chambre fut remplie par les éclats de rire des enfants.
La tension retomba et le groupa s’allongeât à même le sol, tête contre tête.

Revenant au moment présent, Mycroft regarda le groupe qui le dévisager étrangement. 

« Depuis quand tu sais sourire, demanda Sherlock à son frère réellement surpris. »

Reprenant un visage neutre, l'ainée Holmes repris ou il s'en était arrêté.
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 9 Oct 2022 - 21:53

J'aime beaucoup la manière dont Mycroft se montre protecteur envers ses cadets! :j:aime:


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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeLun 24 Oct 2022 - 16:41

OUPS ! ça craint vraiment (je viens de me rendre compte que j'avais oublié de poster la suite).

Bonne lecture.

« J’ai une idée pour qu’on se débarra définitivement du crétin. Dis-moi si je me trompe, il aime que toute l’école soit à ces pieds ?
-Oui, s’il a pas de spectateur il ne fait rien
-Alors, mon plan est parfait.
-Vas-y Eurus, explique-nous ton plan. Demanda Mycroft tranquillement
-Sherlock, tu vas te casser un bras.
-Hein, mais non ! C’est hors de question. Cria l’intéressé en ce redressant.
-Tu ne m’a pas laissé finir. On va te crée un faux plâtre, quand tu vas retourner à l’école tu vas dire à Lucien que tu veux faire un pari avec lui. Le pari est simple : celui qui a le plus de dessin de l’école sur son plâtre a gagné et laisse l’autre tranquille. Pour te laisser le temps tu lui dis on compte dans une semaine.
-Je ne sais pas, c’est super risqué. Imagine un peu que maman ou papa le découvre, ou alors l’école ? Je vais finir punis pour au moins 30 ans.
-Il n’a pas tort, c’est risqué. D’autant que tu devras le garder au moins un moi, pour que ça ne soit pas suspect. Dit Mycroft
-Un moi, dit Sherlock. Mais si jamais je dis oui, il ne faudra pas que ce soit sur mon bras droit je ne pourrais pas écrire.
-Sauf que si tu le fais au bras gauche tu apitoieras moins tes camarades. Il faut que ça soit le bras droit ! Dit Eurus avec conviction.
-Je ne sais pas trop. Répondit Sherlock hésitant.
-Tu veux te débarrasser de lui, oui ou non ?
-Oui, bien sûre que oui.
-Tu sais, si tu ne veux pas le faire c’est que tu ne me fais pas confiance. »
 
Eurus se leva et attrapa pinpin, la couverture doudou de Sherlock, posé sur le lit.
 
« Si tu ne le fais pas, Sherlock. C’est que tu ne veux plus que je sois ta sœur. Et si je suis plus ta sœur, je pourrais faire tes choses méchantes, comme bruler pinpin.
-Non, c’est bon je marche. Cria presque Sherlock en regardants amoureusement son doudou. Mais le bras gauche, pas le droit
-Non, le droit. Avec Mycroft on va t’aider pour t’apprendre à écrire de l’autre main. Tu vas voir, ça va bien se passer. »
 
Mycroft ouvrit les yeux puis continua le récit :
 
« Une semaine plus tard, je les ai rejoints à leur école. Eurus m’attendait dans le hall, elle m’a dit que Sherlock et Lucien c’était retrouver pour compter. Quelques minutes plus tard, j’ai vu Sherlock qui arrivait. Il courrait, comme à son habitude dans les escaliers, avec un grand sourire. Et il a loupé une marche, à cause du faux plâtre il n’a pas pu se rattraper… »
 
Mycroft retourna devant son ancienne école maternel une semaine plus tard.
 
« Maman, tu peux nous déposer ici. Dit Eurus
-Non, je vais vous déposer devant l’école. Sherlock ne doit pas ce fatigué.
-Mais tu sais maman, dit Sherlock, les autres vont me traiter de chouchou.
-Il n’y a pas de raison.
-Si, ils vont dire que juste parce que j’ai une petite blessure, je me fais chouchouter.
-Sherlock tu as la jambe cassée, ce n’est pas une petite blessure.
-Maman, sa lui permettra de marcher un peu avec ces béquilles. Intervint Mycroft
-Bon d’accord, si vous vous y mettait tous les trois. Je vous laisse ici. »
 
Après un dernier signe de la main à la voiture qui s’éloignait, ils se mirent en cercle pour discuter.
 
« Comment on fait pour ça ? Demanda Mycroft en tenant le faux plâtre dans ces mains.
-C’est sûr qu’avec les béquilles tu ne pourras pas le mettre. Ajouta Eurus dont les yeux semblait réfléchir à vitesse grand v.
-Je ne sais pas, je n’ai pas d’idée. Dit Sherlock complétement perdu. »
 
De retour à Baker Street.
 
« On n’a jamais eu le temps de trouver une solution. Le maitre d’école de Sherlock et apparut derrière nous. En voyant le plâtre dans mes mains il a compris la situation. Il nous a emmener tous les trois dans le bureau du directeur. Sherlock a dit que c’était une idée à lui, qu’il nous avait mis au courant ce matin. Papa et maman n’ont jamais su que c’était une idée de sa sœur et que j’avais financée le projet.
-Pourquoi je ne me rappelle pas d’elle. Pourquoi ces vidéos ne me disent rien. Demanda Sherlock d'une voix calme.
-Tu t’en souviens, dit Mycroft, d’une certaine façon. Chacun de tes choix, chaque chemin que tu as pris, l’homme que tu es aujourd’hui… C’est ton souvenir d’Eurus. »
 
Le regard de Mycroft ce perdit dans le vide pendant quelques minutes.
 
« Qu’y a-t-il ? demanda Lestrade.
-Navré, les souvenir perturbent.
-Comment ça ? Donne nous des exemples. Demanda Sherlock avide de comprendre. 
-On l’a trouvé avec un couteau une fois. Elle se lacérait. Nos parents ont cru à une tentative de suicide. Mais quand j’ai demandé à Eurus ce qu’elle faisait, elle m’a dit… Je veux voir comment mes muscles fonctionnes.
-Seigneur ! Dirent John, Lestrade et Donovan en même temps.
-Quand je lui ai demandé si elle ressentait la douleur elle m’a répondu… c’est quoi la douleur ? »
 
Le groupe resta silencieux quelques minutes avant que Lestrade ne prenne la parole :
 
« On finit la vidéo ? »
 
Ils remirent en play. Sherlock passa en avance rapide jusqu’au prochain fondu au noir.
 
La vidéo commençait dans un salon. On voyait deux enfants jouer à un jeu de société, tranquillement. Quand soudain ils tournèrent en même temps la tête vers la caméra. Dans un même mouvement ils se levèrent puis coururent dans la même direction en criant : « Papa, papa est rentrer ! »
 
La caméra les suivit permettant de voir un homme dans l’encadrement de la porte. Les enfants lui sautèrent dans les bras. Il les embrassa affectueusement.
 
« Tu as fait bonne route ? Demanda le caméraman.
-Un peu fatiguant mais sa aurait pu être pire. Il n’en manque pas un ?
-Si, il est dans sa chambre. Il doit finir un exposé pour demain et il vient tout juste de le commencer. Ce retournant vers les enfants. Bon, maintenant que papa et rentré vous aller prendre votre bain.
-C’est papa qui nous le donne, dit Eurus
-Eurus, papa et fatigué. Il a…
-Aller dans la salle de bain je vous rejoins. »
 
Les deux enfants partirent en courant dans les escaliers, d'après les bruits qu'on entendait il faisait la course.

« Sa fait au moins deux mois que je suis partie. C’est l’occasion de passer un petit moment avec eux.
-D’accord, comme tu veux. Tu as mangé ?
-Un sandwich, dans l’avion
-Tu veux autres choses ?
-Non, ça ira merci. Je peux prendre le caméscope ?
-Bien sûre, tient. »
 
Le caméscope changea de main avant de monter silencieusement les escaliers. Arriver dans la salle de bain, le caméscope fut posé sur une table. On vit le père faire couler l’eau du bain pendant qu'il aider ces enfants à se déshabiller avant de les mettre dans l’eau.
 
« Vous voulez qu’on joue un peu, avant de se laver ?
-Oui ! S’enthousiasmèrent les enfants. »
 
Avant que le père n’eût vider les jouets dans le bain, une voix cria :
 
« William téléphone ! C’est Terry, il dit que c’est très urgent.
-Pas de bêtise, je reviens dans une minute »
 
Le père quitta la pièce en laissant les enfants seul. Eurus et Sherlock en profitèrent pour s’éclabousser en rigolant. 
 
« Ça te dit qu’on joue à un jeu ? Demanda Eurus, quelques minutes plus tard.
-C’est quoi comme jeu ? demanda son frère.
-Celui qui retiens sa respiration sous l’eau le plus longtemps.
-Si tu veux.
-Je commence, tu comptes. »
 
Eurus inspira de l’aire puis mit la tête sous l’eau. Sherlock commençât à compter : « 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 » Eurus la sortie de l’eau.
 
« J’ai fait combien ?
-10.
-A toi ! »
 
A son tour Sherlock inspira puis mis la tête sous l’eau. Sa sœur se mit à compter : « 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 ». Sherlock la sortit en éclaboussant sa sœur qui n'avait pas l'air contente.
 
« Je t’ai battu ?
-Non, tu as fait 7. Tu veux qu’on recommence ?
-Oui, paracerque je vais gagner cette fois. »
 
Eurus remis la tête sous l’eau et Sherlock compta : « 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14 ». Eurus sortit la tête de l’eau.
 
« Alors ?
-Tu as fait 14. Mais moi je vais faire 15 !
-Si tu le dis ! Répliqua Eurus, sûre d'elle. »

Sherlock prit une très grande inspiration avant de mettre la tête sous l'eau. Mais cette fois Eurus, au lieu de compter, mis la main sur la tête de son frère pour l’empêcher de remonter. On pouvait deviner Sherlock qui se débattait pour remonter à la surface. Sa sœur mis une deuxième main pour assurer sa prise.
Soudainement la porte s’ouvrit, la voix de Mycroft ce fit entendre :
 
« J’espère que vous avez fini tous les deux, car je… »
 
Il y eut un instant de flottement, pendant lequel Mycroft regardait sa sœur sans comprendre ce qui se passait. Quand finalement il comprit, il cria : « Eurus ! ».
Immédiatement sa sœur enleva ces mains de la tête de son frère, qui ne bougea pas. Mycroft attrapa une serviette qu’il posa par terre puis il sortit son frère de l’eau avant de le poser dessus. Sherlock se mit à tousser et à cracher un peu d’eau. Sa respiration était sifflante, il avait beaucoup de mal à respirer.
 
« Papa, maman ! Cria Mycroft paniqué. Y’a un problème venait vite. Ça va aller Sherlock, papa et maman arrive. La voix qu’il avait était douce, prévenante/ »
 
Eurus regardait la scène avait beaucoup d’attention. Visiblement, elle était curieuse de savoir ce qui allait se passer par la suite.
Les parents ne venant toujours pas Mycroft cria de nouveau paniqué : « PAPA ! MAMAN »

 
On entendit des bruits de pas, puis la voix de la maman :
 
« Mycroft, combien de fois on vous à demandait de… WILLIAM ! viens vite »
 
Elle se précipita sur son fils puis regarda Mycroft :
 
« Que s’est-il passé !
-Eurus lui tenait la tête sous l’eau quand je suis arrivé.
-Il à craché de l’eau ?
-Un peu
-Prends ta sœur et met là en pyjamas. »
 
Le père apparut. Comme pour Mycroft il y eu un instant de flottement, avant qu’il ne ce précipite au coter de sa femme. Quand les enfants furent sortis :
 
« Sherlock, regarde-moi. Essaye de respirer lentement. Dit la mère d’une voix paniquée. William on fait quoi ? 
-Je vais appeler le docteur. Dit le père en sortant de la pièce en courant
-Tient maman, dit Mycroft en tendant un tas de vêtement à sa mère. »
-Merci, Mycroft. Dit la mère après avoir sursauté. Tu m’aide ? »
 
Doucement ils aidèrent l’enfant à enfiler son pyjama.
 
Il y eu un fondu au noir.

La vidéo repris dans un salon, il y avait quatre adultes qui prenait l’apéritif en discutant tranquillement.
 
« Tiens, vos trois petits monstres ne sont pas là ? Demanda une femme brune aux yeux bleus
-Non, on les a mis au lit.
-Au lit à huit heures du soir ? Même Mycroft ? Demandât un homme aux yeux noisette.
-Oui, ce soir c’est une soirée entre adulte. Mycroft a le droit de lire dans sa chambre tranquillement jusqu’à neuf heures. Mais son frère et sa sœur sont au lit. Demain ils ont école. Expliqua la mère en souriant. En parlant de ça, c’est l’heure de passer à table. »
 
Les quatre adultes étaient à table depuis quelques minutes à peine, qu’on entendit à l’étage un grand crie :
 
« PAPA ! PAPA ! PAPA !
-Ah, je vais voir ce qui se passe.
-Je peux venir ? demanda l’homme
-Si tu veux, mais je ne suis pas sûre que ça soit très intéressant à voir.
-PAPA ! PAPA ! PAPA !
-Peut-être, mais avec Christelle qui est enceinte, je veux être prêt à tout »
 
Les deux hommes montèrent les escaliers tranquillement. Arriver à l’étage, l’homme demandât : « Tu sais qui à crier ? ». Sans répondre, le père se dirigea vers une des chambres. Il ouvrit la porte puis alluma la lumière, un petit garçon était recroquevillé au fond de son lit, les yeux grands ouverts. Il avait très peur et sa ce voyait.
 
« Et ben Sherlock, qu’est ce qui se passe ?
-Y’a quelqu’un dans la chambre. Susurra Sherlock. Je l’ai entendu marcher et je l’ai vu là. Il pointa sa porte du doigt. 
-Ce n’est rien, dit doucement le père, ce ne sont que des ombres. »
 
Voyant que Sherlock n’était pas convaincu. Le père s’assit sur le bord du lit tout en posant la caméra sur la table de chevet.
 
« Eteins la lumière Frédéric, tu veux bien. »
 
L’homme s’exécuta en même temps que le père allumer la lampe de la table de chevet. Il mit ces mains devant la lumière, elles produisirent des ombres.
 
« Tu vois les ombres Sherlock ?  Le garçon hocha la tête pour approuver. Le père ferma le poing et claqua des doigts. Les voilà partie maintenant. Sherlock se rallongeât dans son lit. Il était une veille, ce mit à chanter le père, qui avalât un…
-un âne, répondit Sherlock
-sa la rendu pivoine d’avaler ce petit âne. Il était une veille qui avalât un…
-boa constrictor
-je me demande s’il est fort… ce boa constrictor. Dit le père en chatouillant son fils, qui se mit à rire. Avec Frédérique on va redescendre mais on va laisser la lumière du couloir allumer, d’accord ? »
 
Sherlock hocha vigoureusement la tête pour approuver. Le père et Frédérique sortirent doucement de la chambre en laissant la porte entrouverte.

« Alors c’est sa qu’on appelle les terreurs nocturnes ?
-Non, je pencherais plus pour un cauchemar. Son frère à tendance à lui raconter des histoires qui ne sont pas pour son âge. Et avec son imagination débordante sa prend toujours des proportions énormes.
-Alors, que ce passait-il à l’étage ? Demanda une femme tandis que les hommes reprenait leur place à table.
-Rien de bien grave, Sherlock à fait un cauchemar. »
 
Le diner démarra enfin. Tout le monde se servit de l’entrée et les discussions suivirent :
 
« Alors ce nouveau contrat avec l’Australie William, il en est où ?
-Bientôt signé, je vais donc partir deux ou trois semaines pour m’assurer que tout est en ordre.
-Ça ne doit pas être facile pour les enfants de voir partir leur père pendant d’aussi longue période. Dit Frédérique.
-Tu veux de l’eau ou du jus de fruit Natacha ? 
-De l’eau merci
-Tu sais, ils font avec. Ils savent que c’est mon travail et… »
 
A l’étage retentit un autre crie. Un crie de pure terreur, suivit par des cout sourd.
Les quatre adultes partirent en courant dans les escaliers. Natacha, partie la dernière avec la caméra.
Arriver à l’étage, Mycroft était sur le pas de sa porte en pyjamas.
 
« Va te coucher Mycroft, on s’en occupe. »
 
La porte se referma tandis que le père ouvrait doucement celle de son fils cadet.
En allumant la lumière ont vit le petit garçon recroquevillé dans un coin les bras autour des genoux en train de se balancer d’avant en arrière en hoquetant. Sa mère se mit à sa hauteur pour le prendre dans ses bras afin d'essayer de le calmer.
 
« William, attrape son inhalateur, sur son bureau. Le père lui tendit. »
 
Sherlock prit docilement sa Ventoline.
 
« Sherlock tu tremble. Dit la mère qui serrer son fils dans ces bras. Dis-moi ce qui c’est passer.
-Il est revenue, articula difficilement l’enfant.
-Qui ?
-Il m’a empêché de sortir
-Sherlock de qui tu parle
-Il à tirer les ressorts du lit
-Mais qui ?
-On va regarder sous le lit pour te prouver qu’il n’y a personne. Dit Frédérique. »
 
Il s’approcha du lit et se mit à quatre pattes. Il souleva un drap puis poussa un crie de surprise. Ce ressaisissant il attrapa quelques choses qu'il traina de sa cachette avant de dire :
 
« Le voilà ton fantôme Sherlock, c’est ta sœur. »
 
Devant eux se tenait Eurus, elle portait un masque et avait des ongles en plastique pour faire comme des griffes au bout des mains. On voyait sortir de sa poche une lampe de poche avec une feuille noire au niveau de la lampe.
 
« Eurus, cria la mère indignait.
-Jeune fille, dit le père très en colère. Viens avec moi. »
 
Ils quittèrent la pièce.
 
« Sherlock ça va aller, c’était juste ta sœur. Elle voulait de te faire peur. Tu n’as plus rien à craindre. »
 
Nouveau fondu au noir
 
Une femme apparu à l’écran. Elle avait de longs cheveux noirs qui encadrait un visage sec. Il ne faisait aucun doute que c’était Eurus. Elle avait les mêmes yeux que ces frères avec cette pointe de curiosité qui les caractérisait.  
 
« Sherlock, je me demande si maintenant tu te souviens de nous, de notre famille. Moi je n’oublie rien, je stocke tout dans mon disque dur. Un doigt apparu et ce posa sur sa tempe. Tu sais je t’ai surveillé, même quand j’ai dû quitter la maison. Je voulais savoir ce que tu devenais. Et puis j’ai appris que tu avais une petite amie. Pourquoi tu aurais eu une et pas moi ? Tu n’avais pas le droit de me faire ça ! »
 
Après un fondu au noir la vidéo repris devant une maison.
Un garçon de seize, dix-sept ans apparut. Il portait une chemise blanche à manche courte et un jean qui lui arrivait aux genoux. Pour compléter la tenue il portait des basquets noirs à lacet blanc.
 
« Tu sais que tu es beau toi ! Dit le caméraman.
-Merci papa, dit poliment Sherlock
-Vous allez voir quel film déjà ? Demanda une voix de femme
-eXistenZ
-Ce nom me dit quelques choses ?
-Oui, c’est un film qui est sortie en avril de cette année. Ils à été diffusé en avant-première au festival de Berlin.
-Mettez-vous côte à côte je vais faire une photo. Ce n’est pas souvent que je te vois aussi bien habillé, je tiens à immortaliser le moment. »
 
Le camescope fut posé sur une table et on put voir la mère se mettre à coter de son fils. Le père apparut à son tour, un appareil photo dans les mains.
 
« Tu ne voudrais pas un peu sourire, on dirait que tu vas à un enterrement. Voilà comme sa c’est parfait ! Ouistiti »
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MessageSujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe   Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe - Page 2 Icon_minitimeDim 30 Oct 2022 - 22:51

Et bien Eurus coche toutes les cases de la psychopathe! ça craint vraiment


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La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
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