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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Lun 7 Nov 2022 - 17:46
Bonsoir, bonne lecture.
On entendit le clic de l’appareil photo en même temps que la sonnette.
« Ah, ils sont arrivés. S'écria la mère de Sherlock en s'éloignant de son fils pour aller ouvrir la porte. »
Un homme grand, une barbe de plusieurs jours apparut.
« Entrez, entrez ! Dit le caméraman, qui avait repris la caméra pour filmer la scène. -Bonsoir, dit l’homme -Bonsoir, répondirent les trois Holmes -Sherlock, je peux te parler ? -Bien sûre, monsieur Cartwrite »
Sherlock se rapprocha de l’homme, qui le prix par l’épaule :
« Bon on va parler vite, mais bien. Tu vois la fille là ? Il pointa du doigt une jeune fille qui avait l'air exaspéré. C’est la mienne et j’y tiens beaucoup alors : pas d’alcool ou de drogue quand tu conduis. Tu gardes tes mains dans les poches pendant le film et surtout vous êtes rentré avant minuit sinon j’envoie l’armé et la police vous chercher ! -Papa, s’indigna Alicia. -On est d’accord ? Demanda monsieur Cartwrite en ignorant sa fille -Oui, monsieur Cartwrite. Dit Sherlock -Bien, alors vous pouvez y aller, bonne route ! »
Le père d’Alicia s’éloigna de la porte pour les laisser passer. Sherlock attrapa deux casques pour moto et en tendis un à Alicia, qui le prit. Il attrapa ensuite une veste en jean qu’il enfila avant de sortir de la maison.
« Attendez deux secondes, dit le caméraman. Prenez le caméscope avec vous, comme sa vous aurez un souvenir pour plus tard. »
Le caméscope changea de main. Il filma de la pelouse, un bruit de scooter, puis du goudron qui défilait à toutes vitesse.
« Moi, je suis contente que tu es accepté de venir. Cria Alicia pour ce faire entendre. C’est notre première vraie sortie en amoureux. Tu l’as dit à ton frère ? -Non, dit Sherlock en parlant fort lui aussi, je lui parle plus depuis quelques temps. -Ah et pourquoi ? -Je ne t’en avais pas parlé ? -Non, enfin je ne crois pas me souvenir. -Depuis qu’il à son poste au gouvernement il se croit au-dessus de nous. Il me répond plus au téléphone. Si je veux lui parler je dois mentir pour être sûre qu’il décroche. Et quand je lui demande s’il compte venir il trouve des excuses à chaque fois ! -Je croyais que tu t’en fichais de ne plus le voir ton frère. -Oui, enfin pas complétement. Tu sais y’a des fois ou j’aimerais lui parlerais de certaines choses et j’ai toujours l’impression de le déranger. J’ai l’impression que maintenant qu’il à trouver le boulot qu’il voulait, je ne compte plus pour lui. Que je suis juste le petit frère qu’on met au placard et qu’on sort pour les grandes occasions. Alors j’ai décidé de ne plus lui parler, s’il ne faisait pas un effort lui aussi. -Je ne peux pas te dire que je comprends ce que tu ressens car moi-même je suis fille unique. Mais quand ma mère nous à quitter sa à crée un vide à la maison et j’aimerais vraiment pourvoir le combler. Tu sais s’il arrivait quelques choses à ton frère avant que vous ayez put vous réconciliez tu t’en voudras toutes ta vie. Tu lui en veux d’accord, mais appelle-le ou va le voir et parles en avec lui. Une discussion à cœur ouvert, ça aide tout le monde. -Ce n’est pas le genre de la famille. »
Les deux adolescents se turent et, après un fondu au noir, Alicia filma Sherlock tandis qu’il mettait un antivol sur une mobylette. Ils se dirigèrent ensuite vers le cinéma. Une personne fit un signe de la main à Alicia :
« Tu ne m’avait pas dit qu’on ne serait pas seul. -Ah ! Je ne te l’ai pas dit ? Dit Alicia de manière innocente. Je croyais pourtant. Bon, ben… Sherlock tu sais quoi ? -Quoi ? -On ne seras pas seul au cinéma ce soir. Ça te dérange ? -Oui, grommela Sherlock -C’est bien pour ça que je n’ai rien dit. J’avais peur que tu annule. »
Un petit groupe s’approcha d’eux. Et après les poignées de main et bise de bonjour. Les jeunes se dirigèrent vers le guichet.
L’image disparu pour laisser place à Eurus :
« Quand je t’ai vu arriver j’ai trouvé que tu ressemblais comme deux gouttes d’eaux à papa au même âge. Et puis j’ai vu que tu étais accompagné d’une fille. Tu as même payer pour elle. Je devais absolument savoir qui elle était pour toi. »
Eurus disparu pour laisser la place aux adolescents :
« Bonjour, deux entrées pour le film eXistenZ. -Vous payer séparément ou ensemble ? -Ensemble, dit Sherlock. -Très bien sa fera 5£. »
Sherlock paya puis s’éloigna du comptoir pour laisser les autres personnes du groupe payer.
De nouveau Eurus apparut à l’écran.
« Il fallait que je parle avec elle, que je sache qui elle était vraiment pour toi. Alors j’ai mis en place un plan. Un plan qui allait impliquer le décès de deux personnes même si je ne le savais pas encore. Mais je devais le faire pour toi. Pour te protéger d’elle, pour qu’on reste une famille uni »
La vidéo repris sur la mobylette, la caméra filma une forêt noire et opaque qui était répartie de part et d'autre de la route. La lumière baissa rapidement, ne permettant finalement plus que de voir la route en face grâce à la lumière faiblarde du phare.
« J’ai adoré le film ! dit Alicia en criant un peu pour être entendu -Mouais, bof ! répondit Sherlock en parlant lui aussi fort . Dès le début du film on savait ce qui allait ce passé à la fin. -D’ailleurs tant que j’y penses, merci. -Pourquoi ? -Tu ne m’a pas gâché la fin du film. »
La mobylette ralentie car en face d’eux il y avait un policier, qui leur faisait signe de s’arrêter. Progressivement le cyclomoteur ralenti pour s’arrêter en face de l’agent.
« Bonsoir, je suis désolé mais la route et fermé. -Pour quelle raison ? demanda Sherlock -Un camion a eu un accident et c’est couché au milieu des voix. Tu sais comment contourner ? -C’est avant ou après le prochain embrochement ? -Entre les deux. -D’accord, je sais comment rentrer. -Très bien, soyez prudent. Bonne soirée. -Bonne soirée, répondirent Alicia et Sherlock »
La mobylette se tourna pour revenir sur ces pas puis accéléra progressivement. Sherlock bifurqua à droite quand Alicia s’exclama :
« Regarde ! une fête foraine. »
En effet sur la droite on pouvait distinguer des manèges à sensation et si on tendait l’oreille on pouvait entendre les bruits qui allait avec.
« Et puis tu sens cette odeur, ça me donne envie de manger une barbe à papa. -Tu veux qu’on s’arrête ? -On à le temps ? -Je dirais une heure tout au plus. Estima Sherlock. -Alors oui, je veux bien »
Sherlock bifurqua à droite quand le panneau Fête foraine apparut. Ils se garèrent sur le parking avant de pénétrer dans ce lieu d’émerveillement. Très rapidement Alicia traina Sherlock vers un train fantôme.
« Oh tu as vu ça ? -Oui, un train fantôme. Ou tu peux trouver des personnes maquillés et costumé qui joue sur ta peur du noir. Dit Sherlock en soupirant -Y’a pas une fois ou tu pourrais prendre les choses comme un moment de divertissement ? -Je ne vois pas en quoi c’est un moment d’amusement. -J’abandonne. Allez viens on y va. »
Sherlock suivit Alicia et paya les deux entrées. Ils s’assirent dans le même wagon qui pénétra dans un endroit sombre. La caméra ne filma que les cris d’Alicia plus ou moins strident. Quelques minutes plus tard ils se retrouvèrent à l’extérieur.
« C’était vraiment super ! Merci. »
Ils continuèrent de marcher quand Alicia dit :
« Tu as vu cette peluche ? Elle est trop mignonne. Elle pointa du doigt un petit singe avec deux grands yeux bleus qui tenait dans les mains un cœur rouge avec écrit toi et moi. -Pour la gagner ils vous suffit de faire tomber toutes les boites de conserve avec trois balles. C’est 50 cent la partie et 1£ pour trois parties. Dit le forain à voix forte »
Sherlock passa devant Alicia puis dit au forain :
« On va prendre trois parties. Après avoir payé il se tourna vers Alicia. Tu viens ? -Très bien jeune homme, voici vos trois balles. Il les posa devant Sherlock -Tiens va y je te laisse faire. Il dit ces mots en reculant pour laisser la place. »
Alicia s’approcha avant de poser la caméra en face des boites de conserves. Quelques secondes après la caméra se remit en mouvement filmant Alicia entrain de jeter la première balle. La caméra changea d’angle et Alicia jeta sa seconde balle, qui rata la cible. Elle jeta la troisième balle qui toucha la boite de conserve du haut. Le forain remis la boite en haut de la pile avant de poser trois nouvelles balles devant Alicia. Elle les prit puis les jetas à la chaine en rigolant. Elle ne toucha aucune des boites cette fois. Le forain remis de nouveau les balle devant Alicia. Elle se tourna vers la caméra pour faire un coucou souriant de la main.
« Tu as un conseil à me donner ? -Vise le bas de la pile »
Alicia se remis face aux boites de conserve la langue entre les lèvres. Elle jeta la première balle qui rata la cible. La seconde balle dégomma trois boites. Alicia parut surexcitée. Elle prit la dernière balle, prit une grande inspiration puis la lança. Elle dégomma presque toutes les boites. Il n’en restait qu’une encore debout. Elle parut déçue.
« Désolé, dit le forain, vous y étiez presque. Vous voulez recommencer ? -Non, c’est bon. Merci pour votre accueil. »
Elle s’éloigna du stand pour rejoindre Sherlock.
« Une barbe à papa sa te tente ? demanda Sherlock -Oui volontiers. -Tiens, Sherlock tendit un billet à Alicia, je te rejoins au stand. J’en ai pour deux minutes. -D’accord »
La caméra changea de main et Alicia se dirigea vers le stand de confiserie.
« Bonjour, je voudrais deux barbes à papa. -Très bien, ça vous fera 2£. -C’est votre petite ami ? Demanda la femme en rendant la monnaie à Alicia. -Oui, enfin pour moi il l’est. -Comment ça pour vous il l’est ? Demanda la vendeuse en préparant la première barbe à papa -Lui, il ne ressent pas les choses comme tout le monde. Je ne sais pas s’il m’aime ou non, mais la façon dont il se comporte avec moi me fait dire que oui. -Vous sortez ensemble depuis longtemps ? -Ça va faire 2 ans en août. -Vous avez prévu quelques choses de spécial pour cette occasion ? -Oui, des amis de l’école organise une fête au bord du lac à coter de chez nous. Je vais lui demander de m’emmener à vélo et on passera par un chemin spécial. Au retour je lui demanderais de s’arrêter en chemin et je lui offrirais une écharpe bleue. Je l’ai choisi avec mon père pour être sûre qu’elle lui plaise. -C’est un super programme. Elle lui tendit une première barbe à papa et commença à préparer la deuxième. Vous avez prévu l’avenir ? -Oui, après nos études on habitera tous les deux. Ensuite on se mariera, on ouvrira notre entreprise d'avocat-détective consultant, on aura aux moins deux enfants avec un grande maison qui aura un jardin. Au son de sa voix on sentait qu'elle débordait de bonheur à cette perspective d'avenir. -Votre amis viens de revenir. Dit la femme en lui tendant la deuxième barba à papa. »
Sherlock l’attrapa puis fit un petit signe de tête à Alicia. Ils s’assirent sur un banc, la caméra fut posée sur une table en face d’eux. Alicia échangeât le sac plastique que Sherlock lui tendait contre sa barbe à papa. Elle ouvrit le sac et on put voir ces yeux s’illuminer.
« Tu l’a gagné pour moi ? -Oui, tu avais l’air de le vouloir très fort. -Et ! Oh ! C’est magnifique. »
Autour du coup de la peluche Alicia enleva un collier en argent avec un petit cœur en pendentif.
« Mais tu as fait graver mon nom dessus ? -Oui, ça fait deux ans qu’on sort ensemble si je ne me trompe pas. Papa m’a dit qu’on offrait un bijou au fille et Mycroft m’a avancé les sous. -Je l’adore merci ! elle lui sauta au coup et l’embrassa sur la bouche. Je ne pensais pas que tu t’en serais souvenue. -Tu ne vas pas te mettre à pleurer quand même ? -Non… Enfin… si… Enfin… Je ne sais pas, tu as dit qu’on sortait ensemble ça veut dire que tu es mon petit copain ? -Ben ce n’était pas déjà le cas ? -Si, mais tu ne l’avais jamais dit. Et elle fondit en larme dans les bras de Sherlock »
Eurus apparut à l’écran
« Après ce que m’avais dit cette petite garce, je devais savoir si tu ressentais la même chose. Je vous ai discrètement suivit et j’ai vu cette scène. Je n’en revenais pas, tu trahissais notre famille. Tu n’avais pas le droit de sortir avec elle alors que Mycroft et moi on n’avait jamais connu ça. De quel droit tu pouvais connaitre le bonheur. Eurus ce tut quelques instants. Bonheur voilà un mot bien étrange. Je ne sais pas ce qu’es le bonheur je n’y ai jamais eu droit. Son regard se durcit brusquement et glaça le sang de tous ceux qui regardait la vidéo. Mais je savais une chose sur ce bonheur il devait disparaitre et Alicia m’avait dévoilé tout ce qu’il fallait pour mettre au point un plan pour te ramener à la maison. »
Cissy Moderatrice générale
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 13 Nov 2022 - 19:16
Elle est cinglée Eurus! Sherlock a bien le droit d'avoir une petite amie il me semble!
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
gibbs444 Douce immersion dans l'imaginaire…….
Messages : 37 Date d'inscription : 08/11/2021
Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Ven 25 Nov 2022 - 20:13
Bonsoir, bonne lecture !!!!
Eurus disparut remplacer par une route éclairer par un phare de cyclomoteur. On entendit le bruit de la mobylette qui avançait à plein régime. Alors que la moto avançait on entendit un « Ploc », puis « Ploc, ploc » et enfin une pluie diluvienne s’abattit sur les adolescents.
« D’ici à ce qu’on arrive, cria Alicia, on n’aura pas besoin de prendre une douche pendant au moins une semaine. Si on ne chope la crève d’ici là. »
En effet aussi subitement que la pluie était tomber, le vent c’était mis à souffler. On n’entendait plus que très difficilement les cris de Sherlock et Alicia qui essayer de communiquer. Une chose fut pourtant certaines, la mobylette ralentie avant de définitivement s’arrêter.
« Pourquoi on s’arrête ? -Je ne sais pas, la mobylette à un problème et je n’arrive pas à la redémarrer. -On fait quoi ? -On va s’abriter le temps que sa ce calme et on reprendra la route ensuite. -Mais il n’y a rien par ici ! -Suis moi »
Sherlock se mis à pousser le cyclo en dehors de la route suivit par Alicia. Elle tremblait tellement qu’on ne distinguait plus le paysage.
« Tient prend, dit Sherlock. -Je ne peux pas prendre ta veste, répondit Alicia. Tu vas attraper froid. -Prends la ! -Merci »
Alicia tremblant un peu moins on put distinguer une maison devant eux. Elle paraissait vielle mais pas en ruine.
« On va s’abriter dedans le temps que la tempête ce calme. -D’accord ! »
Sherlock gara la mobylette sous un auvent avant de pénétrer dans la maison suivit par Alicia.
« Mais on est où ? Demanda-t-elle depuis l'entrée. On a l’impression que les propriétaires vont revenir dans quelques minutes. »
En effet autour d’eux il y avait encore des cadres, des meubles, des vêtements au porte manteaux. Il faisait sombre, mais pourtant une impression de chaleur émanait du lieu. Alicia s’approcha d’une table ou une épaisse couche de poussière était visible.
« C’était la maison de la famille Colbert. -C’était ? Tu veux dire une maison hantée ? -Non ce n’est pas une maison hantée. Dit Sherlock en soupirant dramatiquement. -Tu ne crois pas aux maisons hantées ? Dit Alicia dédaigneuse. Le contraire m’aurait étonnée. -Toute maison hantée repose sur des éléments tangible et explicable scientifiquement. -Alors c’est quoi l’histoire de cette maison. -Il y 6 ans vivaient ici une famille de 4 personnes. Les parents et leurs enfants. Un soir le père a été pris d’une envie de meurtre et il a tué ces enfants et sa femme avant de se suicider. -Tu as connus ces enfants ? -Non, ils étaient plus vieux que moi. Mais Mycroft a connu leur fille, ils étaient dans la même classe. -Après le train fantôme, la maison hantée. J’adore le tournant de cette soirée. -Oui, mais la tempête ne se calme pas et ils bientôt minuit. -On fait quoi ? -Un jogging sous la pluie pour rentrer sa te tente ? -Bof, mais on n’a pas le choix »
Ils sortirent de la maison, la tempête était plus intense que précédemment. Le vent faisait plier les branches des arbres. Des éclairs se faisait entendre et zébré le ciel par moment.
« Tu es prête ? on y va ! »
Sherlock et Alicia s’élancèrent en courant pour rejoindre la route.
« Sa va ? demanda Alicia -Oui, enfin presque. Dit Sherlock d’une voix un peu étrange. -Tu sais où on est ? -On doit être à encore un bon… quart d’heure. -Tu es sûre que ça va ? J’ai l’impression que tu as du mal à reprendre ta respiration -T’inquiète pas ça… va »
La pluie avait commencé à se calmer mais le vent continuer de souffler de plus en plus fort. Le terrain sur lequel il courrait devenez de plus en plus impraticable. Ils ralentirent progressivement jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent de nouveau. Sherlock était plié en deux, les mains sur les genoux en train d’essayer de reprendre son souffle.
« Tu n’as pas un… inhalateur sur toi ? Demanda Alicia en reprenant sa respiration -Il à dut… tomber de ma poche… quand on à commencer à courir. -Tu pourras tenir jusqu’à la maison ? -Pas… en… courant »
Alicia et Sherlock reprirent leur marche sous une petite bruine. Ils marchaient depuis une dizaine de minute maintenant quand Sherlock attrapa Alicia par le bras :
« Tu… entends ? -Non, j’entends juste de la pluie. -Une voiture… arrive »
Transperçant la bruine deux phares de voitures apparurent. Sherlock et Alicia levèrent le bras pour faire de l’autostop. Le véhicule s’arrêta puis la fenêtre passagère s’ouvrit :
« Bonsoir les enfants que faite vous dehors sous un temps pareil ? -On est tombé en panne, expliqua Sherlock en faisant un effort pour articuler en une phrase -Tu es le fils Holmes ? -Oui -Allez-y monter je vais vous déposer »
Alicia chuchota à l’oreille de Sherlock :
« Il me fait peur, je pense qu’on pourrait rentrer à pied. -On à pas… le choix »
Sherlock ouvrit la portière puis monta à l’avant. Après qu'Alicia s’assit derrière lui la voiture repris la route.
« Tu sais comment je m’appelle ? -Vous êtes… Monsieur Harvey. -Il n’est pas mignon ce chien ? il montra un petit chien plastique dont la tête bougeait au rythme de la voiture. -Si très, dit Alicia d’une voix un peu plus aigüe qu’a l’ordinaire. -Vous savez, j’ai créé quelques choses pour les jeunes. Je peux vous le montrer si vous voulez ? -Non, dit Sherlock -Non qui ? Dit monsieur Harvey d’une voix beaucoup plus dure que précédemment. Soit poli, il faut être polie. -Non merci monsieur Harvey, dit Sherlock d’une traite d’une voix rauque. -Ce que je voulais vous montrer c’est coolos, c’est bien ce qu’on dit non ? Repris le conducteur d'une voix joviale. -Oui, dit Alicia de se voix toujours aigu. -C’est quelques choses qui pourraient servir au jeune de la ville. -On est déjà très en retard on voudrait juste rentrer. Dit Alicia d’une voix un peu plaintive. -Comme vous voulez, mais vous ne savez pas ce que vous rater. »
Le reste du voyage se passa dans les sifflements rauque de la respiration de Sherlock.
« On est arrivé, dit monsieur Harvey après quelques minutes de conduite. -Merci monsieur Harvey, dit Alicia -Merci… monsieur Harvey, dit Sherlock -C’est bien, vous êtes polie »
Sherlock et Alicia regardèrent la voiture s’éloigner
« Il me donne la chaire de chocotte -Je croyais… que c’était… démodé… -Allez viens on rentre, je n’ai pas envie que tu tombes dans les pommes à cause d’une crise à rallonge »
Sherlock avait la main au-dessus de la poignée quand la porte s’ouvrit. Mycroft se tenait dans l’encadrement, il cria :
« Ils sont là maman ! »
Sherlock poussa son frère puis ouvrit un tiroir de la commande à gauche de l’entrée. Il en attrapa un inhalateur qu’il utilisa deux ou trois fois avant que sa mère n’apparaisse. Elles avaient l’air ou bord de la crise de nerf.
« Mon dieu dans quel état vous ! Ce tournant vers Mycroft. Appelle ton père et le père d’Alicia dit leur qu’ils peuvent rentrer à la maison.
Puis elle partit vers l’étage et redescendit avec deux serviettes. Elle leur en tendit une chacun.
Après un fondu au noir puis la vidéo changea d’angle et de qualité. Elle ressemblait plus à une caméra cachée qu’a une caméra tenue à la main. Elle filma un groupe de 4 jeunes assis sur un banc dans ce qui semblait être un parc.
« Bonjour, dit une voix de femme. -Salut, répondit vaguement un des jeunes en reprenant sa conversation avec ces copains. -Je peux vous poser quelques questions ? repris la femme. -Et pourquoi on y répondrait, dit l’un des garçons en se levant. -Je pensais que 50£ chacun sa pouvait vous dédommager du temps perdu. -Tu veux savoir quoi ? Dit le même garçon après s’être retourner vers ces copains. -Vous connaissez un garçon qui s’appelle Sherlock Holmes ? -Oui, c’est un intello, arrogant et prétentieux. -Vous ne l’aimez pas beaucoup. -Cette abrutie à trouver le moyen de sortir avec ma copine. -Sa vous direz de réglé vos comptes et de récupérer la fille en plus ? -Régler nos comptes ? Comment ça ? -Je vous embauche pour tabasser Sherlock sous les yeux de sa copine. Vous avez même le droit de la taper un peu pour faire plus vraie. -Si on fait ça on finir en taule, dit un autre jeune qui c’était approché. -Pas si vous mettez des cagoules pour masquer vos visages. -Pourquoi on ferait ça ? Demanda le troisième. -Pour 25 000£ chacun je pense que vous n’avez pas de question à me poser. -Comment on peut être sûre d’être payé, on ne vous connait pas ? -Je vous donne la moitié chacun maintenant, vous faites une vidéo pour me prouver que vous l’avez fait. Ensuite vous m’appellerez avec ce téléphone. Elle tendit un téléphone au garçon du milieu, qui le prit. Il n’y a qu’un seul numéro enregistrer, vous ne pouvez pas vous tromper. Quand vous aurez fini vous irez à la gare casier numéros 12 pour déposer la casette et récupérer le reste de l’argent. -On marche, dit le premier garçon après avoir jeté un rapide coup d’œil aux autres. Allonger l’oseille. -J’y met une seule condition : vous devez absolument mettre KO Sherlock pour le reste de la soirée et Alicia pour quelques heures. Pour le reste à vous de voir. »
Elle tendit quatre enveloppes devant elle. Les garçons les prirent :
« N’oubliez pas que je sais ou vous habitez si jamais vous ne le faite pas. »
Elle fit demi-tour puis il y eut un fondu au noir.
La vidéo repris, toujours en caméra caché, devant une maison. Une main apparut et appuya sur la sonnette. Quelques instants plus tard l’homme qui avait raccompagnait Sherlock et Alicia apparut. Il était grand, un visage mince et jovial, une moustache bien garnie des lunettes cerclé en métal et des cheveux brun coupé court.
« Oui, bonjour. -Je m’appelle Michael et je sais qui vous êtes. Dit la personne d’une voix rauque, une voix d’homme -Je ne comprends pas, dit l’homme avec calme -Vous êtes un violeur pédophile et un assassin. -Je ne vois pas de quoi vous parler ! s’emporta l’homme en essayant de claquer sa porte -Suzanne Miller en 1971, Anne Legrand en 1980, Frédérique Libermann en 1999. Dit l’homme en bloquant la porte avec sa main. -Vous voulez quoi ? Demande monsieur Harvey en pleine crise de panique -Laissez-moi entrer et je vous expliquerais. Dit calmement Michael. »
Monsieur Harvey finit par s’écarter pour laisser Michael entrer dans sa maison. Ils s’assirent dans le salon l’un en face de l’autre.
« Que voulez-vous ? -Je veux que vous me rendiez un service. -Un service ? demanda Monsieur Harvey surpris -Oui, je voudrais ajouter une victime à votre palmarès. -C’est hors de question ! S’injuria Monsieur Harvey en se levant d’un bond. -Si vous le ferait. Dit avec calme Michael -Et pouvez-vous me dire pourquoi ? -Parce que je peux prouver que vous êtes le coupable d’une série d’homicide à travers le pays depuis la fin des années 60. -Ah, oui ? Je veux bien voir ça. Dit l’homme en s’enfonçant dans son fauteuil beaucoup plus confiant. »
Michael déposa sur la table une feuille de papier. Monsieur Harvey la prit puis l’étudia quelques secondes. Son regard changea instantanément et il perdit quelques couleurs.
« Qui est la victime ? Dit Monsieur Harvey d’une voix blanche. -Alicia Cartwrite. -D’accord, mais vous faites disparaitre ce que contiens la feuille. -Très bien. Voici mes conditions, le 20 août 1999 il y aura une fête au niveau du lac artificiel. Vous voyez ou c’est ? -Oui très bien. -Je vous contacterez sur ce téléphone. Michael posa un téléphone portable sur la table, situé entre eux deux. Vous vous rendrez à ce moment-là sur place avec une caméra et vous filmerait ce que vous ferez à la fille. Quand vous aurez fini vous irez à la gare et vous mettrez le téléphone et la caméra dans le casier numéros 13. Il posa sur la table une clé. Quand j’aurais vu que le travail est fait, je détruirais le contenue de la feuille. -Comment je pourrais être sûre que vous l’avez fait. -La police ne viendra pas vous arrêter, ce sera la preuve que j’ai remplis ma part du contrat. »
De nouveau un fondu au noir. La vidéo repris dans une forêt. On entendait des voix qui marmonnait :
« Pousse-toi, je n’arrive pas à avancer. -Tiens, regarde il est là ! »
Un bras apparut dans le champ de la caméra. Il pointa un vélo poser contre un arbre.
« Bon, on pause où la caméra ? -Je ne sais pas ? Là ? un garçon pointa du doigt une souche. »
La caméra fut posée et l’ironie de cette action frappa tout le monde. En effet c’était au même endroit que Sherlock avait posé sa caméra quelques temps après l’attaque pour se remémorer les événements.
« Ouais, c’est parfait. -Bon on fait comme à dit les gars et à nous le fric. -Tu es sûre qu’on doit le faire ? Demanda un des garçons. -Ton père ne se fait pas la moitié du fric qu’on va gagner ce soir en une année. Avec ce fric on pourra aider nos familles. -Ouais mais c’est quand même Alicia. Elle est sympa comme fille et Sher… -Si tu ne veux pas le faire casse toi. Dit le grand blond en empoignant violement l’autre garçon par le col. On ne va qu’assommer Alicia et remettre l’autre à sa place. Il l’aura bien mérité. -C’est bon, lâche-moi. Je reste. »
Le grand blond lâcha le garçon puis dit à l'attention du groupe : « Allez mettez vos cagoules puis on se met en place. » Les quatre garçons se dispersèrent autour du vélo. Plus personne ne bougea et l’attente commençât. On entendait, en contrebas, l’écho des discussions et de la musique puis plus rien, la fête était finie. On entendit maintenant des bruits de pas qui se rapproche lentement. A peine arriver en haut, un des agresseurs surgit de derrière un arbre tout en envoyant un violent coup de barre de fer dans la tête de Sherlock qui s’effondra au sol. Un deuxième sorti à son tour et attrapa Alicia par les bras.
« Laissez le tranquille, il n’a rien fait. Dit-elle en essayant de se libérer les bras »
Les deux derniers agresseurs sortirent de leur cachette puis rejoignirent le premier pour taper violement Sherlock à coup de pied ou de poing.
« Arrête tu vas le tuer si tu continues. Cria celui qui tenait les bras d’Alicia. »
Cissy Moderatrice générale
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 27 Nov 2022 - 20:11
Qui a pu tramer cette attaque? Eurus?
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 11 Déc 2022 - 11:24
Bonne lecture...
Alicia arrêta de s’agiter. Elle tourna lentement la tête tandis que son regard se glaçait d’effroi. Elle dévisagea les trois autres personnes.
« C’est vous, murmura-t-elle. Mais pourquoi ? »
L’instant d’après un des garçons lui envoya un violent coup de poing au visage. Alicia tomba à terre inconsciente. Ils prirent la caméra puis partirent en courant pour quitter la forêt. Une fois devant la gare, le chef du groupe attrapa le portable qu’on lui avait remis. Il composa le numéro de téléphones, quelques instants plus tard il disait : « C’est fait ».
Fondu au noir.
La vidéos repris au même endroit que précédemment. Mais cette fois la scène était glaçante. Sherlock était toujours à terre inconscient, de même qu'Alicia qui était à quelques mètre de lui. Monsieur Harvey eut un sourire tandis qu'il parlait à voix basse, plus pour lui-même que pour la caméra :
« Les jeunes filles d’aujourd’hui ne savent pas s’habiller correctement. Cette robe jaune et bien trop courte pour toi. Mais ne t’inquiète pas, je vais prendre soin de toi. »
Il prit délicatement Alicia dans ces bras pour l'assoir contre un arbre. Il l’a déshabilla avec précaution, comme un enfant avec un jouet fragile puis il lui mit une robe blanche, qui lui arrivait au pied. Enfin il l’attacha à l’arbre à l’aide d’une grande corde.
Alicia repris doucement conscience. Alors qu'elle prenait lentement conscience de la situation, elle commença à lancer des regard affolé autour d'elle avant de se mettre à crier de manière paniquée tout en se débattant pour défaire des liens.
« Chut, chut. Dit monsieur Harvey. Je vais bien m’occuper de toi. Ça va aller. »
Monsieur Harvey se mit à toucher Alicia, à la caresser. Les cris d’Alicia devinrent plus déchirants puis une voix faible ce fit entendre.
« Laissez là tranquille. -Ta gueule ! hurla Monsieur Harvey en faisant un grand pas pour arriver à la hauteur de Sherlock. »
Il lui envoya un coup de pied en plein visage pour le faire terre. Son visage était rempli d’une haine telle qu’elle en était terrifiante. Il respira bruyamment pour se calmer puis ce dirigea de nouveau vers Alicia.
Il y eu un fondu au noir et la vidéo repris dans une maison.
« Papa, tu pourrais arrêter de filmer un jour ? -Non, j’aime bien ça et puis on aura des souvenir. -Je crois que Mycroft à raison, ce n’est pas le bon moment pour filmer. Repris une voix de femme. -C’est toujours le bon moment… »
On entendit des bruits de pas qui était suivit par un TAC, probablement des béquilles. La caméra filma Sherlock qui clopinait dans les escaliers.
« Tient, tu es levé ? S'étonna la mère avec douceur, comme si Sherlock était un jouet en porcelaine qui pouvait se casser à tout moment. Tu veux quelques choses à boire ? -Oui et non. »
Le père retourna dans le salon puis posa la caméra sur une table, permettant de voir l'ensemble du salon. Il quitta la pièce à grand pas tandis que Sherlock entrait. Peu de temps après Mycroft et sa mère apparurent. Ils s’assirent chacun sur un fauteuil, Sherlock c’étant allongé sur le canapé. Le père réapparu, il tenait dans les mains un jeu de Monopoly. Il le posa sur la table basse et dans un même mouvement toute la famille se rapprocha du jeu. Chaque personne dit en même temps :
« Chapeau. -Chaussure. -Voiture. -Dé à coudre. »
Ils étaient en train de distribuer les billets et de placer les pièces sur le jeu quand on sonna à la porte.
« J’y vais, dit Mycroft »
Il réapparut quelque instant plus tard avec le père d’Alicia à ces côtés.
« Bonjour Sherlock, dit monsieur Cartwrite avec beaucoup de calme. Est-ce que je pourrais te parler quelques minutes ? Il tenait dans les mains un petit carton, et il regarda le Monopoly. J’espère que je ne vous dérange pas. -Non, bien sûre que non. Répondit la mère en se levant. Asseyez-vous ici. -Merci, il s’assit en face de Sherlock et le dévisagea quelques secondes. Je vais partir à l’étranger pour essayer de passer le cap et j’ai commencé à vider la chambre d’Alicia. J’ai trouvé quelques affaires qu’elle aurait aimé que tu gardes. Il tendit le petit carton à Sherlock. Tu sais pourquoi Alicia t’a demandé de te garer là ? -Non. -Les policiers ne t’on rien dit ! S’étonna monsieur Cartwrite. -Non, pour eux Sherlock et coupable et sa leur donne un bon point pour étayer leur théorie. Expliqua Mycroft avec dégout. -Elle voulait t’emmener après la fête dans la cabane que tu lui avais construite. Elle voulait marquer le coup pour célébrer vos deux ans a sortir ensemble. La voix de monsieur Cartwrite fut remplie de chagrin. Elle avait préparé un repas froid et un gâteau. Elle m’avait tout raconter pour que je ne m’inquiète pas. Il s’effondra en larme. Je voulais aussi te donner ça. Conclut-il, quand il eut repris contenance. Il tendit un petit paquet à Sherlock, qui le prit. -C’est quoi ? -Alicia te l’a ache… te l’avais acheté pour l’occasion. »
Il y eu un silence pesant pendant que Sherlock ouvrait le paquet. Il en sortit une écharpe bleue.
« On l’avais choisi tous les deux, deux semaines avant la fête. -Elle est jolie, dit poliment Sherlock -Elle est de la même couleur que tes yeux, souligna sa mère. -Je voudrais également que tu me promettes quelques choses. Sherlock le regarda. Alicia m’a dit que tu voulais arrêter tes études après ton diplôme A. Et elle m’a aussi dit que tu avais accepté que vous les finissiez ensemble. Je sais qu’avec ce qui se passe en ce moment tu n’as pas trop la tête à ça, mais fait le. Promets-moi que tu continueras tes études. -Je promet, dit doucement Sherlock -Ce n’est pas à moi que tu promets, mais à Alicia. Souviens-toi bien de ça. »
Fondu au noir, fin de la vidéo. Personne n’osait bougeait, ni ce regardait. Les informations qu’ils venaient d’apprendre était horrible. La propre sœur de Sherlock avait commandité un meurtre, un viol et un tabassage juste parce que son frère sortait avec quelqu’un. Un peu avant la fin de la vidéo, Sherlock était partie s’enfermer dans sa chambre. Mycroft, était le seul à l'avoir remarqué mais il n'avais pas réagit. Maintenant que la vidéo était fini, il savait qu'il aller devoir jouer au grand-frère, même s'il ne savait pas trop comment faire. Il se me leva puis se dirigea vers la chambre de Sherlock. En entant il vit vit son frère assis par terre dans un coin. Il avait les bras autour des genoux et la tête dans les bras. En l'étudiant il comprit qu'il pleurait, ce qui n'était pas étonnant Sherlock avait toujours été l'enfant émotif de la famille. Bien qu'il ne l'avouerait jamais à voix haute, même sous la torture, entendre son frère pleurait lui faisait mal car d'un certains côté il savait qu'il était entrain d'échouait dans son rôle et il n'aimais pas échouer. Ne sachant pas trop quoi faire il resta debout au milieux de la pièce de longue seconde avant de prendre une décision logique. Quand Sherlock était triste maman lui faisait toujours un câlin pour qu'il aille mieux donc il devrait faire pareil. Il s'assit par terre à côté de lui avant de le prendre dans ces bras, en espérant qu'aucun des flics de Scotland Yard dans le salon n'entrerait pour voir la scène.
Dans le salon, il y eut du mouvement. Donovan, Lestrade et John avait remarqué l’absence des deux frères. Ils se dirigèrent vers la chambre de Sherlock. La porte était fermée, Lestrade l’entrouvrit. Il vit Sherlock entrain de pleurer dans les bras de son frère. Donovan et John assistèrent aussi à la scène. Sans faire de bruit il referma la porte et rejoignit les autres dans le salon. Personnes ne parlait et Donovan ne fit aucune remarque. Ils pensaient tous la même chose : comme est-ce qu’ils auraient réagi si la fille qu’ils appréciaient avait été assassiné par leur propre sœur ? Cinq minutes plus tard ils retournèrent vers la chambre de Sherlock, mais frappèrent à la porte avant de pénétrer dans la pièce. Sherlock et Mycroft était assis côte à côte. Et vu la tête de Sherlock, il était clair qu’il avait pleuré. John pensa que pendant toute ces années où il avait partagé la vie de Sherlock, il ne l’avait jamais vu pleurer. Sauf quand il fallait obtenir des informations auquel cas il simulait très bien les larmes. Cette fille avait dû vraiment compter pour lui. Plus qu’il ne l’admettrait jamais.
« On fait quoi maintenant ? demanda Lestrade en posant une fesse sur le bord du bureau. -J’ai une question peut-être plus importe, repris Donovan, comment Sherlock peut-il avoir oublié sa sœur, après tout ils vivaient sous le même toi. -Par ce qu’elle a été enfermée, expliqua Mycroft. -Que s’est-il passer, demanda Donovan. -Musgrave, poursuivit Mycroft le regard dans le vague. La demeure ancestrale où il y avait du miel pour le thé et ou Sherlock jouait parmi les drôles de stèles. -Drôle comment ? Demanda John -De fausses stèles, aux dates erronées. Une facétie architecturale qui fascinait Sherlock. -C’est la maison des derniers vidéos ? demanda Donovan -Oui. »
Il ferma les yeux et tut quelques instants.
« Enfoui profondément, sous le vieil hêtre. Viens… me secourir… -…Le vent d’est se lève… Poursuivit Sherlock. -Seize par six… -Et on descend -Ça te reviens ? Demanda Mycroft à son frère -Des bribes. »
Mycroft revit son frère quand il avait six ans, sortir de la maison en courant en criant : « Barberousse ». Chapeau de pirate sur la tête et sabre en bois à la main.
« Barberousse ? Eurus a déjà évoquer ce nom, c’est qui. Demanda Lestrade -C’était mon chien, répondit Sherlock -Eurus l’a enfermé, là où personne ne pouvait le trouver. Elle à refuser de dire où il était. Elle répétait juste cette chanson. Son petit… rituel. Expliqua Mycroft. On l’a suppliée de nous dire où il était. Mais elle répondait… La chanson et la solution…Cependant la chanson n’avait ni queue ni tête. -Et qu’est-il arrivé à Barberousse ? Demanda précipitamment Sherlock. -On ne l’a jamais retrouvé. Mais elle s’est mise à l’appelle, Barberousse le noyer, alors on a fait des déductions. Il regarda les autres en face de lui. Sherlock a été traumatisé par cette disparition. C’était naturel, au départ c’était un enfant sensible. Plus qu’Eurus ou moi. Après ça il n’a plus été le même, il à changer. Et puis il n’en a plus jamais reparlé. Avec le temps il a semblé oublier qu’Eurus avait existé. -On n’interne pas quelqu’un par ce qu’un chien manque à l’appelle. Releva John surpris. -Elle à gagner Sherlock, repris Mycroft en ignorant la remarque de John. -Je comprend pas, dit Sherlock en articulant chaque mot -Je ne comprends pas, corrigea Mycroft en levant les yeux au ciels. Arrête de manger tes négations. Il se tût pendant quelques secondes. On va devoir y retourner. -Y retourner ? Où ? demanda Sherlock avide de comprendre. -A Musgrave, c’est là qu’elle veut qu’on aille depuis le début. Elle veut nous ramener au point d’origine, là où tout a commencé. »
Un silence pesant s’installa dans la pièce. Il fut interrompu par la sonnerie du téléphone portable de Lestrade. Il répondit en se mettant à faire les cent pas dans la chambre :
« Oui, Lestrade. -… -Où ça ? Dit-il en soupirant -… -Très bien on arrive »
Il raccrocha puis se retourna vers le groupe.
« On a retrouvé un corps, dans un ancien complexe immobilier. Il serait lié à notre affaire. -On vient, dit Sherlock en se levant. -Je m’en doutait. Répliqua Lestrade de manière sarcastique. »
Ils quittèrent précipitamment Baker Street et montèrent dans la voiture de Lestrade. Ils étaient presque arrivés sur la scène du crime, quand Mycroft, coincé entre John et Sherlock, demanda :
« Le complexe immobilier serait pas au 225 Brake Lane. -Oui, c’est là qu’on va. Ça à une signification quel qu’on que pour vous ? -Oui, c’est là où on a habité après l’incendie. -L’incendie ? Répéta Donovan surprise -Après la disparition du chien, nos parents ont commencé à se disputer à propos d’Eurus. Ils ne savaient pas comment réagirent face à son changement de comportement. -Comment ça son changement de comportement ? demanda Sherlock -Elle était très proche de toi. Vous aviez les mêmes centres d’intérêt, presque le même âge et vos anniversaires tombait à la même date. Ce qui faisait que vous étiez très complice. Mais après l’incident elle à commençait à faire de dessins inquiétant … »
Le regard de Mycroft se perdit par la fenêtre. Il se revit dans l’ancienne demeure familiale. Ils étaient dans le salon et sa sœur dessiner, en tailleurs, à même le sol. Il jeta un regard sur ce qu’elle dessinait lui permettant de réaliser qu'il s'agissait de plusieurs dessins de leur famille. A chaque foi Sherlock en était exclu, raturé ou tué. Celui qu’elle dessinait représentait une pierre tombale avec écrit : « R.I.P Sherlock ». Juste en dessous il aperçut le dessin d’un cercueil avec Sherlock les yeux en croix. Sa sœur leva la tête puis le regarda. Son regard était froid sans expression :
« Tu as besoin de quelques choses Mycroft ? -Pourquoi tu dessines Sherlock comme ça ? -Mêle toi de tes affaires. »
Elle rassembla tous ces dessins puis disparut à l’étage. Mycroft suivit sa sœur du regard avant de tendre l’oreille pour écouter ses parents. Ils se disputaient dans la cuisine :
« Elle sait où il est, disait son père -On n’arrive pas à le lui faire dire. On n’arrive à rien avec elle »
Mycroft reporta son regard sur Lestrade qui le regardait, arrêté à cause d’un embouteillage :
« Quelques heures plus tard un feu partait de sa chambre et ravageait la moitié de la maison. Conclut Mycroft. Après ça notre sœur a été enfermé. -Où ? demanda précipitamment Sherlock -Dans un endroit approprié, du moins le pensait-on. Pas suffisamment néanmoins. Elle y est morte -Comment ? demanda John -Elle a allumé un autre incendie et n’y a pas survécu. -Tu mens ! S'exclama Sherlock. -Oui, mais c’était un acte de bonté. La version donnée à nos parents pour les épargner et justifier l’absence de corps. -Et stopper leur ingérence. -Aussi évidement, approuva Mycroft avec un petit sourire en coin -Ça n’explique toujours pas le lien avec l’appartement. Dit John en prenant quelques notes dans un calepin -Après l’incendie papa à demander une mission longue durée à l’étranger. A notre retour on est resté quelques jours chez nos grands-parents avant de déménager dans cet appartement, le temps de trouver mieux. -Vous y êtes resté combien de temps ? -6 mois -C’est plutôt court, remarqua Donovan -Il n’y avait que deux chambres, une pour nos parents et une pour nous. La promiscuité faisait qu’on se disputait souvent, nos parents ont fini par être lassé et on a de nouveau déménager. -Où était Eurus à ce moment-là ? -Toujours à l’hôpital psychiatrique. »
La voiture redémarra avant d'être de nouveau arrêter, cette foi par un feu rouge.
« Deux ans après son internement et 6 mois avant qu’elle déménage, il avait insisté sur ce mot, Sherlock est partie voyage scolaire. Mes parents m’ont proposé de les accompagner pour aller la voir, j’ai accepté. »
Son regard se perdit dans le vague. Il se revit dans la voiture avec ces parents. Personne ne parlait, mais il sentait que sa mère était tendue. En regardant par la fenêtre il vit un grand bâtiment blanc austère au loin.
« On est arrivé papa ? -Oui, c’est là »
La voiture garée, le petit groupe prit la direction de l’accueil :
« Bonjour, nous venons voir Eurus Holmes. -Un instant s’il vous plait, répondit la secrétaire en leur indiquant de la main une rangé de chaise aligné le long du mur. »
Ils s’assirent et attendirent une dizaine de minute avant qu’un médecin apparaisse :
« Monsieur Holmes, il lui serra la main. Madame Holmes, il lui sera aussi la main. Bonjour jeune homme. -C’est Mycroft, le grand frère d’Eurus. Expliqua la mère avec un petit sourire. -Enchanté. -Bonjour monsieur. -Tu voudrais aller voir ta sœur pendant que je parle avec tes parents ? »
Il hocha la tête pour dire oui. Le médecin héla une infirmière qui passait dans le couloir :
« Suzanne, vous pourriez escorter ce jeune homme jusqu’à Eurus Holmes. -Bien sur docteur, se tournant vers lui. On y va »
Il s’éloigna de ses parents puis entra dans une vaste pièce avec de large fenêtre grillagé. Il y avait des tables disséminé ainsi que d’autre patient qui jouait à des jeux ou qui dessinait. Il balaya la pièce du regard et vit sa sœur sous une des fenêtres, seul à une table.
Cissy Moderatrice générale
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 25 Déc 2022 - 19:35
Il vaudrait parfois mieux être enfant unique non?
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Ven 13 Jan 2023 - 15:55
Bonsoir (oups bonjour) désolé pour l'attente dans la suite mais je vous avezoublié . Allez, trêve de bla bla et place à la suite.
L’infirmière lui fit un sourire avant de repartir. Il avançât lentement vers la table et vit que sa sœur lisait un livre.
« Salut Mycroft -Salut Eurus. Tu lis quoi ? -Rien de bien intéressant, répondit-elle en le claquant violement. Ils sont où ? -Ils parlent avec le médecin. -Tu as peur ? -Non, pourquoi je devrais ? -Vous étiez où ? -En Chine -Et maintenant ? -225 Brake Lane. On a une seule chambre pour nous deux -Pourquoi mon cher frère n’est pas venu ? -Il est en voyage scolaire. Ils se dévisagèrent pendant quelques secondes. Il a réécrit ses souvenir. Finit-il par dire en regardant par la fenêtre, ne pouvant plus supporter son regard froid et sans âmes. -Ah, dit-elle sans exprimer aucune surprise. -Tu peux me le dire maintenant -Te dire quoi ? -Ou est son corps. -Mais voyons Mycroft, la chanson et la solution. Chuchotta-t-elle avant de chanter : Je suis perdu, oh qui me retrouvera ? Au fond, sous le vieux hêtre. Secours-moi maintenant que les vents d'est soufflent. Seize fois six, frérot, et comptons à rebours ! N'aie pas peur de marcher à l'ombre Sauves-en un, sauves-les tous, viens essayer ! Suis-moi - cinq fois sept La vie est plus proche du ciel Regarde en bas, avec un regard sombre, venant d'en haut Je suis perdu sans ton amour. Sauve la pitié pour les étrangers, montre à l'amour la porte. Mon âme cherche l'ombre de la floraison de ma fleur A l'intérieur, frérot - Que la Mort fasse une chambre. Avant qu'il ne parte - juste derrière ma colline. Qui le trouvera maintenant ? Personne ne le trouvera. Je lui apporterai le malheur, moi qui suis reine. Perdue à jamais, neuf fois dix-neuf. »
Mycroft sentit une légère pression sur son bras et il revint au moment présent. Ils étaient arrivés devant une barre d’immeuble délabrée.
« Tu ne trouves pas que quelques choses cloche ? Demanda Sherlock à son frère une fois ce dernier sorti de la voiture -Oui, tu as raison. »
Il se lancèrent un regard entendu tout en prenant la suite de Lestrade qui avançait d’un pas décidé vers la scène de crime. Au quatrième étage ils virent un policier en uniforme devant un appartement.
« Bonjour inspecteur, le médecin légiste est en route. Il a été retenu par les embouteillages. -Très bien, ou est le corps ? -Dans la chambre au fond du couloir. »
Ils pénétrèrent dans l’appartement Donovan en tête. Elle avançait rapidement quand ils entendirent un clic. Le groupe eut juste le temps de se jeter un regard avant qu'un gaz n'emplisse la pièce. Ensuite ce fut le trou noir.
Sherlock fut le premier à reprendre conscience. Il était assis sur une chaise qui était installé autour d’une table dans une petite pièce. A sa droite il y avait Mycroft, en face de lui Lestrade et en face de Mycroft Donovan. Ils étaient toujours inconscient donc il regarda plus en détail la pièce. Sur les murs il y avait des photos de Mycroft et lui enfant prise à côté d'un lac ou d'un ruisseau. Il remarqua ensuite un ordinateur portable qui était installé à sa gauche, en bout de table. Il était encore groggy, mais il tenta de se leva sans succès. En regardant son la table il constata que ces chevilles était enchainé au pied de la chaise. Il secoua la tête pour essayer d'enlever les dernière brume de la drogue puis essaya de faire bouger la chaise en se renversant violement contre le dossier. Qui que soit la personne qui les avaient ici elle avait bien fait son travail : il ne pourrait se libérer que quand il ou elle le déciderait. Même s'il penchait pour un Elle, car il y avait de forte chance que se soit Eurus derrière tout sa, il ne voulait pas enlever la possibilité qu'il y ait un complice. Il prit alors conscience qu'une personne manquait autour de la table. Qu'avait-elle fait de John ?
Sherlock ne pouvait rien faire de plus en attendant que les autres reprennent conscience. Ce qu'il firent quelques instant plus tard. Quand tout le monde fut alerte, l'ordinateur s'alluma montrant le visage d'Eurus en gros plan.
« Tout le monde est réveillé, très bien. Annonça-t-elle d'une voix dénué d'émotion. On va enfin pouvoir jouer un peu. -Où es John ? demanda Sherlock. -Tout vient à point à qui sait attendre. Qui disait ça déjà ? Elle avait tourné la tête sur le côté pour réfléchir. Papi ou papa ? -Où es John ? répéta Sherlock -Ce n'est pas le moment. Susurra-t-elle. »
L’écran s’éteignit puis une voie de petite fille terroriser ce fit entendre dans des hauts-parleur :
« Allo ? Y’a quelqu’un. Aidez-moi l’avion va s’écraser. -A quoi ça rime ? Demanda Mycroft agacé. -Ferme-la, très chère. Répliqua Sherlock à voix basse. -Y’a quelqu’un ? -C’est un jeu ? Demanda Donovan -Taisez-vous. Insista Sherlock -Aidez-moi ! Répéta la petite fille -Bonjour, dit Sherlock avec une douceur qu'il ne lui connaissait pas, essaie de rester calme. Dis-moi ton nom. -Je le dis pas aux inconnus -Bien sûr, c’est très bien. Je vais te dire le mien. Je m’appelle… »
Sherlock ne finit pas sa phrase des grésillement c’étant fait entendre. Eurus réapparut sur l’ordinateur.
« Pas de sa Sherlock. Dit-elle. Elle n’a pas besoin de savoir. »
Eurus disparut aussi tôt remplacé par la voix de la petite fille :
« Vous êtes toujours là ? -Oui ? On est là. Tu nous entends ? -Oui -Tout va s’arranger. Dis-moi seulement ou tu es ? Devant le silence, de l'enfant il changea de stratégie. Dehors il fait jour ou nuit ? -Nuit -Ça limite à la moitié du globe, ironisa Mycroft -Quel type d’avion ? Continua Sherlock en foudroyant son frère du regard. -Je ne sais pas. -Gros ou petit, demanda Lestrade. -Gros. -Il y a du monde à bord ? continua Donovan. -Plein, mais j’arrive pas à les réveiller. -D’où as-tu décollé ? Demanda Sherlock dans l'espoir de réduire la zone de recherche. -Le pilote dort aussi. -Je comprend, mais d’où viens-tu ? -De chez ma mamie. -Ou vas-tu ? -A la maison. -Non, l’aéroport… »
De nouveau des grésillements puis Eurus apparut :
« Je crois que ça suffit maintenant, laissons un petit moment à John pour qu’il s’exprime. »
Eurus fut remplacer par la voix de John :
« Sherlock ? Où es tu ? -Je suis dans une autre pièce. Tu vas bien John ? -Oui. Les autres sont avec toi ? -Oui. Dis m’en plus sur l’endroit où tu es. -Les murs sont rugueux. En roche. -Le sol ? -En pierre, mais il y a 60 cm d’eau. Après quelques secondes, il ajouta. Je suis enchaîné. -Tu penses qu’il s’agit d’un puit ? demanda Sherlock. -Oui, répondit John en levant la tête vers le ciel très haut au-dessus de lui. »
Au même instant le centre de la table s’ouvrit. Un bol sur lequel était écrit Barberousse apparut. Il y eut un long silence alors que le groupe dévisager l’objet. Le message était clair, l’endroit où se trouvait John avait servit de tombe au chien de Sherlock.
« Eurus ne fait pas ça. Dit Mycroft avec calme en détournant son regard de la gamelle. »
La voix de la petite fille emplis de nouveau la pièce.
« Qui est Eurus ? -Personne, ce n’est personne. Répondit Sherlock en reprenant en main la conversation. -Vous étiez parti. Vous deviez m’aider. Gémit l’enfant. -Je sais, excuse-moi. Soupira Sherlock en essayant tant bien que mal de rester calme. Tu vas te rendre à l’avant de l’avion. »
N'entend plus aucun son au téléphones depuis une longue seconde Sherlock, repris la parole :
« Tu y es ? -Oui. Mais j’arrive pas à réveiller le pilote. -Tant pis, que vois-tu ? -Un fleuve. Après une seconde d’hésitation, elle ajouta. Une grande roue. -D’accord, on va devoir piloter cet avion ensemble. Rien que toi et moi. -Vraiment ? -Oui, c’est facile on doit juste entrer en contact avec des gens au sol. Annonça Sherlock avec un joie contenue dans la voix. Tu vois une sorte de radio ? -Non. -Ce n’est pas grave. Sherlock paraissait un peu désemparer par la situation. Cherche encore on a le temps. »
La petite fille poussa un grand cri.
« Que ce passe-t-il ? -L’avion tremble. -Simple turbulence, ne t’inquiète pas. -J’ai mal aux oreilles. »
Un regard d’effrois s’imprima sur le visage de Donovan et Lestrade. Il venait de comprendre que l’avion aller s’écraser et qu’il ne pouvait rien faire pour l’empêcher.
« Le fleuve à l’air de se rapprocher ? demanda timidement Lestrade. -Un peu. »
La voix de l’enfant disparut en même temps que le chaine qui entravait Sherlock s’ouvrait. Il se leva puis attrapa la seule source de lumière de la pièce : une lanterne. Il se mit alors longer les murs. La voix de John se fit de nouveau entendre :
« Sherlock, dit moi que tu sais où se trouve se puit ? »
Sherlock ne répondit pas à John, il regardait une des photos sur le mur. Il marmonna :
« Pourquoi ce courant d’air ? -De quel courant d’air tu parles ? Intervient John complétement perdu. -Laisse tombé John, Sherlock est sur autre choses pour le moment. Expliqua Lestrade en suivant le détective du regard. -Mais… »
Le regard de Sherlock se posa vers le bas du mur.
« Les murs ne se contractent pas. Marmonna-t-il coupant la parole à John, avant de lever les yeux. Pas les vrais murs. »
Sherlock poussa la cloison en face de lui, elle s’effondra en même temps que les quatre autres. Devant eux se dresser une grande bâtisse laissée à l’abandon. La lune étant à moitié caché il ne pure voire beaucoup plus de détaille.
« On est où ? demanda Lestrade. -On est chez nous, répondit Sherlock. -Musgrave, compléta Mycroft. »
L’écran de l’ordinateur se ralluma.
« Que le jeu commence ! S’exclama Eurus avec entousiasme. »
Sherlock se retourna, il voulait essayer de liber les 3 autres.
« Sherlock, ne fait pas sa ou je tus John et fait exploser l’avion. L’interrompit sa sœur, l’air menaçante. -C’est bon, dit Lestrade, on t’attend ici. »
En hochant la tête, Sherlock constata qu’il y avait une oreillette dans la gamelle du chien. Il l'a mit dans son oreille avant de marcher à grandes enjamber vers la maison en criant :
« Parle-moi de l’avion. -Attends, nous n’avons pas encore commencer à jouer. Répliqua sa sœur d’une voix amusée. -Passe-moi la fillette et je jouerais avec toi Eurus. -D’abord trouve barbe rousse. »
Dans la petite pièce le groupe regardait l’écran d’ordinateur, il était scindé en deux. Du côté gauche on voyait un hall d’entrée avec un grand escalier et une télévision. De l’autre un drap blanc poser sur un mur en pierre. Depuis des haut parleurs il entendant la conversation entre Sherlock et sa sœur.
Sherlock pénétra dans la maison d’un pas assuré. A sa gauche, posé sur un meuble, il y avait un écran de télévisons qui s’alluma. Il put alors voir le visage de sa sœur en gros plan. Il se mit face à se dernier pour lui parler.
Cissy Moderatrice générale
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 15 Jan 2023 - 21:41
Quand est-ce qu'on l'abat Eurus?
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Sam 21 Jan 2023 - 19:01
Bonne lecture !
« J’ouvre l’eau. Dit-elle sans préambule. Tu ne veux pas que j’en noie un autre de tes toutous ? Elle souri avant d’ajouter. Enfin Sherlock Holmes, il est temps pour toi de résoudre le rituel de Musgrave. Ta toute première enquête et le problème final. Bye Bye. »
Elle se mit ensuite à chanter :
« Je suis perdu, oh qui me retrouvera ? Au fond, sous le vieux hêtre. Secours-moi maintenant que les vents d'est soufflent. Seize fois six, frérot, et comptons à rebours ! N'aie pas peur de marcher à l'ombre Sauves-en un, sauves-les tous, viens essayer ! Suis-moi - cinq fois sept La vie est plus proche du ciel Regardes-en bas, avec un regard sombre, venant d'en haut Je suis perdu sans ton amour. Sauve la pitié pour les étrangers, montre à l'amour la porte. Mon âme cherche l'ombre de la floraison de ma fleur A l'intérieur, frérot - Que la Mort fasse une chambre. Avant qu'il ne parte - juste derrière ma colline. Qui le trouvera maintenant ? Personne ne le trouvera. Je lui apporterai le malheur, moi qui suis reine. Perdue à jamais, neuf fois dix-neuf. »
Au moment ou Eurus avait commencé à chanter un bruit d’eau c’était fait entendre dans la pièce à sa gauche. Il s’y dirigea avec un peut d’appréhension. Il vit alors un drap déployé sur le mur en face de lui. Sur ce dernier il vit l’image du puit au font duquel se trouvait John. Il pouvait voir que l’eau monté très rapidement.
« John tu m’entends ? John ? Cria-t-il à l’écran. -Aidez-moi, s’il vous plait ! La voix de la petite lui répondit. -Sherlock, dit John en simultanée, l’eau monte dans le puit. -Essaie de ne pas te noyer. Répondit-il de manière pragmatique. -Quoi !? Répondit John pas certains d’avoir bien entendu. -J’essaye de… Commençât Sherlock. Je suis en train de te trouver. Se rattrapa-t-il à la dernière seconde. -Dépêche-toi s’il te plait, je n’ai plus beaucoup de temps. -L’avion, il penche ! Cria la fillette »
Sur le drap on put voir John qui essayait d’escalader le mur en pierre pour faire gagner un peu de temps au détective. Il glissa et retomba au fond dans un grand plouf.
Sherlock retourna dans la première pièce puis ce mit fasse à la télévision :
« Eurus tu dit que la solution était dans la chanson. Je l’ai décortiquée sans rien trouvée. Expliqua-t-il, se rappelant de toute ces tentatives de l’époque. Il y avait un hêtre, j’ai creusé et creusé. Seize pieds par six, seize yards, seize mètre… et je n’ai rien trouvée. Personne. »
Eurus s’arrêta de chanter. On entendit la voix de John en même temps que celle de Mycroft
« Ne fait pas ça Eurus. Je t’en prie ne dit rien. -Sherlock, commençât John. -C’était une petite énigme vraiment maligne. Pas vraie ? Alors pourquoi ne l’as-tu pas résolue, Sherlock ? -Sherlock, répéta John, il faut que tu sache. -NON ! cria Mycroft. -Le contexte émotionnel. Et… le voici ! -Les os que j’ai trouvée… -Ce sont ceux d’un chien. C’est Barberousse ! S’exclama Sherlock d’une voix paniqué en changeant de pièce. -Mycroft t’a menti, nous a menti. -Eurus, arrête sa maintenant. Supplia Mycroft d’une voix qui ne lui ressemblait pas. -Il ne s’agit pas d’un chien, continua John. -Rappelle toi. A quoi papa était-il allergique ? Continua Eurus en s’amusant de la situation. Que ne t’a-t-il jamais accordé malgré tes supplications ? N’obtenant pas de réponse, elle ajouta. Il ne t’a jamais laissé avoir de chien. »
Sur l’écran apparut un lac. Il y avait 4 enfants parmi eux deux avaient l’air d’avoir le même âge. Un des deux avaient les cheveux bouclés noire et l’autre raide et roux. Sherlock avait une épée de pirate en bois à la main et un tricorne sur la tête. En face de lui l’autre enfant avait un bandeau de pirate sur l’œil et une épée de pirate à la main. On entendit la voix d’Eurus en arrière-plan :
« Ta drôle de petite mémoire Sherlock. Tu étais bouleversé alors tu t’es raconté une meilleure histoire. »
Le premier garçon cria :
« Allez Barberousse à l’abordage ! -Je te suis Barbe Jaune »
« Mais nous n’avons jamais eu de chien. Conclut Eurus d’une voix froide. »
La vidéo disparut remplacer par John qui tenait dans les mains un petit crâne humain.
Sherlock avait le regard dans le vide. Il dit dans un souffle :
« Victor. -Ça te reviens, dit Eurus satisfaite -Victor Trevor, on jouait au pirate. Expliqua Sherlock bouleversé. J’étais barbe-jaune et lui barbe rousse. Des larmes coulaient sur ces joues. -Vous étiez inséparables. Mais je voulais jouer aussi. Ajouta-t-elle en colère. »
De nouveau John disparut remplacer par ce qui semblait être la suite de la vidéo.
Une petite fille, avec un avion en plastique bleu et jaune à la main, ce mit devant le garçon qui se faisait appeler Barbe-jaune. Elle dit :
« Joue avec moi Sherlock. Joue avec moi. »
Le garçon l’ignora pour continuer de courir derrière l’autre garçon en rigolant.
La vidéo s’estompa. Sherlock pleurait alors qu’il disait d’une voix étrange :
« Oh mon dieu, qu’a tu fais »
Pour toute réponse, Eurus se mit à chanter :
« Je suis perdu, oh qui me retrouvera ? Au fond, sous le vieux hêtre. Secours-moi maintenant que les vents d'est soufflent. Seize fois six, frérot, et comptons à rebours ! »
De nouveau John fut remplacé par une vidéo. On y voyait un groupe de trois enfants attablés : Sherlock était en face d’Eurus. Cette dernière était à gauche de Mycroft. Sherlock avait sur la tête son chapeau de pirate. Avec sa fourchette il mélanger ses pâtes sans les manger. Il leva la tête vers sa sœur. Ces yeux était perdu triste, il avait l’air déboussolé.
Eurus paraissait aux anges. Elle mangeait avec appétit en chantant sa chanson :
« N'aie pas peur de marcher à l'ombre Sauves-en un, sauves-les tous, viens essayer ! Suis-moi - cinq fois sept La vie est plus proche du ciel Regardes-en bas, avec un regard sombre, venant d'en haut »
Soudainement Sherlock se leva puis se mit à courir en dehors de la maison en criant :
« Barberousse ! »
On entendit la mère criait à son tour :
« Sherlock revient, tu vas te perdre. -Je vais le chercher, décida le caméraman »
Il sortit de la maison et suivit son fils. Il montât un petit escalier sous une arche puis pénétra dans un champ de blé. Devant lui Sherlock courrait tout en criant : « BARBEROUSSE ! » Son père le suivait à bonne distance. A un moment Sherlock arriva au niveau d’un pont en boit il s’appuya sur la rambarde avant de crier de plus belle. Puis il reprit sa course. Alors qu’il courrait il se prit les pieds dans une racine et s’étala de tout son long.
Son père arriva à son niveau. Il prit son fils dans ces bras. Ce dernier se mit à pleurer en criant :
« POURQUOI ELLE A FAIT ÇA ! Il taper des poings sur le torse de son père. Je veux que Viktor revienne. JE VEUX QU’IL REVIENNE -Sherlock, je ne peux rien faire. On à chercher, la police à chercher… -SI TU PEUX FAIRE QUELQUES CHOSES ! Il criait, taper, pleurer -Sherlock, calme-toi. -JE VEUX QU’IL REVIENNE ! »
Le père ne répondit rien, mais il serrait son fils le plus fort possible. Progressivement Sherlock arrêta de taper et finit par s’endormir dans ses bras. Une ou deux minutes plus tard le père se releva doucement sans le lâcher. Il le porta jusqu’à la maison en contournant la cuisine. Il se rendit dans la chambre de son fils. Après l’avoir allongé sur le lit, il lui enleva son chapeau et ces bottes. Il lui mit à coter pinpin puis le recouvrit avec une couverture. Il quitta le plus silencieusement possible la pièce. Alors qu’il venait de fermer la porte il vit un dessin coller dessus. Il représentait un bateau pirate avec deux moussaillons à son bord. L’un avait des cheveux rouges l’autre des cheveux bouclés noire. Il était écrit dans une écriture enfantine : Barberousse et Barbe-jaune. Le père le décolla puis descendit vers le salon. Il attrapa une pile d’album photo avant d’aller s’assoir sur un fauteuil. Il se mit à les feuilleter en retirant des photos de temps en temps.
« Tu fais quoi ? Demanda la mère de famille en entrant dans le salon. -Je ne l’avais jamais vu comme ça. Expliqua le père, il s’arrêta avant d’ajouter. Eurus a détruit son frère. »
A peine avait-il dit ces mots qu’il s’effondra en larme. Sa femme, surprise, s’approcha rapidement pour le prendre dans ces bras.
« Je ne comprends pas, explique-toi ? -Je ne pourrais pas t’expliquer. Il tendit le caméscope. La scène a été filmé, tu vas devoir la regarder par toi-même »
La vidéo s’estompa et on vit Sherlock le regard dans le vide, des larmes coulant le long de ces joues. Eurus parla avec une voie amusée :
« De l’eau profonde, Sherlock. Toute ta vie. Dans tous tes rêves. Des eaux profondes. -Tu l’a tué, dit Sherlock avec une modifier par le chagrin. Tu as tué mon meilleur ami. -Je n’ai jamais eu de meilleur ami. »
Il y eu un silence pesant avant qu’Eurus ne disent :
« Avant qu’il arrive on jouer tous les deux. Mais quand il est arrivé j’ai te perdu. Je n’avais plus personne. Eurus se tût quelques secondes. Personne. »
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Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 29 Jan 2023 - 19:38
Psychopathe, sociopathe : comment les parents Holmes n'ont-ils pas éloigné leur fille très vite pour la sauvegarde de leurs deux autres enfants et des amis de ceux-ci? Quand on n'a aucune notion de la morale la plus élémentaire, quel recours?
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Mar 14 Fév 2023 - 23:24
Bonsoir, bonne lecture !
En entendant ce mot Sherlock revisualisa un instant les drôle de stèle du jardin. Plus précisément du nom graver sur l'une d'entre- elle: Nemo Holmes. En latin Nemo veut dire « personne ».
Avec une voix déterminer Sherlock annonça :
« Okay, on va jouer. »
Il attrapa la lampe, essuya d’un revers de mains ces larmes puis courut hors de la maison vers les stèles. En arrivant devant la voix de la petite fille se fit de nouveau entendre. Tout en lui parlant il les regarda une à une pour lire les inscriptions :
« Vous êtes toujours là ? -Aide moi à résoudre une énigme. -Mais l’avion ? -L’énigme sauvera l’avion. Répondit Sherlock d’une voix calme étant de nouveaux dans son élément. »
Alors qu’il approchait de la dernière stèle il marmonna :
« Les dates erronées, elle s’en est servi comme clé de chiffrement pour crée un message codé dans la chanson. -Est-ce vraiment pertinent ? S'écria John qui n’allait pas tarder à boire la tasse. -Oui. Je suis à toi dans une minute. Répondit-il de cette voix qui disait silence je travail. »
Sherlock posa la lanterne puis ferma les yeux. Il se mit à visualiser les années et les âges sur les stèles à la suite les unes des autres : 1238 1428 8 16 2021 1234 567 1918 20 27 36. Il se remémorât la chanson et remarqua qu’elle comportait des paragraphes pouvant aller jusqu’à 36 mots. Il découpa donc les date précédemment stocker pour qu’elle forme des combinaisons de 1 ou 2 chiffres : 1 2 3 8 14 28 8 16 20 21 1 2 3 4 5 6 7 19 18 20 27 36
La voix de la petite fille se fit entendre de nouveau :
« Les lumières se rapproche. -Attend. »
Fermant de nouveau son esprit il se reconcentra sur les chiffres avant d’annoncer à voix haute :
« On va numéroter chaque mot puis sélectionner ceux qui correspondent aux nombre inscrit sur les stèles. »
Il visualisa l’ensemble des paroles qu’il regroupa sous la forme de 4 paragraphes. Il numérota chaque mot de chaque paragraphe de 1 à 36. Toujours dans sa tête il supprima les mots qui ne correspondait pas aux numéros des stèles et obtient le texte suivant qu’il dit à voix haute :
« Je suis perdu Au secours frérot Sauve-moi la vie Je suis perdue sans ton amour Sauve mon âme Cherche ma chambre »
Quand il comprit enfin ou voulait en venir Eurus il attrapa de nouveau la lanterne puis piqua un nouveau sprint vers la maison. Au même moment la voix de la fillette se fit entendre :
« On s’écraser. Je vais mourir ! »
En arrivant dans le hall, il commençât à gravir les marches quatre à quatre tout en disant :
« Dis-moi ton vrai nom ! -Je le dis pas aux inconnus. »
Il arriva dans un couloir qu'il remonta rapidement avant de s'arrêter devant une porte. Il entra dans l'ancienne d'Eurus, ou elle avait déclencher l'incendie :
« Mais je ne suis pas un inconnu. Je suis ton frère. »
Elle était là assise à même le sol sur un drap sale. Ces yeux étaient fermé et elle avait remonté ces genoux contre sa poitrine une main contre chacun d'entre eux.
« Je suis là, Eurus. Dit-il calmement en posant la lanterne. »
Sa sœur ne réagit pas à son arrivé, comme si elle n'était pas mentalement dans la pièce. Il savait, d'une manière ou d'une autre, qu'il ne devait pas la brusquer pour sauver John alors il resta debout en face d'elle, attendant une réaction de sa part.
« Joues avec moi, Sherlock. Dit-elle finalement en gardant les yeux fermé. On joue au jeu. -Au jeu, oui. Je comprends, maintenant. Il fit quelques pas pour se rapprocher. La chanson n’indiquait pas un lieu... -Je suis dans l’avion. L'interrompit-elle. Je vais m’écraser. Et tu vas me sauver. -Tu es brillantes. Répondit-il en s'accroupissant doucement. Ton esprit a créé la métaphore parfaite. Tu es au-dessus de nous, seule, mais tu ne sais pas comment te poser. Il s'assit en tailleur. Je ne suis qu’un idiot, mais je suis au sol. Je peux te ramener à la maison. Il posa doucement sa main sur celle d'Eurus. -Non, trop tard. Elle sursauta à son contact mais n'ouvrit pas les yeux. -Non, il n’est pas trop tard. -Chaque fois que je ferme les yeux je suis dans l’avion. Je suis perdu dans le ciel et personne ne m’entend. -Ouvre les yeux, chuchota Sherlock. Je suis là. Elle ouvrit doucement les yeux. Tu n’es plus perdu. »
Sans ajouter un mot il prit sa sœur dans les bras alors qu’elle pleurer. Après quelques instants de silence il dit :
« Tu as seulement fait fausse route la dernière foi. Cette fois, ne te trompe pas. Dis-moi comment sauver mon ami. Eurus aide-moi à sauver John Watson. -Il est à 1 km après le pont en bois, chuchota-t-elle. »
Sherlock en resta figer de stupéfaction. Ils auraient pu sauver Victor, il y était presque.
Après qu’il eut lâcher Eurus il appuya sur le bouton d’une télécommande et Lestrade, Donovan et Mycroft purent quitter leur chaise. Lestrade en profita pour appeler du renfort ainsi qu’une équipe de sauveteur pour John. Le puit était à la limite de la propriété des Holmes. Et si on ne savait pas qu’il était là il n’y avait aucune chance de le trouver.
John sortie du puit puis on envoya quelqu’un récupérer la dépouille de Viktor.
Le lendemain de cette journée éprouvante Sherlock accompagna Lestrade au domicile de la famille Trevor. Les parents avaient divorcé un an après la disparition de leur fils et seul sa mère était encore en vie.
Sherlock était devant la porte, Lestrade et Donovan derrière lui. Il mit quelques minutes avant d’arriver à presser la sonnette. Quelques secondes après une femme de l’âge de sa mère apparu dans l’encadrement de la porte. Elle était rousse et avait les mêmes yeux que son fils.
« Oui ? -Bonjour, madame Trevor ? Demanda Sherlock d’une voix timide, peut habituelle pour les policiers de Scotland Yard. -C’est le nom de mon ancien mari. Je m’appelle Morgane maintenant. Elle dévisagea Sherlock pendant quelques secondes avant d’ajouter. Je vous connais n’est-ce pas ? -Chérie qui est à la porte ? demanda une voix d’homme en arrière-plan -Je m’appelle Sherlock Holmes. »
La femme se figea en entendant ce nom. Elle dévisagea longuement Sherlock tandis que des larmes coulaient le long de ces joues.
« Entrez, entrez. Dit-elle après quelques secondes de silence »
Elle les conduisit dans un salon ou un homme était assis entrain de regarder la télévision. Il coupa le son puis lança un regard interrogateur à sa femme.
« C’est le meilleur ami de Viktor, mon premier fils. Et… -Je suis l’inspecteur Lestrade de Scotland Yard et cette personne c’est ma collègue. -Enchanté, dit l’homme en se levant pour serrer la main des nouveaux arrivant. -Asseyez-vous, les invita la mère de Trevor en leur montrant des fauteuils. »
Quand ils furent installés elle dévisagea Sherlock un moment avant de dire :
« Tu deviens quoi ? -Je suis détective consultant. »
Elle hocha la tête pour approuver, puis comme si elle devait se justifier elle dit :
« Tu sais, je t’ai appelé tous les ans pour ton anniversaire. Mais ta mère à refuser te passer le téléphone. -Vous savez j’avais presque oublié Viktor. Avoua Sherlock penaud. »
Voyant le regard interrogateur il se justifia.
« Pour être plus précis je l’avais transformé en chien. »
Après un silence pensant de quelques secondes il ajouta, en regardant ces chaussure, la même expression qu'un enfant prit la main dans le peau de confiture.
« Désolé.
-Je ne t’en veux pas, tu étais jeune et c’était la solution que tu avais trouvée pour te protéger. -Désolé de vous interrompre mais pourquoi vous êtes là jeune homme, escorté par deux agents de Scotland Yard. -On à retrouver le corps de Viktor, hier. Annonça Lestrade devant le manque de réaction de Sherlock. -Comment… commençât la mère. -Le samedi 17 juillet 1987, nous étions tous les 4 quatre au lac. Expliqua Sherlock d’une traite. Avec Viktor on jouait au pirate et j’ai refusé qu’Eurus joue avec nous. Sa l’a rendu folle de jalousie alors elle a décidé de se débarrasser de Viktor. Elle a trouvé une raison pour l’attirer dans les bois loin de notre groupe. Elle avait découvert quelques semaines auparavant un puit à la limite de la propriété. Elle a poussé Viktor dedans avant de partir. Personnes ne connaissait ce puit et comme je n’ai pas résoudre son énigme. Sa voix devint un murmure. Il s’est noyé. »
La réaction de la mère de Viktor fut surprenante. Elle se leva pour prendre Sherlock dans les bras.
« Merci, merci de l’avoir retrouver »
Elle finit par aller se rassoir dans le canapé. Lestrade prit la parole :
« Voici le formulaire pour aller récupérer sa dépouille et pouvoir l’enterrer. »
La femme prit le papier sans un mot puis le lut avec attention. Après un long silence la porte d’entrée s’ouvrit et un garçon apparut dans la porte. Il avait des cheveux roux lui aussi. Quand il vit sa mère en larme il demanda :
« Sa va maman ? -Oui, ce sont de très bonne nouvelle. Tu sais je t’ai déjà parler de Viktor ? -Oui. -C’était lui son meilleur ami. »
Le jeune homme hocha de la tête en direction de Sherlock pour lui dire bonjour. Sherlock lui répondit de la même manière. Le garçon quitta la pièce.
« Attendez, je reviens. »
La femme s’éclipsa avant de revenir avec une enveloppe. Elle la tendit à Sherlock qui l’a pris :
« C’était son carton d’invitation pour son anniversaire. Il n’avait pas eu le temps de te l’a donnée et ta mère à refusée que je te le fasse parvenir. Je l’ai gardée toute ces années dans l’espoir de pouvoir te le donner un jour. »
Sherlock regarda l’enveloppe, elle était un peu jaunie mais on pouvait encore lire : Barbe-jaune. Il l’ouvrit avec précaution. Un personnage en plastique tomba dans la paume de sa main. Sherlock le regarda avec attention, c’était un pirate avec le menton peint en jaune. Il le regarda un instant en souriant. Le posant sur ces genoux il sortit une photo de deux enfants, déguiser en pirate, faisant une grimace. Derrière eux on pouvait voir des stèles. Autour des garçons des autocollants de pirates avait été collé. Il retourna la photo et lu le texte qui y était écrit : « Sherlock, je t’invite à venir à la montagne avec moi pour passer de super vacances et pour fête mon anniversaire. Barberousse » Sherlock remis la carte dans l’enveloppe ainsi que le jouet et la tendit à la mère de Viktor.
« Non, je te la laisse elle est pour toi. »
Sherlock ne répondit pas, mais souris.
Il se leva, Lestrade et Donovan l’imitèrent ainsi que leurs hôtes. Ils se saluèrent puis quittèrent la maison. Sherlock s’assit dans la voiture. Une émotion qu’il avait enfouis depuis très longtemps au plus profond de lui refis surface : la tristesse. Il se prit la tête dans les mains puis fondit en larme. Lestrade et Donovan se lancèrent un regard interrogateur, il ne savait pas quoi faire. Lestrade finit par taper maladroitement le dos de Sherlock, pour essayer de le réconforter. Donovan ne l’avouerait jamais, même sous la torture, mais elle c’était fait la promesse de ne plus jamais l’appeler « le tarer » et de remettre à leur place qui qu'on que le ferait. Quand Sherlock ce fut calmer Lestrade mit le contact avant de reprendre la direction de Londres. Aucun des deux ne fit allusion à ce qui venait de se passer.
Le lendemain Sherlock reçut la visite d’Anthéa qui l’escorta jusqu’au bureau de son frère. Quand il entra dans la pièce ces parents était là. Son père était assis à la gauche de Mycroft et sa mère debout à sa droite. Il s’adossa à la porte et attendit :
« Mycroft, vas-tu enfin nous dire pourquoi nous sommes ici ? demanda le père en regardant son fils cadet entrer dans la pièce. -Maman, papa, Eurus et vivante. Annonça Mycroft d’une voix neutre. -Vivante ? Durant toutes ces années ! S’exclama la mère choquée par l’information. Comment est-ce possible ? »
Le père quant à lui ne disait rien ayant la bouche grande ouverte sous l’effet de la surprise.
« Eh bien, Oncle Rudy avait commencé. J’ai juger préférable de continuer. -Je ne te demande pas comment tu as fait idiot. S’injuria la mère. Je te demande comment tu as pu. -J’essayer d’être gentil, poursuivit Mycroft en évitant toujours soigneusement son regard. -Gentil, s’étrangla la mère au bord des larmes, gentil. Tu nous à dit que notre fille était morte. -C’était mieux, continua Mycroft en regardant sa mère dans les yeux, que de vous dire ce qu’elle était devenue. Navré -Quoi quelle soit devenue, dit le père en se levant, quoi qu’elle soit aujourd’hui, elle reste notre fille. -Et ma sœur, compléta Mycroft. -Tu n’a pas été à la hauteur, dit la mère avec une colère sourde dans la voix. -Il à fait de son mieux, intervint Sherlock avec calme en restant au fond de la pièce. -Dans ce cas, il est très limité. Conclut la mère de cette voix pleine de reproche »
Sherlock et Mycroft se lancèrent un regard rempli de colère.
« Où est-elle ? demanda le père. -De retour à Sherrinford. Repris Mycroft. Bien gardé cette fois. Des gens son morts. Aucun doute qu’elle tuera encore s’il elle en a l’occasion. Impossible qu’elle puisse sortir un jour. »
Les parents se figèrent choquer à l’entente de cette information.
« Quand pourra-t-on la voir, demanda le père quand il se fut ressaisi. -Ça ne servira à rien, dit Mycroft avec calme. -Comment oses-tu dire ça ! S’exclama la mère. -Elle refuse de communiquer, poursuivit Mycroft, avec quiconque, d’aucune manière. Elle est perdue à tout jamais pour nous. Aucune parole ne peut l’atteindre »
Les parents se dévisagèrent. Puis la mère se tourna vers son fils cadet :
« Sherlock. »
Il leva les yeux pour la regarder.
« Eh bien ? Tu as toujours été l’adulte. Mycroft envoya un regard noir à son frère, que personne ne vit. Que fait-on maintenant ? -Mycroft, si tu me l’autorise, j’ai une idée. Répondit-il après quelques minutes de réflexion. »
Mycroft hocha la tête pour approuver.
L’après-midi même il prenait un hélicoptère en direction Sherrinford, prison sécurisé isolé du monde sur une ile. La seule arme qu’il avait trouvée pour passer les barrières d’Eurus était le violon. Il voulait vérifier si en jouant « lui ». Elle accepterait de communiquer.
Il traversa plusieurs portiques de sécurité puis arriva dans une pièce ronde, sans fenêtre. Il y avait un mur en plexiglass qui séparait la pièce en deux. Les murs murs en béton gris était éclairait par des néons qui diffusait une lumière blafarde. Eurus, était de dos, assise sur l’un des trois lits qui se trouvait dans la pièce.
Sherlock prit son instrument et commençât à jouer un morceau de sa composition. Au début rien ne se produisit, il crut avoir échouer quand Eurus se leva. Sous l’effet de la surprise il s’arrêta de jouer pour la suivre du regard. Eurus le dévisagea quelques instants puis elle attrapa son violon. Elle fit quelques pas pour se mettre face à lui. Glissant son archè, elle reproduisit les mêmes notes qu’il avait joué en arrivant puis elle s’arrêta. Il recommençât à jouer quelques accords. Elle les reproduisit de nouveau. Ils continuèrent de dialogué par violon interposé.
Afin de vérifier qu'il ne c'était pas tromper, il revient jouer tous les jours du violon avec elle.
Une semaine plus tard il revint accompagner de ces parents et Mycroft. On avait disposé trois chaises le long du mur. Et après que les parents aient essayer de communiquer avec elle de manière classique ils s’assirent sur les chaises et attendirent.
Sherlock commençât à jouer quelques accords et rapidement Eurus le suivit. A eux deux, ils composèrent un concerto qui emmurent leurs parents.
A tel point qu’a partir de cette date un concert fut programmer une fois par mois mais Sherlock se promis d’aller la voir deux fois par semaine. Il ne la laisserait plus jamais seul.
Un mois plus tard, Sherlock et John était assis dans le salon face à face. John lisait le journal et Sherlock le regarder fixement. Il n’avait jamais reparlé de l’affaire « Eurus ». La seule affaire que John n’avait pas poster sur son blog par respect pour son ami.
« Sherlock pourquoi tu me regarde comme ça ? Demanda John en levant la tête, n'arrivant pas à se concentrer. »
Sans répondre Sherlock ouvrit une de ces mains et John vit une clé USB. Elle ressemblait en tout point à celle qu’il avait vu précédemment.
« Eurus me l’a glissé dans une poche juste avant qu’elle ne soit emmener. -Tu l’a regardé ? »
Sherlock fit non de la tête.
« Tu veux qu’on la regarde ensemble ? »
Cette foi Sherlock approuva d’un signe de tête.
John posa son journal puis se leva pour récupérer l’ordinateur portable de Sherlock posé sur la table. Il le tendit à son propriétaire qui mit son mot de passe. Il brancha la clé avant de double-cliquer sur le fichier qui s’intitulait : Hissons nos couleurs.avi.
La vidéo démarra devant une école. Une voix féminine disait :
« Et voilà la première journée d’école qui se finit pour Sherlock. J’aimerais que tu sois là William. -Maman moi aussi je pourrais bientôt aller à l’école ? -L’année prochaine Eurus, l’année prochaine »
La grille s’ouvrit permettant à la mère de pénétrer dans le bâtiment avec d’autre parents. Elle se dirigea vers une salle de classe où elle fut accueillie par un homme qui annonça :
« Alors aucun problème pour Sherlock, il n’a pas pleuré aujourd’hui après votre départ et il s’est fait un copain. -Ah oui ? S’étonna la mère. -Oui, regarder d’ailleurs il joue ensemble et il ne vous a pas vu. »
La caméra braqua le fond de la classe filmant deux enfants qui jouer.
« C’est le mien le rouquin, annonça une femme. Il a été sage ? -Viktor à un peu pleurer ce matin mais Sherlock est aller le voir et depuis ils sont inséparable. Sherlock, Viktor vos parents sont là. »
Les enfants se levèrent puis coururent vers leurs parents.
« Alors c’était bien l’école Viktor ? -Oui trop bien, maman lui c’est Sherlock. C’est mon copain. -Et toi Sherlock sa t’a plu l’école ? -Oui, lui c’est Viktor et c’est aussi mon copain »
En quittant l’école les enfants se mirent à se courir après en rigolant.
« Je m’appelle Catherine. Dit la mère de Sherlock -Moi Liliane. Une chose est sûre ils sont faits pour s’entendre tous les deux. »
Fondu au noir.
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Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Sam 25 Fév 2023 - 14:50
Bonne lecture !!
La vidéo se passait dans une cuisine. Toute la famille était réunie pour le déjeuner, quand Sherlock dit :
« Maman, papa, est-ce que je peux aller dormir chez Victor demain soir ? »
Mycroft avala de travers et commença à tousser. Les parents c’était figé : le père la fourchette a mis chemin de la bouche, la mère la main en route vers son verre.
« Sherlock tu as dit quoi ? Demanda le père en reposant sa fourchette et son contenue dans l’assiette -Ben à l’école Viktor m’a proposé de dormir chez lui soir après l’école et de passer la journée du samedi tous les deux si j’avais envie. Et j’ai envie. -Eh ben, oui. Si tu en as envie c’est d’accord. »
Un large sourire se dessina sur le visage de Sherlock. Quand Eurus dit :
« Mais tu ne peux pas y aller. Le vendredi on joue au Monopoly tous les cinq. -Ce n’est pas grave Eurus, on jouera sans lui ou une autre foi »
Sherlock perdit rapidement le fil de la vidéo. Son esprit n’était plus à Baker Street, mais dans son palais mental. Alors qu’il regarder le couloir, qu’il connaissait par cœur, il aperçut un petit garçon roux. Il avait un bandeau de pirate sur l’œil gauche et une épée en bois à la ceinture.
« Viktor, dit Sherlock avec calme »
L’enfant partit en rigolant, Sherlock s’élança à sa suite. Après une course poursuite de quelques minutes, Viktor s’arrêta devant un couloir plongé dans le noir. Il se retourna pour regarder son copain avant de se reculer. Sherlock avança prudemment un pas après l’autre sa respiration saccadée, mais pas à cause de la course. A peine eut-il passé l’intersection que des lumières au plafond se mirent à clignoter, comme si quelqu’un avait appuyer sur l’interrupteur. Elles diffusèrent une lumière blanche et il put voir des portes de part et d’autre du couloir. Sur chacune il y avait une plaque en laiton avec une dates différentes. Viktor l’attendait devant la première porte sur la gauche. A peine l’eut il rejoins que son copain disparut. Sherlock mis la main sur la poignée puis l’ouvrit.
Il était dans une chambre avec Viktor sous une tentes en draps. Il regardait la scène comme un spectateur extérieur, dans un coin de la pièce.
« Tu es mon meilleurs copain Sherlock. -Toi aussi Viktor. -Tu me jure qu’on le sera pour toujours ? -Jurer cracher »
Ses quelques mots dit les deux garçons se jetèrent l’un sur l’autre pour se chatouiller en rigolant.
« Tu sais quoi j’ai une idée ! S’exclama Sherlock »
Viktor arrêta de le chatouiller puis se rassit pour écouter son copain.
« Tu sais qu’il existe un pirate qui s’appelle barbe noire. Viktor hocha la tête pour approuver. Et ben toi tu seras Barberousse et moi barbe-jaune. -D’accord, alors barbe-jaune on va voyager où ? -On va prendre nos dinosaures pour aller sur mars Barberousse. »
Les deux garçons explosèrent de rire
En sortant de la pièce il aperçut Viktor qui l’attendait devant une autre porte à droite cet fois. Viktor disparut une nouvelle fois. Sherlock ouvrit avec impatience la porte, il avait hâte de retrouver tout ces souvenirs, ces moment des bonheur passer avec son meilleur ami.
Il se vit dans une salle de classe. Il était assis à coter de son copain entrain de dessiner un bateau. Quand il eut fini Viktor lui prit la feuille pour dessiner un bonhomme bâton avec des cheveux orange et un autre avec des cheveux boucler noire. Sherlock repris le dessin puis écrivit en lettre capital : « BARBEROUSSE BARBE-JAUNE »
Ils se firent un grand sourire content du résultat.
En ressortant, le sourire aux lèvres, il chercha Viktor qui l’attendait devant une troisième porte, au bout du couloir. En se rapprochant il constata que c’était la dernière faisant disparaitre son sourire. Il tendit une main tremblante, mais ne parvint pas à l’ouvrir.
Sentant quelqu’un lui prendre la main il tourna la tête. Il s’agissait de Viktor qui avait un sourire rassurant. Reprenant courage il tourna la poignée. Il y eux un flash blanc qui le força à fermer les yeux. Quand il peut les rouvrir, il vit qu’il était dans un jardin, celui de la demeure ancestrale des Holmes. Sans avoir besoin de regarder il sut que Viktor n’était plus à ces coter. Il devrait affronter seul ces démons du passé. En balayant la zone du regard, il vit qu’ils étaient allongés à plat ventre dans l’herbe au milieu des drôles de stèles. Il regardait un livre sur les pirates. Quelques instants après il entendit la voix de sa mère s’exclamer : « Les garçons à table ».
Il se levèrent et Viktor lui dit : « Le dernier arrivée et une poule mouillée ».
Et les deux enfants s’élancèrent vers la maison en courant. Sherlock les suivit d’un pas rapide, mais n’arriva pas à temps pour savoir qui avait gagné.
« Prim’s, c’est toi la poule mouillée ! S’exclama Viktor. -C’est pas juste t’est partie avant. Répliqua Sherlock l’air boudeur. -Les garçons, aller vous laver les mains. Demanda la mère par la fenêtre ouverte, dans l’attention claire d’empêcher une dispute. »
Il se précipitèrent à l’étage, puis s’installèrent côte à côté autour de la table.
« Les enfants après mangé ont vous propose de nous rendre au lac pour l’après-midi. -Non, grogna Mycroft. Je ne peux pas rester ici ? Promis, je serais sage. -Non, dit le père avec une voix qui ne laissait pas matière à négociation. -Sherlock, Viktor sa vous va ? -Oui, répondit Sherlock en souriant -On pourra chercher le trésor comme sa. Approuva à son tour Viktor en lançant un regard complice à barbe-jaune. -Oui, ta trop raison. On pourra même essayer d’aborder le bateau de barbe noire !! S’enthousiasma Sherlock, tandis que Viktor hochait frénétiquement la tête pour approuver. -Eh bien en voilà au moins deux qui son motivé. Et toi Eurus ? »
Pour tout réponse, Eurus hocha les épaules pour montrer son indifférence. Après le déjeuner, Sherlock et Viktor récupèrent épée et chapeau de pirate dans la chambre de Sherlock avant de monter dans la voiture. Ils arrivèrent au lac, une demis heure plus tard. A peine la voiture garer les deux garçons se mirent à se courir après en criant : « A l’abordage ! » tout en rigolant.
Détournant son regard de Viktor, il vit que Mycroft s’amusait à faire ricochet des cailloux tandis qu’Eurus courait tenant un avion bleu au roues jaune en l’air.
Elle s’approcha de lui et tout en courant lui demanda : « Joue avec moi Sherlock ! »
Sherlock regarda sa sœur mais l’ignora préférant se tourner vers Viktor pour lui dire : « Je crois que le trésor et par là ! » Il pointe le doigt vers la berge opposée. Viktor couru pour le rejoindre.
Avec son regard d’adulte Sherlock analysa celui d’Eurus, qui c’était arrêter de courir. Elle avait le regard de quelqu’un qui s’apprête à commettre un meurtre.
Sans comprendre pourquoi il se retrouva aspirer hors de la pièce. Il était de nouveau dans le couloir. Puis toujours sans savoir pourquoi il fut aspiré hors de son palais mental.
Il était de nouveau à Baker street. L’écran de son ordinateur était noir. Il sentit le regard insistant de John, et comprit que c’était à cause de sa qu’il était revenu. Il ne voulait pas regarder John car il savait ce qu’il y verrait : de l’inquiétude ce qu’il ne voulait pas.
Il mit la main dans la poche intérieure de sa veste puis attrapa quelques choses. Ne regardant toujours pas John il tendit une main fermée vers lui. John ne bougea pas car il ne savait pas ce que Sherlock voulait. Finalement il mit sa main ouverte sous celle de son colocataire et attendit. Quelques secondes plus tard il senti quelques choses tomber dedans. Il rapprocha sa main de son visage et vit qu’il tenait une figurine en plastique. En la détaillant de plus près, il vit qu’il s’agissait d’un pirate avec le menton peint en jaune. Il dévisagea de nouveau Sherlock sans comprendre.
Finalement Sherlock dit dans un souffle :
« John, tu es mon meilleur ami. Et je veux qu’on le soit pour toujours. »
J'espère que cette nouvelle fanfiction vous à plus ! n'hésitez pas à laisser un petit com avec votre avis, l'auteur prendra plaisir à vous lire aussi !
Cissy Moderatrice générale
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Dim 26 Fév 2023 - 18:06
Et bien, une fin inattendue! Très bien amenée!
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
admin100078 Douce immersion dans l'imaginaire…….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 36 Date d'inscription : 21/02/2020 Age : 24 Localisation : saint martin boulogne Mon Fandom du moment: : 123456789101112
Sujet: Re: Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe Mar 14 Mar 2023 - 1:50
Trop bien la fic
Sherlock BBC - Assassin cherche frère de sang - L'équipe