[Texte court] - Petites phrases sans queue ni tête - G

Voici un ensemble de phrases que j'ai écrit l'année dernière pour mon cour d'écriture et d'art numérique. Je devais le smettre en video mais celle ci na jamais était terminé ( ce n'est qu'une partie remise).

Je vous conseil d'essayé de lire a vois haute.

Un monokini mugissant, à l’offre orthogonale, pianote un
parvenu planqué.


Une plantule procédurière, au rappel réservé, sanctionne un
solipède stylé.


Un rapiat râpeux, à l’euphorie étourdissante, fripe un
frisson friqué.


Une grâce gouvernante, à l’hécatombe hébétée, idéalise un
idiot.


Un maceron macaronique, à l’œuvre offensé, pelote un pèlerin
belliqueux.


Une batterie battue, au capital carrelé, déracine un
dériveur.


Un éboueur écaillé, au fanfaron fané, glace un giton givré.


Un haricot harmonieux, à l’ibis ignare, lénifie un léopard
légumier.


Un abatteur abattu, au cri crétinisant, dénude un déni
dénonciateur.


Un entraineur entrecoupé, à la frisure frisotté, gante un
dentier perlé.


Une habilleuse habillée, à la ballerine bégayante,
s’illumine d’une illusion.


Un monnayeur monnayé, à l’ossature osée, plombe pigeon.


Un senseur sensationnel, au tempérament tempéré, vend un verger de cerisier.


Un facteur factice, au tracteur tracté, craque un crapaud
crasseux.


Une ascèse algique, à l’occultisme oculaire, évent un
éventail épouvanté.


Une étable élitaire, à la pénombre penniforme, gâte une
gaufrette pâteuse.


Un fromageon
frisottant, au grattoir gravé, épate un épaulard éperdu.


Un classique clastique, au doute douteux, embobeline un
embarras emblématique.


Une concubine contradictoire, au fripon frigide, poignarde
un poignet trop poignant.


Un discriminant disloqué, au doute électrisant, épate un
entremet envoutant.


Un boulevard caractériel, à l’embarras baroque, embéguine un
banlieusard pleurnichard.


Un crépon entravé, à la cotonnade élitaire, dépulpe un
bachelier immémorial.


Une ricotta osmotique, à la pénombre fronceuse, poignarde
une serrurerie organique.


Un sanderling repentis, au makila dépointé, reboutonne un
plutonium mélancolique.


Un instructeur rebouteux, à la rincette, malfamé, miroite
des mots-clefs oublié.


Un prince vélin , à l’intellectualisme primaire, mijote
des secrets framboisés.

Kikoo Miss Lillie :)
Personnellement j'aims beaucoup même s'il y en a que je comprends moins bien...
:mangaclind\'oe

:;hurticaire;: Bon ben c'est désormais une certitude: tu es encore plus givrée que moi.... :jevoisjevois:
J'aime bien la sonorité générale... quant au sens... :crashhhhhhh:

Ceci étant dit... :mangacolére: Merci du cadeau: je mets ça dans quelle rubrique moi???? :mangacolére:
Ben disons... pensées et maximes... Evidemment ceux qui te connaissent s'étonneront que tu puisses publier des pensées mais... :mangadémoniaqu

Citation :

Bon ben c'est désormais une certitude: tu es encore plus givrée que moi....

( Lillie regard atendrie) Impossible cissy, personne n'est aussi cinglé que toi :mangajedevient

Citation :

J'aime bien la sonorité générale... quant au sens...

Merci, c'est bien un travail sur la sonorité, et si chaque phrase a bien un sens dan smon esprit tortueux, d'ailleur heureusement que vous ne les comprennés pas toute parceque se sujet devrai etre deplacé au dela l'horizon :mangagéné:

Citation :

Ceci étant dit... Merci du cadeau: je mets ça dans quelle rubrique moi????
Ben disons... pensées et maximes... Evidemment ceux qui te connaissent s'étonneront que tu puisses publier des pensées mais...

Et bien c'est toi la modo cissy a toi de voir, :mangadémoniaqu

Et cissy si tu savais se que je peux pensé tu fuiré

Citation :

Personnellement j'aims beaucoup même s'il y en a que je comprends moins bien...

Merci beaucoup malicia :mangamerci: