Bonjour, chers invités
Vous désirez nous rejoindre? N'hésitez pas, notre petit forum est un concentré de bonne humeur et d'histoires passionnantes. Nous avons une partie réservée aux membres car les histoires qu'elle contient n'est pas à mettre entre toutes les mains.
Pour y avoir accès vous devez respecter plusieurs consignes. Il n'y pas de passe droit possible.
(Mais tout d'abord un petit extrait de notre règlement):
1) Après votre inscription sur le forum il vous est demandé de "signer" la charte et le règlement du forum pour indiquer que vous avez bien pris note des règles qui régissent FFF. Pour cela il vous suffit de répondre aux messages "J'ai pris connaissance de la charte" et "J'ai pris connaissance du règlement". Toutes personnes n'ayant pas signé verra l'activation de son compte suspendue.
2) Veuillez, avant toute chose, vous présenter dans le topic consacré à cette intention en créant un nouveau sujet. Un petit questionnaire est mis à votre disposition pour nous permettre de mieux vous connaître. Toute personne n'ayant pas fait sa présentation sous 15 jours verra son compte effacé automatiquement sans mail de rappel.
......
13) Pour pouvoir demander l'accès au-delà de l'horizon vous devez répondre à certains critères : être inscrit de puis 15 jours minium, avoir signé le règlement et la charte, avoir fait votre présentation, et avoir posté au moins 15 messages, être âgé d'au moins 17 ans et avoir remplit son profil.
14) L'accès au-delà de l'horizon du forum est un privilège et non un droit, donc il pourra vous être retiré.
Bonne navigation.
Admin.
French Fic Fanart
Bonjour, chers invités
Vous désirez nous rejoindre? N'hésitez pas, notre petit forum est un concentré de bonne humeur et d'histoires passionnantes. Nous avons une partie réservée aux membres car les histoires qu'elle contient n'est pas à mettre entre toutes les mains.
Pour y avoir accès vous devez respecter plusieurs consignes. Il n'y pas de passe droit possible.
(Mais tout d'abord un petit extrait de notre règlement):
1) Après votre inscription sur le forum il vous est demandé de "signer" la charte et le règlement du forum pour indiquer que vous avez bien pris note des règles qui régissent FFF. Pour cela il vous suffit de répondre aux messages "J'ai pris connaissance de la charte" et "J'ai pris connaissance du règlement". Toutes personnes n'ayant pas signé verra l'activation de son compte suspendue.
2) Veuillez, avant toute chose, vous présenter dans le topic consacré à cette intention en créant un nouveau sujet. Un petit questionnaire est mis à votre disposition pour nous permettre de mieux vous connaître. Toute personne n'ayant pas fait sa présentation sous 15 jours verra son compte effacé automatiquement sans mail de rappel.
......
13) Pour pouvoir demander l'accès au-delà de l'horizon vous devez répondre à certains critères : être inscrit de puis 15 jours minium, avoir signé le règlement et la charte, avoir fait votre présentation, et avoir posté au moins 15 messages, être âgé d'au moins 17 ans et avoir remplit son profil.
14) L'accès au-delà de l'horizon du forum est un privilège et non un droit, donc il pourra vous être retiré.
Bonne navigation.
Admin.
French Fic Fanart
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Jeu 11 Fév 2010 - 19:13
:;génial;: Superbe chapitre que cette remontée dans le temps... J'aime beaucoup ces scènes unpeu en dehors, faisant appel à la spiritualité.... :;j'adoreeee: Et tu l'as si bien écrite!!!!! :;ily: Et pour une fois que j'ai pu passer un jeudi soir, j'ai de la chance!!!!! :j'aieuchaud:
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
fanncis Le rêve devient ta réalité….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 3455 Date d'inscription : 19/01/2010 Age : 45 Localisation : Derrière toi. Mon pairing du moment: : Tarlos911LS
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Ven 12 Fév 2010 - 11:53
Merci pour ton com . :mangagéné: . Je mettrai une suite ce week end ou ce soir qui sait.
Cissy Moderatrice générale
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Ven 12 Fév 2010 - 22:23
Ben ce soir!!!! :mangajedevient Même si je suis tellement cassée que je vais sans doute aller me coucher très bientôt, au moins je pourrai la lire dès demain matin (ou dès que j'arriverai à me traîner hors du lit)....
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
fanncis Le rêve devient ta réalité….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 3455 Date d'inscription : 19/01/2010 Age : 45 Localisation : Derrière toi. Mon pairing du moment: : Tarlos911LS
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Ven 12 Fév 2010 - 23:41
Chapitre15: Dimanche 20 mai.
Gibbs était en train de dormir quand il fut réveillé par quelqu'un qui lui serrait la main. Il ouvrit les yeux et releva la tête. Son regard se posa sur sa main, Tony la lui serrait. C’était le premier mouvement qu'il faisait depuis qu'il était dans le coma. Aussitôt, le regard de Gibbs se posa sur le visage de son agent qui avait toujours les yeux fermés.
-Tony, Tu m'entends?
La pression sur sa main se fit légèrement plus forte.
-Hé Tony, tu peux ouvrir les yeux?
Les yeux du jeune agent commencèrent à cligner.
-Oui, c'est bien. Continue.
Tony réussit enfin à ouvrir les yeux.
-Hé, ça fait plaisir de te voir les yeux ouverts.
Gibbs appuya sur le bouton d'appel.
-Tu me reconnais?
Tony essaya de lui répondre mais, quelque chose l'empêchait de parler. Il lâcha la main de Gibbs et la porta à sa bouche.
-C'est le respirateur.
Tony fit signe de la tête qu'il avait compris.
-Un problème, agent Gibbs? Demanda l'infirmière qui venait d'entrer. -Non, au contraire, il vient de se réveiller. -Bien! Je vais chercher le médecin de garde.
Gibbs prit la main de Tony. Ne t'en fais pas, tout va bien se passer. Le médecin entra dans la chambre.
-Bonjour, Monsieur DiNozzo, bon retour parmi nous. -Agent Gibbs, je vais vous demander de sortir de la chambre, le temps de faire les premiers examens. -Bien, je reviens Tony.
Tony serra plus fort la main de Gibbs, refusant de la lâcher.
-Tony, je serais juste là, derrière la porte.
Tony fit signe d´un non de la tête. Le monitoring montra une accélération de son rythme cardiaque.
-C'est bon, restez. Dit le médecin. -Monsieur DiNozzo, il faut vous calmer. L’agent Gibbs va rester avec vous, d'accord? Tony fit signe d´un oui de la tête et son rythme cardiaque se calma rapidement. -Je vais vous retirer le respirateur. Quand je vous le dirai, vous tousserez, vous me comprenez ?
Tony fit signe que oui.
- Très bien, alors allons-y.
Un quart d'heure plus tard, le médecin sortit, les premiers examens qu'il avait effectués étaient bons.
-Ça va? -Oui, je crois. Chuchota Tony. Qu'est-ce qui c'est passé? Depuis combien de temps suis-je ici? -Ça fait 3semaines et 4 jours. Tu ne te souviens pas de ce qui c'est passé? -Non.
Gibbs lui raconta ce qui s'était passé. Ensuite, Tony sommeilla un peu. Gibbs en profita pour aller se chercher un café. Il regarda l'heure à sa montre, 4h50. Il était encore bien trop tôt pour prévenir le reste de l'équipe que Tony était enfin réveillé. Quand Gibbs revint à la chambre, Tony était de nouveau réveillé et il avait le visage crispé.
-Comment te sens-tu? -Ça va. -Ne me mens pas, DiNozzo ! -Bon ok, j'ai mal. Mais ça va aller. -Attends, j'appelle quelqu'un pour qu'il te donne quelque chose. -Non, ça va aller. -Ne dis pas de bêtises, je t'appelle quelqu'un.
5 minutes plus tard, le médecin de garde injecta à Tony une dose de morphine.
-Tu peux me passer de l'eau, s'il te plaît ? -Tiens. -Merci. Comment se fait-il que tu sois là à cette heure de la nuit ? -Je suis resté ici quasiment toutes les nuits, depuis que tu y as été admis.
Tony se redressa et essaya de s'asseoir.
-Qu'est-ce que tu fais ? Lui demanda Gibbs. -J'ai envie d'aller aux toilettes. -Tu as une sonde Tony, tu n'as pas besoin d'aller aux toilettes.
Tony grimaça
-Oh non ! Il se rallongea et souleva son drap. Oh l'horreur ! Il va falloir qu'ils me virent ça.
Gibbs sourit.
-Ça te fais rire toi ! Ça se voit bien que ce n'est pas toi qui as un tuyau enfoncé dans tes bijoux de famille.
On frappa à la porte et Emily entra.
-Hé Tony, l'infirmière m'a dit que tu étais enfin réveillé ! Bonjour Gibbs.
Elle se pencha sur Tony et l'embrassa sur le front.
-Comment te sens-tu? - Bien, la morphine fait des merveilles comme toujours ! Tout va bien. Non, en fait, tout ne va pas bien. J'ai une sonde, enlève-moi cette horreur, je peux me lever. - Je vais voir ce que je peux faire pour toi. Je vais d´abord faire des examens complémentaires et, si je te donne le droit de te lever, je t'enlèverai la sonde. Gibbs, je vais te demander de sortir. - Bien, je vais en profiter pour prévenir les autres.
Au moment où Gibbs sortait, le docteur Green arriva. Très rapidement, le reste de l'équipe arriva. Ils virent Gibbs dans la salle d'attente.
-Comment va ce cher Anthony? Demanda Ducky. - Il avait l'air de bien aller. Emily et le docteur Green sont en train de lui faire des examens.
Une heure après, le docteur Green ressortit de la chambre.
-Vous allez pouvoir y aller. Leur dit-il. -Comment va-t´il? Lui demanda Ducky -D'un point de vue neurologique, tout va bien. Mais, en ce qui concerne sa jambe droite, on ne peut pas encore se prononcer, on verra ce que ça donne avec la rééducation.
Emily sortit à son tour de la chambre.
-Vous pouvez venir.
Abby entra la première.
-Comment vas-tu ? Lui demanda t´elle en l'embrassant sur la joue. -J'ai connu mieux.
Tout le monde s'assit,
-Alors dis-moi, qu'as-tu vu pendant ton coma? Demanda Abby
Le visage de Tony s'assombrit.
-Pas maintenant Abby. Dit-il.
Une heure plus tard, comme Tony commençait à s'endormir et ils commencèrent à partir.
-McGee.
Tim se retourna vers Tony.
-Oui? Tony lui fit signe de venir.
Le reste de l'équipe était sortie.
-Qu'est ce que tu veux? -Toi et Emily, c'est sérieux? -Heu, heu... co, comment enfin… heu. -Le regard d'Emily ne trompe jamais et elle me l'a dit. -Heu, je vois, oui je crois que c'est sérieux. -Tu crois? -Ce n'est que le début pour l'instant, mais je pense que c'est assez sérieux, je l'aime. -C'est bien le bleu, je suis content pour toi et Emily. Mais je dois te prévenir, si tu la fais souffrir, je te... -Ne t´en fais pas Tony. Je n'en ai pas l'intention. -Ok, car Emily est comme une sœur pour moi, et je ne supporte pas qu'on la fasse souffrir. -Bien reçu. Bon, je vais rejoindre les autres, repose-toi bien. Tony, je suis content que tu sois enfin réveillé.
3 jours plus tard.
Tony était sorti des soins intensifs et avait été placé dans le service d'orthopédie. Il avait commencé sa rééducation mais il ne pouvait toujours pas se tenir debout sans l'aide de béquilles, ce qui le frustrait énormément. Une fois assis, il n'arrivait pas à tendre sa jambe droite et, même allongé il n'arrivait à soulever sa jambe que de cinq centimètres. Ce qui, d'après son kiné, était déjà un exploit vu l'état de son genou. La rééducation allait certainement être longue et très pénible.
17heures chambre de Tony:
Gibbs frappa à la porte et entra dans la pièce, Tony était assis dans un fauteuil roulant devant la fenêtre.
- Salut, comment vas- tu? - Ça peut aller boss. -Il fait très beau dehors, ça te dit d'aller faire un tour dans le parc ? -Pourquoi pas.
Gibbs s'apprêtait à pousser le fauteuil de Tony.
-C'est ça ! Je peux encore le faire tout seul, mes bras ne sont pas impotents.
Gibbs ne dit rien et lâcha les poignées du fauteuil. Arrivé dehors, il engagea la conversation.
-Comment se passe ta rééducation? -Pas très concluant, pour le moment. Dit-il d'un ton amer. Le kiné n'est pas très encourageant. Pour lui, je ne récupérai jamais entièrement la mobilité de mon genou et je devrais avoir en permanence une béquille pour pouvoir marcher. Si tu veux mon avis, il a certainement raison. Tu devrais chercher dès à présent mon remplaçant. -Ne dis pas de bêtises DiNozzo. Je refuse de te remplacer, tu reprendras ta place. -Tu as déjà vu un agent du NCIS à moitié estropié sur le terrain? Tu sais très bien que je ne pourrais pas rester derrière un bureau, je ne suis pas fait pour ça. -Tu serais très utile derrière un bureau, tu es un très bon investigateur et... -Non Gibbs, je préfère démissionner plutôt que de me retrouver coincé derrière un bureau. -Alors, tu n'as qu´à… -Gibbs, je n'ai pas envie d'en parler pour le moment.
Ils "marchèrent" quelques minutes dans le parc de l'hôpital quand Tony s'arrêta à coté d'un banc. Gibbs s'y assit.
-Emily m'a raconté ce que mon père a fait. Commença Tony. -Et tu le prends comment? - Mon père à toujours obtenu ce qu'il voulait. Et, il a encore prouvé une fois de plus qu'il pouvait avoir tout ce qu'il voulait. Je préfère que ça se soit passé pendant que j'étais dans le coma.
Il resta silencieux un moment.
-Je suis désolé Tony, j'aurais du être là et empêcher ça. -Gibbs, non, ce n'est pas de ta faute. Tu n'aurais pas pu l'en empêcher. Comme je te le disais, mon père a toujours eu ce qu'il voulait, quelque soit le moyen utilisé, il parvient toujours à ses fins. C'est comme ça, que veux- tu ! On ne peut rien faire contre lui, il gagne toujours. -Pourquoi te laisses-tu faire par lui Tony ? Il faut que tu portes plainte, réagis bon sang ! Il n’a pas le droit de jouer avec ta vie comme ça, tu ne lui appartiens pas. -Ça, c'est toi qui le dis ! -Non Tony, tu ne lui appartiens pas. Tu n'appartiens qu´à toi. Réagis ! Je te le dis ! Tony, regarde ce qu'il t'a fait! Il t'a fait subir une intervention dont tu ne voulais pas, il t'a mis à la porte alors que tu n´avais que 16 ans, pendant tout le temps où tu as vécu sous son toit, il t´a battu et tu ne réagis même pas. Tony, je ne le laisserais pas détruire ta vie plus qu'il ne l'a déjà fait ! Il t'a battu pendant près de 16ans et tu essayes encore de lui trouver des excuses. -J'étais un gosse assez turbulent. Rien ne serait arrivé si je l'avais écouté, c'était de ma faute. -C'est que tu disais aux jeunes gamins, victimes de la violence de leurs parents, quand tu étais flic? -Non, mais ... -Alors ne redis jamais ça, tu m'entends ? Un enfant battu n'est pas responsable des coups qu'il reçoit, il est une victime et tu es une victime.
Tony ne répondit pas, il avait le regard dans le vide.
- Tony, pourquoi n'en avoir jamais parlé ? On ne peut pas garder ce genre de choses pour soi, il faut en parler Tony, il faut te libérer. Toi seul possède les clefs de la prison où tu t'es enfermé. Je sais que tu gardes plein de choses pour toi, parler te ferais un bien fou. - C'est dur. - Je sais, mais je suis là. Et, dès que tu seras prêt, je t'écouterais et je t'aiderais du mieux que je peux. Ducky aussi est là, ainsi que toute l'équipe. - Parce que le monde est au courant? -Que ton père te battait ? Non, seulement moi et Ducky. -Merci, je sais que je peux compter sur vous. Je suis fatigué maintenant, j'aimerais retourner dans ma chambre.
Gibbs se leva et poussa le fauteuil de Tony, qui ne protesta pas cette fois-ci. Arrivé dans la chambre, Gibbs plaça le fauteuil à coté du lit.
-Tu as besoin d'aide? Demanda-t´il. -Merci, ça va aller, mes bras fonctionnent parfaitement. Tony se mit au lit.
Abby s'assit sur le lit de Tony et regarda le contenu du plateau repas.
-Ils veulent tuer quelqu'un avec ça? Abby prit une cuillère de ce qui semblait être une purée et en sentit le contenu. Beurk, Tony tu ne peux pas manger ça, c'est dégoutant ! -Ne t'en fais pas, je n'avais pas l'intention d´avaler cette chose. -Je vais aller te chercher quelque chose de mangeable. Dit-elle en se levant.
6 juin 13h00:
Grâce à la rééducation, Tony arrivait maintenant à se tenir debout à l'aide de béquilles bien que la mobilité de son genou droit lui fasse toujours défaut. Il pouvait enfin quitter l'hôpital et Gibbs était venu le chercher.
- Enfin à la maison ! L’hôpital commençait vraiment à me rendre cinglé. - Il y avait pourtant de belles infirmières. -C'est vrai, il y en avait quelques unes qui n´étaient pas mal.
Tony s'assit et enleva son attelle. Le médecin lui avait dit le la porter le plus souvent possible.
-Merci de m'avoir raccompagné. -Il n'y a pas de quoi. -Tony, Emily m'a dit pour Sarah. Pourquoi n'en avoir jamais parlé.
Tony soupira.
- Je suppose pour la même raison que tu n'as jamais parlé de Shannon et Kelly. - Trop douloureux, même avec les années. Dit Gibbs.
Tony acquiesça d'un signe de la tête.
-Je peux te servir quelque chose à boire? Enfin, si je trouve où Emily a rangé les affaires. Demanda Tony. -Je vais t'aider.
Pendant que Gibbs préparait du café, Tony tenta d'attraper des tasses. Pour cela, il posa sa béquille gauche, attrapa deux tasses par l’anse et en entraîna une 3ème. Pour éviter que cette dernière ne tombe, il lâcha instinctivement sa béquille droite pour rattraper la tasse avec sa main droite. Mais, sa jambe droite se déroba sous le poids de son corps et Tony tomba par terre, cassant par la même occasion les trois tasses. Gibbs se précipita vers lui pour l'aider à se relever mais Tony le repoussa violemment.
-Non, laisse-moi. -Je voulais juste d'aider. -Je n'ai pas besoin d'aide, j'ai juste besoin qu'on me foute la paix, va-t´en ! Lui cria Tony. -Comme tu veux.
Gibbs commença tout de même à ramasser les morceaux de tasses.
-Laisse, je le ferais. S'il te plaît, va-t´en, j'ai besoin d'être seul. -Tony, ne... - Non Gibbs, va-t’en! Cria Tony
Gibbs sortit de l'appartement de son agent, et prit son téléphone.
-Bonjour, je voudrais parler au Docteur Emily Wyenn, chef de la neurochirurgie. C’est urgent, dites-lui que c´est de la part de l'agent Gibbs.
1 minute plus tard Emily répondit :
-Agent Gibbs, il y a un problème? -Tony ne va pas bien.
Il lui raconta ce qui venait de se passer. Elle lui répondit qu'elle allait immédiatement aller le voir et qu'il pouvait retourner travailler sans craintes.
Même jour 16h30.
Emily était en train de vider les bouteilles d'alcool dans l'évier quand Gibbs revint à l'appartement.
- Qu'est ce que tu fais? - Le ménage. -Tony a bu? - Oui. - Emily, Tony est-il alcoolique? -Non, mais s´ il continue comme ça, il pourrait le devenir. Tony n'est pas quelqu'un qui boit habituellement mais, dès qu'il est submergé par des émotions qu'il n'arrive pas à gérer, il boit. -Où est-il? -Sur la terrasse. -Je vais aller lui parler. Dit-il en remplissant deux tasses de café.
Tony était assis par terre, le dos appuyé contre la barrière, la jambe droite tendue et maintenue par l'attelle et la jambe gauche pliée. Il portait ses lunettes de soleil. Gibbs s'avança jusqu'à lui et s'assit à ses côtés.
- Tiens. Lui dit Gibbs en lui tendant un des cafés. - J'aurais du mourir dans cet accident. - Pardon? Qu'est ce que tu racontes ? - J'aurais du mourir dans cet accident. Maintenant je ne sers plus à rien. - Comment ça? Je ne comprends pas. Pourquoi ne servirais-tu plus à rien ? Et mort, tu crois tu serviras à quelqu'un? - Tu peux me dire à quoi je vais servir avec une jambe qui refuse de fonctionner ? Qu'est-ce que je vais pouvoir faire? Toucher ma petite pension d'invalidité du NCIS ? Et après ? J'ai 34 ans, je ne pensais vraiment pas que ma carrière s'arrêterait comme ça. - Et pourquoi ta carrière serait-elle finie ? - Tu as déjà vu un agent fédéral sur le terrain avec des béquilles, car c'est le seul moyen pour lui de se déplacer ? - Non, mais j'ai connu un excellent agent du NCIS en fauteuil roulant. Et, même s'il restait derrière son bureau, il aidait énormément son équipe. - Non, je ne pourrais jamais tenir longtemps derrière un bureau. La paperasserie, ce n'est pas mon truc, tu le sais bien. - Peut-être, mais tu es un excellent investigateur. Tu en bluffes plus d'un à chaque fois. Tu n'as pas l'air de travailler et, au moment où je te demande des informations, tu m'en sors plein - Oui, mais je ne faisais pas ça toute la journée, j´allais aussi sur le terrain. Je suis fait pour ça et pas pour être enfermé derrière un bureau. Si j'avais voulu rester enfermé dans un bureau toute la journée, je serais devenu avocat, pas flic. - Si tu ne veux pas rester derrière un bureau, fais tout ce que tu peux pour retrouver la mobilité de ta jambe. - Le médecin m'a dit que c'était foutu. - Je ne suis pas d'accord, demande un autre avis. Ne te laisse pas abattre, je suis sûr que tu peux récupérer complètement l´usage de ta jambe mais il faut te battre pour y arriver. - Non!
Gibbs allait lui envoyer une tape derrière de la tête quand Tony reprit la parole.
-J'en ai marre de me battre ! Toute ma vie, je me suis battu, et pour quoi? Pour finir comme ça! J'en ai assez de me battre Gibbs, de prendre tout sur moi, je n'en peux plus. Tu sais, si tu n'avais pas été là l'autre jour, je me la serais tirée dans la tête, cette balle.
Gibbs fut choqué par l'aveu de son agent.
-Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter une vie pareille? Je suis né dans une famille où on ne voulait pas de moi. J’ai eu un père violent et une mère indifférente. Malgré ça, j'aimais mes parents, malgré les coups que mon père me donnai quotidiennement, je l’aimais. Enfin, jusqu'au jour où il a fait tuer ma mère. Il était furieux que j’aie survécu à cet accident. J'ai toujours subi sans rien dire car je savais que, le jour de ma majorité, je partirai. Mais ce jour est arrivé avant. Le jour de la remise des diplômes, j'ai enfin osé prendre mon courage à deux mains et j´ai dit à mon père que je ne deviendrais jamais avocat. Là, après m'avoir mis une nouvelle raclée, il m'a mis à la porte. Je suis parti à la fac avec Emily. C’est là que j'ai rencontré Sarah, elle était formidable. Grâce à elle, j'ai repris goût à la vie. Grâce à elle, j'ai su ce que c'était d´aimer et d´être aimé. Mais, comme si le sort s'acharnait encore sur moi, il a fallu qu'elle meure en mettant notre fils au monde. C´en était trop ! Alors, je ne suis créé un personnage à jouer, celui que rien ne touchait ou presque. Toujours jovial, qui passait d'une femme à l'autre sans états d'âmes. Même Kate a cru à mon personnage. Pour un profileur, elle s´est faite avoir ! Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais et pourtant, elle est morte, elle aussi. J'en ai souffert, mais il fallait être fort et surtout ne pas laisser tomber le masque. La mort de Paula à été une grosse faille dans le masque et partir trois mois après sa mort à été une délivrance. A Fairbanks, personne ne me connaissait, j'ai pu laisser mon masque loin derrière moi. Et pour quoi ? Pour perdre encore une fois une femme à qui j'avais réussi à ouvrir mon cœur. Emy était médecin, tu l'as vue d'ailleurs. Quand je suis arrivé à Fairbanks, c'est elle qui a fini de soigner mon épaule. On est très vite tombés amoureux l'un de l'autre. Elle aussi était venue là pour fuir son passé. Son mari était un homme violent et, au bout de quatre ans de mariage pendant lesquels elle a été battue par son mari, elle a réussi à porter plainte et a divorcé. Mais en mars, son mari a été libéré pour une erreur de procédure, il a vite retrouvé la trace Emy et l'a mortellement, blessée. Elle est morte dans mes bras. On avait prévu de se marier après la naissance du bébé, elle était enceinte de 2 mois. Toute ma vie, j'ai perdu toutes celles à qui je tenais le plus. Il n'y avait plus que mon boulot qui me maintenait en vie. Si je ne peux plus l´exercer, je n'ai plus rien à faire ici.
Ils restèrent silencieux.
-Je suis désolé, Tony, je ne savais tout ça. -Tu n'as pas être désolé, tu n'y es pour rien. J’ai juste tiré le mauvais numéro à la loterie de la vie. Je vais partir quelques temps, j'ai besoin de faire le point sur moi, de savoir ce que je vais faire de ma vie. -Verrais-tu un inconvénient si je venais avec toi? Il me reste quelques semaines de vacances à prendre. -Je ne serais certainement pas de très bonne compagnie. -Laisse-moi d'aider Tony. Et puis, tu va avoir besoin d'un chauffeur.
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Sam 13 Fév 2010 - 18:02
:lasuite!svp:
**
fanncis Le rêve devient ta réalité….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 3455 Date d'inscription : 19/01/2010 Age : 45 Localisation : Derrière toi. Mon pairing du moment: : Tarlos911LS
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Lun 15 Fév 2010 - 11:53
voilà la suite, merci pour ton com cali
Chapitre 16 :
8 juin, 7 h du matin, parking de l'appartement de Tony.
Gibbs venait de finir de mettre les bagages dans le coffre de la voiture. Emily le rejoignit.
- Gibbs, je voulais te passer les médicaments de Tony. Elle ouvrit la sacoche qu'elle tenait. -Tu as là les anti-inflammatoires, il doit en prendre une fois par jour. Ensuite, il y a cet antidouleur : il peut en prendre jusqu'à 4 fois par jour. Si la douleur est trop forte, il y a des comprimés de morphine, pas plus de deux par 24 heures et un par prise. Et ça, c'est un antidépresseur, à lui faire prendre une fois par jour. -Il en a vraiment besoin, de l'antidépresseur? -Oui, Tony n'est vraiment pas bien en ce moment. Il faut bien veiller sur lui et surtout, ne pas le laisser trop longtemps tout seul. - OK. Je veillerais bien sur lui. - N'hésite pas à m´appeler s’il y a quoi que ce soit. Je te passe son dossier médical pour le kinésithérapeute quand vous serez là-bas. Fais vraiment attention à lui, il ne va pas bien du tout. - Pas de problèmes. Si je pars avec lui, c'est bien pour ça.
Emily remonta et alla voir Tony qui était dans sa chambre.
- J'ai une nouvelle orthèse pour toi. Elle te maintiendra mieux le genou et il aura une flexion d'une dizaine de degrés et en plus, celle-là se porte sous le pantalon. - Formidable ! Je venais juste de finir de m'habiller. - Je vais t'aider à la mettre et comme ça, je te montrerais comment la régler.
Emily installa l'orthèse pour Tony.
- Ça se passe bien avec McGee ? - Oui, très bien. Je suis heureuse avec lui, ça fait du bien. Depuis ma rupture avec Erik, je n'étais pas retombée amoureuse d'un autre homme. - Je suis heureux pour toi.
Il déposa un baiser sur le haut de la tête de la jeune femme.
- Tu me passe les béquilles. - Tiens.
Ils sortirent de la chambre et rejoignirent Gibbs qui les attendait dans la voiture.
- Tu es prêt ? - On ne peut plus prêt !
Emily serra Tony dans ses bras.
- Tu m'appelles, OK ? - Promis.
Gibbs et Tony se mirent en route en direction Clarksville, non loin de Nashville dans le Tennessee. Un peu plus de 900 kilomètres de route. En roulant bien, ils seraient là-bas aux alentours de 20h.
Cela faisait plus d'une heure qu'ils roulaient en silence.
- Et si on s'arrêtait pour prendre un café ? - Si tu veux. Répondit Tony d'une voix morne en regardant défiler le paysage.
Gibbs se gara sur un petit parking. Ils sortirent de la voiture et prirent la direction du café. Une fois installés à une table près de la fenêtre, une très jolie serveuse se présenta à eux.
- Bonjour, je suis Sandy, que puis-je vous servir ? - Un café noir sans sucre pour moi, Gibbs regarda Tony qui avait le regard perdu à l'extérieur. - Hé Tony, tu veux un café ? - Oui, un café ce sera très bien. - Donc deux cafés et rajoutez des beignets. Dit Gibbs. - Tony ? - ... - Tony ! Ça va ? - Pardon ? - Ça va ? - Oui, oui.
La serveuse revint avec les deux cafés et les beignets.
- Tenez messieurs. - Merci, combien vous dois-je ? Demanda Gibbs. - 7 dollars. - Tenez et gardez la monnaie.
Gibbs n'était pas à l'aise. Le silence de Tony le rendait très nerveux.
- Tu veux un beignet ? Demanda Gibbs. - Non merci, je n'ai pas faim. - OK ! Alors, si tu as fini ton café, on va se remettre en route. Je vais demander à la serveuse de nous emballer le reste des beignets. - Je t'attends à la voiture.
Tony se leva et sortit. Gibbs le rejoignit deux minutes plus tard. Ils repartirent. Gibbs mit un peu de musique pour casser le silence pesant. Tony s'endormit rapidement. Il était près de midi quand il se réveilla.
- Bien Dormi ? - Mmm - Tu as faim ? On est à 6 kilomètres de la prochaine ville, on peut s'y arrêter si tu veux. - Oui, on n'a qu'à faire comme ça.
Restaurant :
Cela faisait 15 minutes qu'ils avaient été servis, Tony avait à peine touché à son assiette, il avait le regard crispé.
- Hé ! Tu vas bien ? Tu as à peine touché à ton repas. Demanda Gibbs. - Je n'ai pas très faim. -Tony, ta jambe te fait mal ? - Ça va. - Hé ! Ne me mens pas.
Tony soupira
- Oui, j'ai mal ! Ça va, t'es content ? Il ne se passe pas une minute sans que ça me fasse un mal de chien. - Non, je ne suis pas content. Attends-moi là.
Gibbs revint deux minutes plus tard et tendit un comprimé à Tony.
- C'est quoi ? - Pour la douleur : c'est un peu plus fort que tes antidouleurs. C'est Emily qui me les a passés.
Gibbs ne voulait pas lui dire que c'était de la morphine. Après avoir fini de manger, ils repartirent.
Nashville 20h15.
Tony et Gibbs s'arrêtèrent dans un hôtel et prirent une chambre double.
- Cela faisait longtemps que je n'étais pas revenu ici. Je me demande si les parents de Sarah habitent toujours ici. - Tu veux aller les voir demain ? - Je ne sais pas. Ils ne m'ont jamais porté dans leur cœur, surtout son père. Je n'étais pas assez bien pour sa fille chérie. - J'aurais aimé avoir un gendre comme toi. - Ça, c'est toi qui le dis. - Si, je t'assure. - Elles te manque shannon et kelly ? - Oui, chaque jour que Dieu fait, je pense à elle. Si elles n'étaient pas mortes, je me demande si je serais entré au NCIS. - Si Sarah n'était pas morte, je ne serais jamais rentré dans la police, alors le NCIS... - Tu aurais fait quoi à la place ? - Je ne sais pas. Peut-être entraîneur ou que sais-je : père au foyer avec une femme médecin ? Elle avait commencé son internat en pédiatrie. - Shannon voulait que je quitte l'armée après ma mission en Irak. Elle voulait reprendre son boulot, elle était institutrice. - Tu as ressenti quoi quand Kelly est née ? - Je ne pourrais pas mettre de mots dessus, c'est quelque chose d'indéfinissable. Angoissant et merveilleux en même temps. Quand Kelly est née, ça a été les plus beaux jours de ma vie, j'avais dans mes bras une partie de Shannon et une partie de moi. Et j'ai eu la trouille en même temps, j'étais jeune et je pensais que je ne m'en sortirais jamais. - Tu avais quel âge ? - 21 ans. - L'âge que j'avais quand il est né. Avec Sarah on n'avait pas encore trouvé de prénom. - Il n'est pas trop tard. Enfin, je veux dire, tu peux lui trouver un prénom. - Quand j'étais dans le coma, je l'ai vu. Je ne peux pas dire à quoi il ressemblait, je ne m'en souviens pas ou plutôt, c'était un bébé comme tous les bébés. Quand il est mort, les médecins ont refusé que je le voie. Soi-disant, il était trop prématuré et il valait mieux pour moi que je ne le voie pas.
Le visage de Tony se crispa brusquement, il pâlit et eut le souffle coupé.
- Hé, ça va ? - Non, la douleur est revenue, je crois que je vais vomir.
Tony alla jusqu'à la salle de bain et vomit dans l'évier.
- Ça va aller ? - Bon sang ! Ces douleurs ne vont donc jamais s'arrêter ?
Gibbs tendit à Tony un autre comprimé de Morphine et l´aida à s'allonger. 20 minutes plus tard, il avait retrouvé une bonne mine et il se redressa.
- Ça va mieux ? -Oui, la douleur a presque disparu. -Il se fait tard, on devrait aller manger. -Va-y sans moi, je n'ai pas faim. -Non Tony ! Tu n'as rien mangé ce matin et à midi, tu n'as presque pas touché à ton assiette. Alors ce soir, tu viens manger comme il faut. C’est important pour ta récupération et pas de discussions. - A vos ordres, chef! répondit-il à contre coeur.
Samedi 9 juin, 4h du matin: Gibbs se réveilla et se tourna vers le lit de Tony : Il était vide. Gibbs alluma la lumière et se leva. Il alla voir si son agent se trouvait dans la salle de bain. Non, elle était vide.
-Bon sang Tony, où es-tu allé ?
Il mit ses chaussures et sortit de la chambre. Tony était là, le dos appuyé contre le mur.
-Tony, qu'est-ce-que tu fais dehors à une heure pareille ? -Désolé, je ne voulais pas te réveiller. Je n'arrivais pas à dormir, alors je suis sorti. -Non ça va, tu ne m'as pas réveillé. Ça n'a pas l'air d'aller, tu as encore mal? -Oui. -Allez viens, on va à l'intérieur. Je vais te passer un antalgique.
Lendemain: Cimetière de Clarksville : Gibbs se tenait à l’écart. Tony était devant la tombe de Sarah et de son fils. Il y déposa un bouquet de lys blancs, les fleurs qu’elle préférait.
- Je ne sais pas ce que je suis sensé te dire. Je suis désolé de ne pas être venu avant mais je n’ai jamais eu la force de le faire. Mon patron à pensé que ça me ferais du bien de venir ici, je ne sais pas. Après, il veut qu’on aille au Mexique voir quelqu’un, il ne m’a pas dit qui. Remarque, je ne lui ai pas demandé, peut être que je devrais le faire. Tu me manques Sarah. Je ne sais pas pourquoi je ne suis pas mort dans l’accident mais, d’après Emily, ça doit vouloir dire quelque chose.
Au bout d’un moment, Gibbs s’avança vers Tony et posa sa main sur l’épaule du jeune agent.
- Ça va ? - Ouais. C’est la première fois que je reviens ici depuis qu’elle est morte. 13 ans déjà ! Et la douleur est toujours la même, elle ne diminue pas avec le temps. Au contraire, on a beau la cacher ou l’ignorer, elle est toujours là. Tu crois qu’on n´est faits que pour une seule femme ? Car si c’est ça, j’ai dépassé le quota qui m’était imparti. -Je ne sais pas. -Nathan. -Pardon ? -Nathan, Sarah aimait beaucoup ce prénom. Je pense qu’elle aurait aimé qu’il s’appelle ainsi. -C’est joli. -Je me demande quel genre de père j’aurais été. Quand Sarah m’a annoncé qu’elle était enceinte, j’ai paniqué. Au début, je n’en voulais pas. J’ai mis cinq mois pour en accepter l’idée et voilà qu’il meure quelques jours après. Remarque, c’est peut-être mieux ainsi. Je n’aurais pas fait un bon père. -Comment peux-tu savoir ça ? -Dans ma famille, on a plein de traditions qui se transmettent de père en fils, dont celle de battre femmes et enfants. -Tony, tu n’aurais jamais fait ça. -Comment peux-tu en être aussi sûr ? Une fois, j’ai frappé Sarah pendant une dispute. -Tony… -Je voudrais rentrer. Le coupa Tony. -Bien, on y va.
De retour à l’hôtel, Tony s’allongea et s’endormit rapidement. Gibbs sortit de la chambre et en profita pour appeler Emily.
-C’est Gibbs. -… -Tony ne va pas très fort, son genou lui fait mal. J’ai déjà du lui donner de la morphine, il n’a pas d’appétit. Il mange très peu et je ne préfère pas parler de son moral. -… ils discutèrent un petit moment avant de raccrocher.
Gibbs retourna dans la chambre, Tony dormait encore. Il en profita pour mettre les sacs dans le coffre de la voiture. Ils devaient libérer la chambre pour midi.
-Tony, il faut te réveiller. On doit libérer la chambre.
Tony se réveilla, il avait l’air d’aller vraiment mal.
-Ça va ?
Tony haussa les épaules. Gibbs l’aida à se lever.
-Merci. -On va manger et ensuite on se met en route, ça te vas ? Dit Gibbs -Si toi ça te vas… Dit Tony d’une voix à peine audible.
Deux jours plus tard
Ils venaient de s’arrêter à San Antonio, dernière étape avant Tijuana. Restaurant du motel :
-Gibbs, pourquoi veux-tu m’emmener au Mexique ? -Il y a une personne qui aimerait te revoir. -Je ne connais personne qui habite au Mexique. -Si, ton ancienne nourrice. -Mon ancienne nourrice ! Comment sais-tu que j’ai eu une nourrice ? Je n’en ai jamais parlé.
D’un seul coup, Gibbs se sentit mal à l´aise : il allait devoir expliquer à Tony les recherches qu’il avait fait faire par Fornell pendant que Tony était dans le coma.
-Pendant que tu étais à l’hôpital dans le coma, j’ai demandé à Fornell de faire une recherche pour moi. Je voulais savoir si ton père t’avais menti ou pas sur le fait que ta mère était morte.
Tony se leva.
-Comment as-tu osé, tu te prends pour qui Gibbs ! Dieu le père !?
Tony prit le chemin de la chambre furieux.
-Attends Tony ! Je voulais simplement d’aider !
Tony s’arrêta et fixa Gibbs.
-M’aider à quoi, hein ? A me confirmer une nouvelle fois que j’étais la chose que mes parents détestait le plus sur terre ! Tu crois que je ne sais pas qu’elle ne m’a jamais aimé ? Tu veux que je te dise, tu es une ordure ! Tu ne vaux pas mieux qu’eux. Laisse-moi ! Oublie-moi et rentre chez toi.
Tony lui tourna le dos et commença à repartir quand Gibbs le retint par l’épaule. Tony se retourna brusquement en lâchant sa béquille gauche, lui mit un grand coup de poing dans la figure. Gibbs tomba au sol et perdit connaissance quelques instants. Quand il reprit connaissance, Tony n’était plus là. Il s’assit et se massa la mâchoire.
-Je n’avais pas le souvenir qu’il avait tel crochet du gauche.
Il se leva et s'aperçut que son arme avait disparu.
-Non Tony, tu n’as pas fais ça ! pourquoi a t-il fallu que je la prenne, se reprochât-il à lui même
Gibbs courut à la chambre mais Tony ne s’y trouvait pas. Il prit son portable et l’appela mais il avait laissé son téléphone dans la chambre.
-Et merde ! Gibbs se mit à la recherche de Tony. Au bout d'une demi-heure de recherches, Gibbs l´aperçut, assis contre un rocher, au bord du Rio Grande. -Tony? -Ne t'approches pas, je t'ai demandé de me laisser. Rentre à Washington et oublie-moi. -Non Tony, j'ai promis de t'aider et je tiendrais cette promesse. -Je n’ai pas besoin de ton aide, je n'ai besoin de l'aide de personne d´ailleurs. -Tony, je ne veux pas te perdre. J’ai perdu celles à qui je tenais le plus au monde, ma femme Shannon et ma fille Kelly. Quand Kate est morte, je ne suis juré que je ne perdrais plus jamais un autre agent. Tony, tes parents ne t´ont peut-être jamais aimé, ils t'ont fait subir ce qu'un enfant ne devrait jamais subir. Je sais que tu n'as pas eu une vie facile, tu as perdu les femmes que tu as aimées et un fils que tu n'as jamais pu connaître. Mais tu n’es pas seul, ne ferme pas ton cœur à l'amour des autres, laisse-les t´aimer Tony.
Tony ne répondit pas, il avait l'air perdu. Sa main tremblait en serrant et desserrant l'arme qu'il tenait.
-Tony, tu es plus qu'un agent ou un ami. Tu es comme un fils pour moi, et je refuse de perdre un autre être que j'aime. Abby ne supporterait pas de te perdre non plus, tu es comme un frère pour elle. McGee serait complètement perdu sans toi, tu comptes énormément pour lui, tu es son exemple. Ducky ne te considère pas que comme un ami mais comme un membre de sa famille. On est une famille Tony! Toi, Abby, McGee, Ducky, Ziva et moi, on forme une famille. Pas une famille de sang certes, mais une famille de cœur et c'est encore plus important. Et Emily,tu a pensé à elle, tu es très précieux à ses yeux. Les larmes coulèrent sur les joues de Tony, qui lâcha l'arme de Gibbs qu'il tenait dans sa main. Gibbs s'approcha de lui, poussa l'arme hors de portée et prit Tony qui pleurait dans ses bras. -Ça va aller Tony, je suis là. On sera tous là pour t’aider.
A suivre.... :mangaporte:
Cissy Moderatrice générale
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Lun 15 Fév 2010 - 21:06
Décidément tu lui en fais voir de toutes les couleurs au pauvre Tony!!!! :mangahein:: Serais-tu légèrement sadique??? :mangaclind\'oe J'ai adoré ces deux chapitres, :mangaj\'aime: :encreunp\'ti:
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
fanncis Le rêve devient ta réalité….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 3455 Date d'inscription : 19/01/2010 Age : 45 Localisation : Derrière toi. Mon pairing du moment: : Tarlos911LS
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Mar 16 Fév 2010 - 12:31
Merci pour ton com. et comme c'est si gentiment demandé, voilà la suite.
Chapitre 17:
Cette nuit-là, Tony eut une nuit très agitée. Gibbs n'avait pas dormi et avait essayé de le calmer et de le rassurer même si Tony ne s´était pas réveillé. Il ne s'était apaisé que vers 4 heures du matin et Gibbs avait donc décidé de le laisser dormir. Il s'était réveillé sur le coup de onze heures.
-Comment te sens-tu ? -Lamentable ! J'ai l'impression que ma tête va exploser et mon genou me fait un mal d'enfer. -Je vais te donner ce qu'il faut.
Gibbs lui passa un comprimé de Morphine.
-Merci! Quelle heure est-t´il? J'ai faim. -Un peu plus de onze heures. Si tu veux, on met nos affaires dans le coffre et on va manger après. -Oui, mais juste avant, j'aimerais prendre une douche.
Gibbs aida Tony à se lever. Pour la première fois depuis sa sortie du coma, Tony mangea de bon appétit.
Dans la voiture en direction de Tijuana.
-Tu pensais tout ce que tu as dit hier soir? Ou était-ce juste pour ne pas que je fasse de connerie avec ton arme ? -Tiens, parlons-en de mon arme ! La prochaine fois que tu y retouches, je te fous mon pied au cul. C'est compris? Sinon, pour répondre à ta première question, oui je le pensais vraiment. Je te considère comme un fils. Et, si ton père n'a pas compris la chance qu'il a eu d'avoir un fils comme toi, alors il n´a rien compris à la vie. J'aurais tout donné pour avoir un fils qui te ressemble. Je suis fier de toi, de l'homme que tu es. Tu es un excellent agent sur qui on peut compter. Je t´accorde que, parfois, tes méthodes sont un peu spéciales, mais elles ont toujours été efficaces. Et ne va pas répéter ça aux autres ! -Merci Gibbs, patron.
Gibbs eut un léger sourire.
-Désolé, ce que j'ai pu te dire hier soir, je ne le pensais pas. Mais sur le coup, j'étais tellement en colère et puis, je ne voulais pas que tout le monde connaisse mon passé. Je crois que je me suis senti trahi quand tu m'as dit que tu avais fait faire des recherches sur moi. J'ai eu l'impression que je n'avais plus ta confiance. Alors, elle est bien en vie n'est-ce pas? J'ai vu dans le regard de mon père qu'il ne m'avait pas menti. D’ailleurs, il ne m´a que très rarement menti. -Oui, elle est bien vivante. Si tu veux, je peux te passer le dossier que Fornell m'a donné. -Tu es allé la voir? -Oui. -Et je parie qu'elle n’a pas voulu entendre parler de moi. -Tony, je suis dé… -Non, ne jamais dire qu'on est désolé. Et non, je ne veux pas savoir ce qu'elle est devenue. Tu peux faire ce que tu veux de ce dossier, ça ne m'intéresse pas. Elle ne mérite pas que je prenne la peine de savoir ce qu'est sa vie maintenant. Comme tu l´as dit, j'ai une autre famille à présent et celle-là, je l'ai choisie. Au fait, je sais que tu n'aimes pas quand on dit qu'on est désolé, mais je le suis sincèrement : pour avoir pris ton arme, pour le coup de poing et pour t'avoir déçu. -Excuses acceptées. Mais, premièrement, tu ne m'as jamais déçu. Et deuxièmement, depuis quand as-tu un pareil crochet du gauche ? -Depuis que j'ai des béquilles ! À l'hosto, le kiné m'a pas mal fait bosser les bras pour arriver à tenir debout. -Tiens, en parlant de kiné, quand on sera à Tijuana je veux que tu reprennes ta rééducation. Car, depuis qu'on est partis, tu n'as fait aucun des exercices demandés par le kinésithérapeute. -Pour quoi faire? Mieux boiter?
Gibbs lui donna une tape à l'arrière de la tête.
-Hé ! Qu'est-ce-que j'ai fait ? -Rien, justement. Tu vas te bouger les fesses et faire les exercices demandés. Et tu vas prendre au sérieux ta rééducation, car je te veux de retour sur le terrain dans 1 mois et c'est un ordre, compris!?
Tony resta silencieux quelques secondes.
-Compris boss. Dit Tony avec l´ébauche d´un sourire. Patron, une dernière chose, j'aimerais que mon passé reste entre toi, Ducky et moi. Je ne veux pas que le reste de l'équipe soit au courant. -Comme tu voudras. Mais, même s'ils étaient au courant, en quoi ça te gênes ? -Je ne veux pas qu'ils agissent différemment avec moi.
Gibbs approuva d'un signe de la tête. Il voyait bien ce que voulait dire Tony. Il s'était rendu compte qu'il avait agi différemment avec lui quand il avait su tout ce par quoi il était passé. Au début, par pitié. Pour finir, par admiration face au courage qu'il avait eu d'affronter tout ça. Ils roulèrent encore pendant un moment. Gibbs regarda l'heure, prit son téléphone et appela quelqu’un.
-Bonsoir, je voudrais parler à madame Sanchez, s’il vous plait. No espagnol. Tony, demande madame Sanchez, on ne se comprend pas. - Buenas noches, sería - posible de hablado a Sánchez Theresa si les agrada.(-Bonsoir, serait-il possible de parler à Sanchez Theresa s’il vous plait.) -… - Elle sera là dans environ une demi-heure. Que veux-tu que je laisse comme message ? demanda-t´il à Gibbs. -Il faut lui dire qu’on sera là aux alentours de 22 heures. - puede decir a la Sra. Sánchez que el Sr. Gibbs y Tony estarán allí al alrededores de 22 horas (-pourriez-vous dire à madame Sanchez que Monsieur Gibbs et Tony seront là aux alentours de 22 heures.) -… -Gracias. -C’est elle qui m’as appris l’espagnol. Et moi, je lui ai appris notre langue et l’Italien. -Tu parles aussi Italien ? -Oui, à la maison on ne parlait quasiment qu’Italien. Une des exigences de mon grand-père paternel. À 4 ans, j’étais parfaitement trilingue. - Un bon atout dans la vie.
21h43 Tijuana.
Ils venaient d’arriver devant chez Theresa.
-J’appréhende les retrouvailles. J’avais seulement 8 ans quand je l´ai vue pour la dernière fois. -Elle m’a fait bonne impression. Elle était très inquiète pour toi quand je lui ai dit que tu étais à l’hôpital.
Une femme approchant la cinquantaine sortit de la maison.
-Monsieur Gibbs, bonsoir. Tony.
Elle s’approcha de lui et l’observa quelques minutes.
-Comme tu as changé ! Tu es devenu un bel homme. Elle serra Tony dans ses bras qui lui rendit son étreinte d’un bras. -Entrez, je vais vous présenter ma famille.
Cela faisait maintenant une semaine et demie qu’ils étaient à Tijuana. Tony avait fait d’énormes progrès grâce à la rééducation et à sa volonté de vouloir enfin s’en sortir. Il ne se servait plus que d’une seule béquille à présent.
Tony marchait sur la plage quand Gibbs le rejoignit.
-Déjà réveillé ! -Oui, je n’arrivais plus à dormir. Gibbs, j’aimerais rentrer à Washington. -Quand ? -Aujourd’hui, au plus tard demain. Vu qu’on est venus en voiture, qu’on va repartir de la même façon et qu’on est 3648 kilomètre de Washington, j’aimerais qu’on ne tarde pas trop pour partir. Il y a des personnes qui me manquent là-bas. -Bien, on peut partir dans la matinée alors. Au fait, je voulais te dire une chose, il serait bien que tu vois un psy. -Je ne suis pas fou. -Je n’ai pas dit que tu étais fou Tony, mais tu dois voir un professionnel pour qu’il t’aide. -Non, si on apprend au NCIS que je suis suivi par un psy, ils vont me suspendre. - Alors, fait ça avec Ducky. Après tout, il a un diplôme en psychologie. -Je suis obligé ? -Oui -Alors, si je suis obligé, je préfère que ce soit avec Ducky.
Washington 8heures du matin. Laboratoire d’Abby. La musique était très forte, Tony l’arrêta ;
-Hé, remettez ça ! dit Abby en se retournant. -Tony !! Elle se précipita sur lui et le serra fort dans ses bras –Comment vas-tu ? Tu as bonne mine tu sais. Vous êtes arrivé depuis longtemps ? Où est Gibbs. ? -Abby, tu m’étouffes ! -Oh, pardon ! dit-elle en relâchant son étreinte. -Nous sommes arrivés dans la nuit. Gibbs est avec la directrice et oui, je vais bien. -Je vois que tu n’as plus qu’une seule béquille, c’est que ta rééducation se passe bien ? -Ça se passe bien. Pas assez vite à mon goût, mais je fais avec. -Ziva, McGee et Ducky vont être contents de te revoir. -Moi aussi, je vais être content de vous revoir. Vous m’avez tous manqués. -Tu reprends quand ? -Demain, mais en restant au bureau. Pour le retour sur le terrain, ce sera en fonction de ma complète rééducation et de l’avis du doc.
Le soir, toute l’équipe alla manger chez Tony. Emily avait préparé le repas. McGee et elle avaient d’ailleurs profité de l´occasion pour annoncer leur fiançailles.
11 juillet :19heures 30
Toute l’équipe était réunie au bureau. Non, pas toute, il manquait Tony et la directrice. -C’est bien long, il aurait du finir il y a près d’une heure. Dit Abby. -Il ne va pas tarder Abby. Tu sais, parfois les tests prennent plus de temps que prévu. Dit Gibbs. -Et s’il n’avait pas réussi ; Dit McGee. -Il n’y a pas de raison Tim. Tony a parfaitement récupéré et il va réussir. répondit Emily avec assurance
Cinq minutes plus tard, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent. Tony et Jen en sortirent. Toute l’équipe scruta Tony qui ne disait rien. Ce fut Abby qui craqua la première. -Alors ? Tony sortit un papier de sa veste et l’ouvrit face à ses amis. -Apte au service. Déclara t-il.
Il y eu des acclamations de joie et tous félicitèrent Tony. Pour fêter ça, ainsi que l’anniversaire d’Emily et de Tony, ils allèrent tous au restaurant. Gibbs prît Tony à part;
-Tu as tenu ta promesse. -Oui, et même avec quatre jours d’avance.
Gibbs sortit un paquet de son sac.
-Tiens. Dit-il en tendant le paquet à Tony ; -C’est quoi ? -Ouvre et tu verras.
Tony ouvrit le paquet.
-Un nouveau Sig ? Le mien allait très bien. -Il ne va plus très bien. Après l’accident, il n´était plus était utilisable. -Je vois, merci. -Mais de rien. Je suis content de récupérer mon agent de terrain. Tu as encore de la rééducation à faire? -Oui, une fois par semaine pendant encore un mois et je dois garder une genouillère pour le boulot ou pour le sport jusqu'à nouvel ordre. -Hé, vous venez ? Le repas va être servi. Appela Ziva. Les deux hommes rejoignirent le reste du groupe.
Fin
Non pas tout à fait reste un volet à cette fic, je la mettrai très rapidement
Cissy Moderatrice générale
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 18922 Date d'inscription : 20/06/2009 Age : 62 Localisation : Normandie
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Mer 17 Fév 2010 - 0:06
:mangapleure: C'est finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!! Et comment on va survivre maintenant????? :mangapleure: :mangapleure: Bon, en tout cas, c'était une superbe fiction!!!! :mangayoupi.:
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage (S. Guitry) La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence. L'intelligence, elle, a des limites, tandis que la bêtise n'en a pas (C. Chabrol)
fanncis Le rêve devient ta réalité….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 3455 Date d'inscription : 19/01/2010 Age : 45 Localisation : Derrière toi. Mon pairing du moment: : Tarlos911LS
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Jeu 18 Fév 2010 - 18:46
Merci pour ton com's. Je mettrai le dernier volet écrit de cette fic ce soir, " protection rapproché" dans la même section que les précédente.
MARGUERITE R - JONES Tu deviens le rêve…….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 1321 Date d'inscription : 07/07/2011 Age : 34 Localisation : Sur Terre Mon pairing du moment: : Klaus/Cami Mon Fandom du moment: : The Originals
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Ven 13 Jan 2012 - 16:03
J'adore
Je hait Sénior
fanncis Le rêve devient ta réalité….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 3455 Date d'inscription : 19/01/2010 Age : 45 Localisation : Derrière toi. Mon pairing du moment: : Tarlos911LS
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Ven 13 Jan 2012 - 16:41
merci
" />
CptJackHarkness Tu deviens le rêve…….
Zodiaque : Signe Chinois : Messages : 1406 Date d'inscription : 06/07/2011 Age : 32 Localisation : Dans une galaxie très très lointaine Mon pairing du moment: : Sam/Jules Mon Fandom du moment: : Flashpoint
Sujet: Re: NCIS-Quand le passé ressurgit. suite de l'union fait la for Lun 20 Fév 2012 - 17:39
Magnifique suite Mais en lisant cette fic, j'ai eu des envies de meurtres pour un certain DiNozzo senior, je ne peux pas le supporter. D'abord il ne considère pas Tony comme son fils , mais quand ce monsieur a besoin d'un organe pour avoir la vie sauve, alors c'est à ce moment-là qu'il se souvient de lui, ce type est immonde et abject.
J'ai vu qu'il y avait un troisièmre volet, je file la lire.
- "Ne changez jamais ce grain de folie au fond de vous, de votre coeur, de votre tête, il fait de nous ce que nous sommes."
- CptJack et MRJ, Délires et Folies rythment leur vie.
- "Do or do not, there is no try ! " :
* Star Wars de Yoda à Luke Skywalker dans l'épisode 5: L'empire contre-attaque
* KITT à Mike, Knight Rider 2008, saison 1 épisode 4